La Démocratie Emile Zola

intellectuels et celui des journaux ont contribué également à donner de l’ampleur à l’Affaire (14 septembre 1896 : L'Éclair, daté du 15, révèle qu'une pièce secrète a été soumise aux juges de 1894 ; 25 novembre 1897: Premier article d'Émile Zola ; 13 janvier 1898 : Zola publie "J'Accuse !...". 14 janvier : Commencement de la publication des listes de protestation, le "manifeste des intellectuels"). C. Une crise qui devient nationale par les valeurs qu’elle met en jeu M. Winock, E. Cahm et le numéro

cette instabilité politique de la France au XIXe siècle ? A l’issue de la période révolutionnaire, la France a beaucoup de difficultés à retrouver une stabilité politique car l’héritage de la Révolution française pose problème. Faut-il établir une démocratie ouverte à toutes les classes politiques ou réserver le pouvoir politique aux « notables » (personnes de haut rang social) ? Les hommes politiques sont divisés entre plusieurs tendances : - les monarchistes ultras dits « légitimistes », attachés

intellectuels, la philosophie des Lumières s'appuie sur les découvertes scientifiques pour développer l'esprit critique et lutter contre toutes les formes de préjugés. On assiste à une remise en question du pouvoir royal, et les principes de la démocratie et de l'égalité pour tous prennent de l'importance à cette époque : des concepts comme la souveraineté du peuple, la séparation des trois pouvoirs, l'abolition de l'esclavage sont nés grâce à la philosophie des Lumières. * Écrivains représentatifs

La démocratie en France De 1848 à nos jours.     1840 à 1848 : monarchie 1848 à 1852 : IIème République 1852 à 1870 : second empire 1870 à 1940 : IIIème République 1940 à 1945 : Régime de Vichy 1945 à 1958 : IVème République 1958 à nos jours : Vème République De Gaules : 1958-1969 Pompidou : 1969-1974 Giscard d’Estaing : 1974-1981 Mitterrand : 1981-1995 Chirac : 1995-2007 Sarkozy : 2007-...   I/ La difficile construction de la démocratie parlementaire   A/ La révolution de 1848

écrite. -­‐ 1. L’Affaire Dreyfus, la presse et la République. a) Le contexte. • 1894 : le capitaine Alfred Dreyfus est condamné à la déportation pour espionnage • 1896 : le véritable espion, le commandant Esterhazy, est découvert. • 1898 : Émile Zola écrit « J’accuse » dans L’Aurore. • 1899 : Procès de Rennes. Dreyfus est gracié. • 1906 : réhabilitation de Dreyfus. b) L’Affaire Dreyfus et les médias. • Comment les médias contribuent-­‐ils à la mobilisation de l’opinion publique ? • En 1894

La culture politique dominante était la République[1], sous la forme française de la démocratie libérale[2],[3] avec un large consensus patriotique. La culture républicaine s'est imposé progressivement en s'enracinant dans des fêtes, rites et symboles nationales dont la Marseillaise[4] (hymne national en 1879) et la fête nationale du 14 juillet (fête nationale en 1880). La culture républicaine se voulait héritier du libéralisme des Lumières et s'inscrivait autour du positivisme. La culture dominante

verre, ce qui est aussi une prouesse technique : bien que ce ne soit pas une innovation en soit, l’emplacement de cette coupole, habituellement réservé aux cathédrales, est lui novateur). La modernité est en général célébré par les écrivains, comme Zola (Au bonheur des dames, où l’action se déroule dans les grands magasins, lieu moderne). Il parle de « cathédrale du commerce moderne » pour désigner ces grands magasins, et plus généralement les lieux où l’on vend. L’architecture et le décor des galeries

années vingt) Introduction Des années 1880 aux années 1940 la IIIe République se présente comme un modèle de démocratie libérale. Cette République se construit : elle s’affirme et se consolide par étapes, elle triomphe de ses adversaires, des épreuves et des crises, elle met en place une véritable culture politique républicaine. Ainsi sont posés des principes fondamentaux et durables (la démocratie, les libertés, la laïcité et les droits sociaux) qui entraînent l’adhésion de la Nation française. I. La

vingt) Introduction Des années 1880 aux années 1940 la IIIe République se présente comme un modèle de démocratie libérale. Cette République se construit : elle s’affirme et se consolide par étapes, elle triomphe de ses adversaires, des épreuves et des crises, elle met en place une véritable culture politique républicaine. Ainsi sont posés des principes fondamentaux et durables (la démocratie, les libertés, la laïcité et les droits sociaux) qui entraînent l’adhésion de la Nation française. I

Leurs travaux influenceront beaucoup de français comme Roland Barthes, Gérard Genette, Emile Benveniste ou Jean Cohen qui, par des voies différentes mais sous l’influence forte des idées de Saussure, tenteront de décrire les systèmes de significations que sont les œuvres littéraires. Les structuralistes français se sont bornés à une étude au niveau de la phrase et à une étude synchronique jusqu’au années 1960. Emile Benveniste a notamment permit ne de plus voir une œuvre seulement comme un produit mais