La Déstalinisation

« accepter » les conflits avec les dissidents extra-européens, elle n’a jamais voulu composer avec les démocraties populaires. Elle ne tolère pas la remise en cause du modèle soviétique et empêche ainsi toute réforme d’aboutir. * L’impact de la déstalinisation dans le camp soviétique. La mort de Staline le 3 mars 1953 et la mise en cause du culte de la personnalité à partir de 1956 ont pour conséquence l’affaiblissement des dirigeants des démocraties populaires qui avaient été portés au pouvoir par

des premiers à pratiquer le « non-alignement », d’où son rayonnement dans le Tiers-Monde. II. LA CONTESTATION DU MODELE SOVIETIQUE : LES CRISES ET LA DIVERSIFICATION, 1953-1989. La mort de Staline en 1953 et les ouvertures de Khrouchtchev, déstalinisation, réconciliation spectaculaire avec Tito en 1955, dissolution du Kominform en 56, font croire aux populations qu’elles peuvent obtenir plus de liberté, plus d’indépendance nationale et une amélioration de leur niveau de vie. Progressivement se

la lutte du Vietminh et prennent le contrôle du Tibet. Cependant lors de la conférence de Bandung en 1955, la Chine s’émancipe de la tutelle soviétique car il y eut des différents frontaliers et Mao était en désaccord quant à la politique de déstalinisation engagée par Khrouchtchev en 1956. Dès lors, la Chine s’associe à une puissance indépendante et comme le leader du tiers-monde et s’engage dans une politique de non –alignement, c’est-à-dire qu’elle ne prend pas parti dans le conflit entre le bloc

Diop la revue Présence africaine. En 1948 paraît l'Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache, préfacée par Jean-Paul Sartre, qui consacre le mouvement de la « négritude ». S'opposant au Parti communiste français sur la question de la déstalinisation[3], Aimé Césaire quitte le PC en 1956, s'inscrit au Parti du regroupement africain et des fédéralistes, puis fonde deux ans plus tard le Parti progressiste martiniquais (PPM), au sein duquel il va revendiquer l'autonomie de la Martinique. Il siège

libertés fondamentales (liberté d’opinion, liberté d’expression, liberté d’affichage à travers les dazibaos). Toutefois des restrictions à ces droits montrent bien les limites imposées aux libertés. Par exemple, la campagne des "Cent Fleurs" ("déstalinisation à la chinoise") initiée en 1956 est suspendue l’année suivante. Le pouvoir de Mao est sévèrement critiqué. Ce dernier rompt avec l’URSS et répond par le "Grand bond en avant". 3. Le "Grand bond en avant" (1958-1961) Les objectifs du "Grand bond

du commandement intégré de l’OTAN). Cependant ce détachement ne remet absolument pas en cause l’appartenance au camp occidental . ‐ A l’Est : des tentatives de libéralisation, recherche de voies nationales au communisme (favorisées par la déstalinisation mise en oeuvre par Khrouchtchev), mais de violentes répression (il ne faut pas remettre en cause la domination à Moscou), la Yougoslavie de Tito, un cas à part : échanges commerciaux avec l’Europe de l’O (pour autant, un Etat qui suit le bloc

d’avantage de peur que de soulagement parmi les soviétiques. Sa mort permet par la suite une période de détente entre les Etats Unis et l’URSS. En 1956, soit trois ans après sa mort, Khroutchev pointe du doigt les crimes de Staline et lance une déstalinisation à grande échelle. Bibliographie : Ouvrages généraux : NGUYEN Eric ,Les 100 hommes du XXe siècle, Studyrama, Paris, 2005 : Ouvrages spécialisés : MARTENS Ludo, Un autre regard sur Staline, EPO, Bruxelles, 1994. Sources internet : Encyclopédie

1955, , et sa voie de développement autocentrée est présentée comme modèle d'un socialisme adapté aux pays en voie de développement issus de la décolonisation. B) Rupture avec l'URSS et choix d'une voie maoïste - Mao s'oppose au mouvement de déstalinisation lancé en URSS depuis 1956 et souhaite poursuivre une ligne politique plus dure (refus coexistence pacifique). Mao rompt avec l'URSS en1960. La Chine développe désormais une voie communiste indépendante, dont les ambitions mondiales sont affirmées

américains dans leur combat contre le colonialisme et l'acculturation. Inscrit au Parti communiste, il est élu maire de Fort-de-France en 1945, puis devient député, mandat qu'il détiendra jusqu'en 1993. En désaccord avec le PC sur la question de la déstalinisation, il quitte le parti en 1956 et crée deux ans plus tard le Parti progressiste martiniquais (PPM) qui revendique l'autonomie de la Martinique. Siégeant à l'Assemblée nationale, comme non inscrit, il devient apparenté socialiste partir de 1978 à

Les relations Est Ouest | Tiers Monde et décolonisation | France | Europe de l’Ouest (voir frise) | Milieu des années 50 | 55 : pacte de Varsovie 56 : XXème congrès du PCUS, Khrouchtchev dénonce les crimes de Staline (déstalinisation) 56 : Dégel et coexistence pacifique 56 : répression à Budapest | 54 : accords de Genève, fin de la gu d’Indochine (PMF) 55 : Bandung 56 : Suez 56 : internationalisation du pb algérien 56 : indépendance du Maroc et de la Tunisie 56 : loi Defferre