La Femme en blanc

grenouille coassant dans la boue de la rivière Ormonde quand je voulais me délasser de la forme que j’avais reçue à la naissance. Elle m’apprit surtout les sacrifices. ». La vieille femme la recueille à la mort de sa mère Abena et de Yao. Son esclave de mère n’a jamais pût accepter sa fille née d’un viol par un marin blanc elle ne lui a jamais donné l’amour dont elle avait besoin entant qu’enfant. La fillette retrouve ce sentiment avec son beau père Yao qui la nomme tituba. Ce don sera la cause de

"C’était un soir comme tous les autres, je revenais de mon cabinet, ma femme était avec moi nous avions diné dans un restaurant chic. Ma femme a préféré sortir du restaurant par la porte arrière nous nous sommes retrouvés dans un endroit sombre et effrayant. Pourquoi Laura m'a-t-elle fait passer par ici ? En sortant du restaurant, le froid et l'humidité nous ont saisi. Mes souliers vernis se tachaient de boue et mes belles chaussures noires ne valaient plus rien pour marcher sur ce trottoir gras

petits, séparés par un nez en bec d’aigle. L’homme ne rit pas, cependant il a l’air de quelqu’un qui refrène son rire. Cela lui donne une mine étrange, celle d’un homme qui, de l’intérieur, se moque de celui qui le regarde. La photo est en noir et blanc, coloriée artisanalement avec des teintes fades. Face à cette photo, au pied d’un mur, le même homme, plus âgé maintenant, est allongé sur un matelas rouge à même le sol. Il porte une barbe. Poivre et sel. Il a maigri. Trop. Il ne lui reste que la

1937. C’est une peinture à l’huile globalement vue en noir et blanc mais il y a des couleurs peu nombreuses c’est-à-dire du gris-noir avec du jaune barré et blanc. Elle représente une scène de violence, de douleur, de mort et d’impuissance. Les flammes causées par les bombes ne sont pas encore présente sur les toits des maisons et les premiers dessins semblent évoquer une simple querelle entre des chevaux et des taureaux qu’une femme, tendant au bout de son bras une lampe de pétrole pour les chassés

d'histoire. ANALYSE & INTERPRETATION : Les plan : Au premier plan : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les expressions sont fortes (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), et accentuées par la déformation de l’ensemble

d'une statue de femme. Elle a les yeux fermés et sa coiffure est divisée en deux parties égales par une raie. On la voie de face. La partie droite de son visage est dans l’ombre. Sur la partie gauche, on peut voir qu’une tache de sang recouvre une partie de sa paupière et s’étend sur sa joue. A gauche, sur le parapet à côté de la tête de la statue il y a également un globe blanc (grelot) divisé en deux horizontalement. Il semble être fait dans la même matière que le buste de la femme. A côté de trouve

fille européenne, à la beauté diaphane, prisonnière des glaces depuis longtemps. Sa rencontre avec Soséki, ancien samouraï, vieux peintre aujour- d'hui aveugle, va le guider dans sa quête. Mais le savoir suprême, Yuko ne le trouvera qu'auprès d'une femme, car seul l'amour peut faire naître l'absolu de l'art. Au fil des dialogues entre le maître et l'élève, la fragilité des choses, les images lumineuses du temps qui passe, la concision du langage ancrent ce récit initiatique dans la tradition et l'esthétique

Il aimait par-dessus tout rire des cheveux blancs de son père en couvrant sa tête de cendres grises ! Dans son village, tout lui semblait simple comme trouver le géranium qui soignait les plaies. Il fut le premier enfant du village que l’on envoie à l’école. A partir de ce jour, tout va changer pour lui dont le commencement est le changement de son nom que l’on modifie en Nelson. C’est que depuis plus de deux siècles en son temps, les européens blancs se sont emparés de son pays imposant leurs lois

LES BASIQUES D UNE GARDE -ROBE Qu'est ce qu un basique ? C'est un vêtement qui nous suit au fil des saisons. Il est intemporel, indémodable, chic, d une coupe parfaite, de haute qualité et de ton neutre ( noir blanc et couleur de la terre ). On le paie souvent cher pour qu'il dure. Ce sont des pièces qui ont prit place dans les garde-robes depuis des générations. Les basiques se portent facilement tout au long de la journée, en toute circonstance. Les basiques deviennent des indispensables

ils décident de tuer le mari gênant, et ensuite, ils se marient. Mais le remords se met à les ronger, d’autant plus que madame Raquin, qui est devenue paralysée et muette, vit toujours avec eux. Leur mariage tourne mal, Laurent se met à frapper sa femme, et un jour, ils décident de se tuer réciproquement : Laurent envisage d’empoisonner Thérèse, tandis qu’elle pense le poignarder. Avant de commettre l’irréparable, ils découvrent ce qu’ils ont décidé de faire, et s’empoisonnent, d’un commun accord