La Double Inconstance Acte Iii Scène 9

marché, que la vue d’une arme à feu ne m’autorisait pas à mettre en doute la moralité de l’inconnu – Et puis, me disais-je, que fera-t-il de mes chemises et de mes ‘’Commentaires’’ Elzevir?» Pourtant chacun reste sur ses gardes, ce qui donne à la scène un côté piquant qui en fait le charme. - «Elzevir» : Les frères Elzévir sont des éditeurs hollandais du XVIIe siècle qui imprimaient et reliaient des ouvrages d'une facture impeccable et d'un format commode pour le voyage. - «débrider» : Ôter la bride

5 3. L’esthétique et la poétique du roman classique .................................................................................... 7 4. Structure et le sens. Le rôle des récits secondaires dans l’intériorisation des valeurs par la princesse . 9 PREMIÈRE PARTIE : PERSONNAGES ET VALEURS DANS LA PRINCESSE DE CLÈVES DE MADAME DE LAFAYETTE ...................................................................................................................... 11 Ch. 1. L’HISTOIRE DES IDÉES DE LA SECONDE

Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence ou constellation mythique 3/ De la réécriture à la réinterprétation 3.1. La christianisation des mythes [Hercule] 3.2. La romantisation des mythes 3.3. L’actualisation des mythes au XXe siècle [Médée] Chapitre III/ L’exemple du mythe de Faust, de la Renaissance jusqu’à Goethe 1/ Faust avant la tragédie de Marlowe 1.1. De l’homme à la légende 1.2. L’Histoire populaire de 1587 Le prologue – la construction du texte – le pacte – Explication de texte 2/ Le Doctor

3. Finalité de l’écriture? 45 • La « non-vocation » de Madame Colette 45 • Ecrire, un plaisir ou une nécessité? 47 • Une langue pure, des êtres impurs... 49 III. La quête identitaire de Colette à travers ses personnages 52 1. Des similitudes troublantes 52 • Colette ou le roman d’une vie 52 • Personnages de fiction ou doubles transparents de l’auteur ? 55 • La frontière entre le réel et l’imaginaire 58 2. L’œuvre de Colette, entre autobiographie et roman, une autofiction ? 60

comme « une lecture attentive et réfléchie,  cherchant à éclairer le sens des textes et à construire chez l’élève des compétences d’analyse et d’interprétation » (BO du 28.08.2008). • Les textes sont questionnés selon une démarche méthodique, avec le double objectif de conduire l’élève à en construire le sens et de l’engager à une réflexion sur les valeurs véhiculées par le texte. Les questionnaires sont conçus pour être mis en œuvre en deux temps : un premier temps (« Dégager l’essentiel ») permet de

se distinguer de cette école rimeuse, qui a voulu reconstruire et ne s’est adressée qu’à la forme, croyant rebâtir en replâtrant.» Cependant, à travers les artifices du romantisme le plus conventionnel, la personnalité de Musset révélait déjà sa double nature : - une âme fougueuse, une intelligence précoce des problèmes du coeur, un sens tragique de la passion, sur des sujets scabreux : tromperies, adultères, jalousies, meurtres, mêlés aux voluptés d'un jeune dandy ; - une fantaisie légère, narquoise

la fonction que l'on exerce au sein de la société parmi 3: ceux qui prient, le clergé (le réconfort moral), ceux qui combattent, la noblesse (la sécurité) et ceux qui travaillent (la subsistance) 95 à 98% de la population, mais ne compte pas sur la scène juridique car le travail est une activité vulgaire, commune. Il y a donc une hiérarchie des fonctions et on parlera longtemps de ce groupe comme l'état commun voire le tiers-état. La tripartition fonctionnelle: On est dans une société ou chaque

préfabriqués) »3. Plus rarement, il s’agit d’objets naturels mais soustraits à l’idée de nature et à l’homme. Les objets, chez Robbe-Grillet, n’ont ni fonction ni substance : « …non, ici l’objet n’existe pas au-delà de son phénomène ; il n’est pas double, allégorique »4. Aucune « dérivation lyrique »5 ne peut se déduire de l’objet qui n’est plus soutenu comme chez Balzac ou Zola par une profondeur sociale, chez Flaubert par une profondeur d’ordre psychologique ou chez Proust par une profondeur mémorielle

d’articles est issu du colloque qui s’est déroulé les 30 novembre et 1er décembre 2007 à la Maison de la recherche de l’Université Paris-Sorbonne et à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, grâce au soutien financier du CRLC et de l’École doctorale III de Paris-Sorbonne, ainsi que du CRéART-Phi de Paris Ouest Nanterre La Défense. Ma gratitude va tout particulièrement à Jean-Yves Masson pour la générosité et la bienveillance avec laquelle il nous a dispensé ses conseils et ses encouragements. Ce collectif

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