La Dékoulakisation

des kolkhozes : grandes coopératives auxquels les paysans sont obligés de donner et leurs terres (fin de la propriété privé : retour du servage) et leurs bras. Cela va entrainer des réactions auxquels Staline va répondre avec sa politique de Dékoulakisation : il va s’attaquer aux koulaks (paysans qui s’étaient enrichis pendant la NEP). Il s’agit d’éliminer physiquement les opposants. On parle de 1 200 000 morts et 5 millions de personnes déportées pendant cette période. C’est en Ukraine que les conséquences

un prélèvement forcée de l’E sur la production agricole. Ce prélèvement doit permettre de nourrir les ouvriers mais aussi pr dégager des ressources pr été investi ds les ressources industrielles. Cette politique à été accéléré en 1930 avec la dékoulakisation, c’est une po de collectivisation des terres qui rappelle le climat de la G civil. Cette po a des conséquences néfaste sur la vie des paysans qui se dégrade par des période famine entre 1932 et 1933. Elle malgré ces effets maintenus, en 1937 elle

par un prélèvement forcé de l’état sur la production agricole. Ce prélèvement permet de nourrir les ouvriers et de dégager les ressources qui pourront être investis dans les infrastructures industrielles. Cette politique s’accélère avec la dékoulakisation. On force les koulaks a quitter leurs propriétés qui sont confiés au kolkhozes. C’est une politique de collectivisation des terres qui instaure un climat tendu. Cette politique a des conséquences néfastes sur les conditions de vie des paysans

d’industrialisation et pour la financer, on procédait à un prélèvement forcé sur la production agricole par l’Etat. Il permet de nourrir les ouvriers et dégagent des ressources d’investissements des infrastructures industrielles. En 1930, on procède à la dékoulakisation. Ils doivent quitter leurs propriétés (collectivisation des terres). Politique mené dans un climat de terreur. La situation des paysans se dégradent. Les campagnes en Russie en 1922-1923 sont victimes de famine. En 1937, les Kolkhozes représentent

apparaissent les expressions « propagande », « soutient […] à tout mouvement d’émancipation des colonies » : autant de moyens qui font appel à la séduction. .le système fascine d’autant plus que peu de personnes le connaissent réellement. La dékoulakisation ou encore la terrible famine d’Ukraine (1931-1933 entre 2,6 et 5 millions de morts !) sont littéralement ignorés en Occident. Dans cet écart entre perception et réalité se loge le soft power aux fondements eschatologiques. Malgré les pb écoq et

de la répression, que ce soit en Allemagne ou en URSS. Staline officialise la fin de la NEP à la fin des années 1920 et cherche clairement à s’en démarquer avec son premier plan quinquennal (1928-1933). Parallèlement, il lance un processus de dékoulakisation qui vise à liquider les koulaks et les paysans ayant su tirer profit de la Nouvelle Politique Économique. En 1932, la « loi des cinq épis » est promulguée. Cette dernière punit de peine de camp ou de mort « tout vol ou dilapidation de la propriété

raciaux qui amènent à définir des ennemis. En URSS, il s’agit d’un ennemi social tel qu’il est défini par les théories marxistes et léninistes. Le prolétariat ne peut vaincre qu’en supprimant la classe bourgeoise. Dans les campagnes, Staline lance la dékoulakisation qui vise à libérer les paysans de l’emprise des grands propriétaires fonciers et à favoriser le mouvement de collectivisation de la terre. En Allemagne, Hitler définit dès le début des années 1920 les juifs comme les ennemis de race du peuple allemand

rejet de la part des paysans, renforçant en retour le dispositif répressif. Les koulaks, coupables désignés des dysfonctionnements du système agricole, sont les premières victimes de la répression. La répression est menée par des brigades de « dékoulakisation », coordonnées dans chaque district par une troïka composée du Premier Secrétaire du comité du Parti, du comité exécutif du soviet et du chef local de la police po122 Réponses aux questions 1. La violence revêt diverses formes, allant de la

rejet de la part des paysans, renforçant en retour le dispositif répressif. Les koulaks, coupables désignés des dysfonctionnements du système agricole, sont les premières victimes de la répression. La répression est menée par des brigades de « dékoulakisation », coordonnées dans chaque district par une troïka composée du Premier Secrétaire du comité du Parti, du comité exécutif du soviet et du chef local de la police po122 polices politiques – la Gestapo –, et les gardiens affectés à la surveillance

industrielle de l’Histoire ; Staline avait exécuté les koulaks pour favoriser l’accumulation du capital qui permettrait le « rattrapage » industriel prévu par la planification soviétique. Les technocrates français de l’après-guerre lancèrent la « dékoulakisation » des petits commerçants et paysans. Les grandes surfaces furent le bras armé de cette « épuration sociale ». Ils liquidèrent les petits commerçants, et asservirent les rares paysans qui survécurent à l’industrialisation de l’agriculture.