La Fausse Suivante Acte 1 Scene 7

a) Une illusion est une fausse apparence matérielle ou morale qui, en nous faisant voir les choses autrement qu’elles le sont, semble se jouer de nos sens ou de notre esprit. On attribue cela au démon ou à la magie. b) Tout le récit encadré de la pièce constitue un mensonge car ce n’est qu’une représentation de théâtre. Clindor meurt dans le récit encadré alors qu’il n’est pas mort réellement. Clindor, amant d’Isabelle, déclare

21-FRGEME1 Page 1 / 4 BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2021 FRANÇAIS ÉPREUVE ANTICIPÉE ÉPREUVE DU JEUDI 17 JUIN 2021 Durée de l’épreuve : 4 heures Coefficient : 5 L’usage de la calculatrice et du dictionnaire n’est pas autorisé. Dès que ce sujet vous est remis, assurez-vous qu’il est complet. Ce sujet comporte 4 pages, numérotées de 1/4 à 4/4. 21-FRGEME1 Page 2 / 4 Vous traiterez, au choix, l’un des deux sujets suivants : 1- Commentaire (20 points) Objet d'étude : Le roman et le récit

évidente qu’il nous semble l’être à première vue. Peut-on inclure Toinette dans la catégorie des servantes de bon sens ? Sans doute. Elle peut certainement être considérée comme une servante sensée, ou pour reprendre l’expression d’Yves Moraud, comme une 1 Sur les types des valets moliéresques voir : G. Gouvernet* : Le type du valet chez Molière et ses successeurs, Regnard, Dufresny, Dancourt et Lesage. Caractères et évolution, New York & Berne : P. Lang, 1985 : 17–51 ; M. R. Demers : Le valet et la soubrette

LIRE UN VAUDEVILLE DU XIX ème siècleLIRE UN VAUDEVILLE DU XIX ème siècle Déroulement de la séquence Séance 1 -2 h Dominante  : culture Objectifs  : identifier le genre de la pièce. Situer l’œuvre dans l’époque. Avoir quelques connaissances sur l’auteur. Plan de la séance  : I – Formulation de la problématique de la séquence II – Le succès de la pièce

perspective et si on prend son titre au sérieux (L’Illusion et non pas comme en 1639 L’illusion comique), elle est parfaitement régulière et classique : unité de lieu, parfaite unité de temps (coïncidence exacte entre durée supposée et durée réelle) (7). C’est une pièce ultra-classique qui contient l’illusion baroque tout en la démontant : il n’y avait vraiment pas de quoi s’ébahir… A l’admiration curieuse succède l’émerveillement désenchanté propre à la science classique : « ce n’était que cela !»

Acte III,, scène 6 à 9 Clefs d’analyse Petits Classiques Larousse -6- Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux Compréhension Dénouement heureux chez les valets ● Observer comment Arlequin s’y prend pour avouer sa véritable identité (scène 6). Lisette déclare enfin à Arlequin qu’elle accepte de l’épouser (l. 13-16). C’est pour Arlequin l’heure de vérité, car il ne peut cacher plus longtemps qui il est. Aussi commence-t-il par faire preuve d’humilité en faisant

la pièce reste très classique(V actes, respect des 3 unités), il y a tout de même des éléments baroques aussi bien dans le fond que dans la forme : - Les règles de la bienséancene sont pas respectées (notamment lorsque Tartuffe touche Elmire sur scène), - Il y a aussi des excès et des invraisemblancesqui sont contradictoire avec le mouvement classique (comme l'intervention d'un envoyé du roi), - Et aussi le thème du jeu sur les apparencesqui est récurrent dans le théâtre baroque. Enfin, le

Dom Juan, acte IV scène 4 Ce texte, acte IV scène4, est un extrait de la pièce de théâtre de Molière, Dom Juan écrite en 1665. Cet acte est celui des visites. De ce fait, Dom Louis, père de Dom Juan, qui apparaît pour la première fois, est un moralisateur qui vient lui rappeler ses valeurs en tant que membre de l'aristocratie. Dans cette tirade, Dom Louis fait des reproches à son fils. Afin de mener notre étude, nous verrons dans un premier temps le bilan des actions de Dom Juan ; puis dans

1ère Générale – Mme Marie-sainte – Professeur de Lettres modernes – LGT Baimbridge.Séance 4 – Le dénouement de la pièce : la scène d’aveu Support : Marivaux, Les Fausses Confidences , Acte III, scène 12 de «  Vous donner mon portrait ?...  » jusqu’à la fin de la scène. Objectif : Étudier la fonction de la parole dans le dénouement. I - Définitions à retenir :DÉ-NOUE-MENT  : une

caractériser les types de phrases de façon syntaxique et morphologique. Il distingue les types facultatifs des types obligatoires. L’interrogation est placée dans les types obligatoires qui sont des types fondamentaux, associés par convention à un acte de langage déterminé et caractérisé par une structure syntaxique, une morphologie et une intonation (correspondant éventuellement à une ponctuation) spécifiques. D’un point de vue sémantique, la phrase interrogative exprime une demande d’information