La Délicatesse Résumé

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente une nouvelle de seize pages de Prosper MÉRIMÉE  ‘’Mateo Falcone’’ (mai 1829) pour laquelle on trouve un résumé (page 1) des notes (pages 2-5) puis une analyse comportant l’étude de : - les sources (page 6) - l’intérêt de l’action (page 8) - l’intérêt littéraire (page 9) - l’intérêt documentaire (page 10) - l’intérêt psychologique (page 10) - l’intérêt philosophique (page 11) - la destinée de l’oeuvre (page 11) Bonne lecture

c’est un rapport entre deux personnes, entre deux choses considérées respectivement l’un à l’autre. La relation du père au fils et du fils au père ». Dans une relation, il faut que le soignant réponde aux attentes de la famille avec beaucoup de délicatesse et d’empathie (c’est à dire faire comprendre à la famille qu’il comprend sa situation douloureuse sans s’approprier la souffrance qui ne lui appartient pas). Il faut que la distance thérapeutique soit respectée, ce qui correspond au comportement

moment après les trois couverts réclamés par l'évêque brillaient sur la nappe, symétriquement arrangés devant chacun des trois convives. [Pendant le dîner, l’évêque parle à Jean Valjean d’un travail possible à Pontarlier, sans lui demander, par délicatesse, de raconter son histoire.] 5 TRANQUILITÉ Après avoir donné le bonsoir à sa sœur, monseigneur Bienvenu prit sur la table un des deux flambeaux d'argent, remit l'autre à son hôte, et lui dit : — Monsieur, je vais vous conduire à votre chambre.

que deux tu l’auras ». Les dix-huit Fables qui composent le livre VII proposent soit une réflexion sur la société, soit une réflexion sur la manière dont chacun d’entre nous vit sa vie en mettant en scène des traits caractéristiques humains. Résumé/Morales : 1. Avertissement : Cet avertissement date de 1678, soit dix ans après la publication des Fables choisies mises en vers par M. de La Fontaine de 1668 (il avait alors cinquante-cinq ans). La Fontaine à un souci de variété, il souhaite

lieu à ses pieds revendication de son compagnon et son trône! " Un moment passa, puis une ballerine se leva, se balançant comme un saule. Harrison arraché le handicap mental de son oreille, cassé net ses handicaps physiques avec délicatesse merveilleuse. Et enfin, il a enlevé son masque. Elle était d'une beauté aveuglante. "Maintenant," dit Harrison, lui prenant la main, "allons nous montrer aux gens la signification du mot danse? Musique! "Qu'il commandait. Les

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corvéables, faits pour l'écurie, c'est-à-dire pour exercer ce qu'on appelle des professions. XIV Observons que les abolisseurs de la peine de mort doivent être plus ou moins intéressés à l'abolir. Souvent ce sont des guillotineurs. Cela peut se résumer ainsi : « Je veux pouvoir couper ta tête; mais tu ne toucheras pas à la mienne. » Les abolisseurs d'âme (matérialistes) sont nécessairement des abolisseurs d'enfer; ils y sont à coup sûr intéressés. Tout au moins ce sont des gens qui ont peur de revivre

voire de la pornographie tolérée lorsqu’il s’agit de peindre des œuvres mythologiques ou oniriques, mais une œuvre réaliste représentant les prémices d’une révolution picturale. L’Origine apparaît sur la toile, admirable de puissance et de délicatesse. Insolente aussi. Elle l’offre la vision quasi anatomique d’un sexe féminin aux lèvres rouges, d’un sein dont le bout est en érection, qui laisse supposer l’activité de Jo dans les instants qui ont précédé. Courbet, qui a osé montrer le désir et

c’est-à-dire la Fatalité. Exercice n° 8 I. Première partie - Chapitre I : pause dans le présent, puis dans le passé : monotonie de cette vie (durée infinie). - Chapitre II : retour en arrière, la vie à Vernon jusqu’au mariage de Camille et Thérèse ; résumé de plus de vingt ans. Indications indispensables à la compréhension des personnages. - Chapitres III et IV : 3 ans, à partir de l’arrivée à Paris ; on rejoint le temps du chapitre I. Imparfaits d’habitude qui traduisent encore la monotonie de cette

rien regretté. Je la contemplais, triste, surpris, émerveillé par la puissance de l'amour! Cette fille riche avait suivi cet homme, ce paysan. Elle était devenue elle-même une paysanne. Elle s'était faite à sa vie sans charmes, sans luxe, sans délicatesse d'aucune sorte; elle s'était pliée à ses habitudes simples. Et elle l'aimait encore. Elle était devenue une femme de rustre, en bonnet, en jupe de toile. Elle mangeait dans un plat de terre sur une table de bois, assise sur une chaise de paille