La Déchéance Du Père Goriot

sein du journalisme, il y a travaillé et peut donc en parler en connaissance de cause. Lire Bel-Ami, c’est connaître Maupassant dans l’intimité de sa solitude, dans l’outrance de ses angoisses et de son pessimisme et décerner les signes d’une déchéance brutale, (Maupassant est en effet atteint de la syphilis dès 1877), c’est donc l’idée de la mort et de la violence de la société aveuglée par l’argent et l’envie qui transparaît de façon récurrente dans le roman. Maupassant laisse percevoir ses thèmes

au sein du journalisme, il y a travaillé et peut donc en parler en connaissance de cause. Lire Bel-Ami, c’est connaître Maupassant dans l’intimité de sa solitude, dans l’outrance de ses angoisses et de son pessimisme et décerner les signes d’une déchéance brutale, (Maupassant est en effet atteint de la syphilis dès 1877), c’est donc l’idée de la mort et de la violence de la société aveuglée par l’argent et l’envie qui transparaît de façon récurrente dans le roman. Maupassant laisse percevoir ses thèmes

affublée du surnom de « Banban ». Mais elle incarne la femme du peuple accablée par la misère : elle travaille dur pour acquérir une blanchisserie mais, victime du sort et de l'hérédité familiale, elle finira par sombrer dans l'alcoolisme et la déchéance. Si ce roman et son personnage ont remporté un tel succès depuis leur création, c'est que le lecteur pouvait y voir un reflet de la vie du peuple des quartiers populaires de Paris, restituée avec un réalisme tel que Zola a pu dire : « C'est le premier

Mémoires d'outre-tombe Le présent, ayant selon l'expression de Gustave Guillaume « un pied dans le futur, un pied dans le passé », peut ainsi s'étendre en direction d'un passé récent ou d'un futur plus ou moins imminent : • Je quitte à l'instant mon père. / J'arrive de Paris. J'y étais hier. • Je viens de suite. Patiente une heure. / Lé départ se fait dans une semaine. - Le présent de vérité générale ou gnomique : c’est le temps des proverbes, des définitions, des discours scientifiques, bref, de

dans un contexte réaliste et accentuer les  eets de réel , ces romanciers orent des descriptions très précises et détaillées des personnages, comme le fait ainsi Balzac en présentant les diérents habitants de la pension Vauquer au début du Père Goriot. Surtout, ils prétendent reproduire la société telle qu'elle est et en montrer tous les aspects, les meilleurs comme les pires. Stendhal ainsi arme dans Le Rouge et le Noir que le roman est  un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt

restent ceux du mélodrame où abondent les invraisemblances et l’arbitraire de l’intrigue. Les antithèses entre deux personnages et entre les deux visages du même personnage sont forcées et abstraites. Hernani est le bandit honnête homme, Triboulet est le père tendre et le bouffon méchant. Ce sont des personnages à psychologie sommaire auxquels il manque la complexité qui les aurait rendu vraisemblables. L’essentiel pour Victor Hugo c’est d’illustrer telle ou telle thèse morale comme il le dit dans la Préface

fait pour elle et le remercie. Elle lui avoue aussi son ancien amour et lui donne un cheveu avant de le quitter définitivement. Avec son ami Deslauriers, qui a rompu avec Mlle Roque, il partage de vieux souvenirs et l'histoire s'achève dans cette déchéance. L'Education sentimentale ou histoire d'un jeune homme au coeur de la période qui enveloppe la révolution de 1848, est un livre long. A sa sortie, le succès ne fut pas au rendez-vous et l'on critiqua beaucoup Flaubert, auteur remarqué de Madame

Procédés : référence à des lieux ou personnages réels, description des aspects de la vie généralement masqués par la littérature, travail de documentation, narrateur omniscient. Flaubert : Madame Bovary et L’Education sentimentale ; Balzac : Le Père Goriot et Illusions perdues ; Stendhal : Le Rouge et le Noir et la Chartreuse de Parme. II. Mouvement littéraire et culturel qui succède au réalisme. Veut appliquer la méthode de l’expérimentation scientifique à la littérature, en étudiant l’influence

impressionnante. Parfois elle se traduit en variations d’une lucidité étonnante. Les œuvres de Gary nous parlent d’une expérience et d’une crainte intimes de la vieillesse, mais en même temps, elles nous proposent, sur la vieillesse, un savoir, qui du Père Goriot au Roi Lear, est un savoir propre à la littérature, et que Pierre Bayard, définit avec une intuition très juste, comme un savoir éclairant et pourtant loin de toute théorie : « L’écriture est productrice de pensée. Non pas de la pensée directement

avons retenus. Nous vous invitons également à flâner dans la liste ci-dessous, et à lire, pour le plaisir, l’une des œuvres suivantes : M  érimée, Mateo Falcone et autres nouvelles ; H  onoré de Balzac, Eugénie Grandet, Le Cousin Pons, Le Père Goriot, La femme de trente ans ; E  tendhal, Le Rouge et le Noir ; S E  laubert, Madame Bovary, L’éducation sentimentale, Trois contes ; F E  ules et Edmond de Goncourt, Germinie Lacerteux ; J E  mile Zola, Thérèse Raquin, L’Assommoir, Nana