La Femme piège

 supposition  en  affirmation  ou   à   poser   une   question   comportant   des   éléments   erronés   pour   connaître   la   vérité   au   dépends  de  son  interlocuteur.   Tromperie,  piège  et  mensonge  utilisés  pour  atteindre  la  vérité.   Paradoxe  dans  l’expression  avec  emploi  du  terme  «  prêcher  »  (comme  si  l’on  prêchait  la   bonne   parole

L’ensemble des portraits que fait Célimène sont des critiques de son entourage. On remarque qu’au début de chaque portrait, Célimène énonce le défaut du personnage, comme un titre « un homme tout mystère », « O l’ennuyeux conteur », « Le pauvre esprit de femme », « Quel orgueil extrême », « il veut avoir trop d’esprit ». Ensuite elle développe son idée en intégrant de nombreuses exclamations qui suppose son agacement envers ces défauts. On peut noter des types de personnages décrits dans ces portraits :

apprenant ce projet de mariage, décide de se venger de Gercourt, ancien amant qui l’a quittée pour une autre femme. Pour cela, elle propose à son ami et ancien amant, le Vicomte de Valmont, de pervertir la jeune Cécile afin de ruiner le mariage de Gercourt. Mais Valmont refuse l’offre, car il est retenu chez sa vieille tante Mme de Rosemonde, par la présence de la Présidente de Tourvel, jeune femme dévote et vertueuse. Valmont veut faire de cette séduction un exploit, mais ce projet agace Mme de Merteuil

doute sans cesse de l’amour que lui porte sa maîtresse. D’un côté, en associant à plusieurs reprises, dans le texte, la femme au thème de la mort, il se demande si l’amour ne sera pas pour lui la source de tous les dangers : « T’es tell’ment [...] belle / Un cadeau de la mort » (l. 15-16). La métaphore de la ligne 16 montre bien le doute qui germe dans l’esprit du narrateur. Cette femme, trop bien pour lui, n’est-elle qu’un mauvais présage, un cadeau empoisonné? Le mot de vocabulaire appréciatif « cadeau

beaucoup de poule et de coque il avait faim alors il décida d’essayer de rentrer par un petit passage qui l’avait repéré dans le grillage qui séparé la ferme et lui puis il reusissa et rentra dans la ferme il vit Chantecler le coq qui était avec sa femme( Pinte). Étant rusé Renart décida de piéger le coq en disant de chanter un air les yeux fermer mais Chanteclec, inquiet, Pris une sage décision en ne ferment pas complètement ses yeux . Puis Renart russisa à e attendrir sa proie . Il s’annale est saisi

| | |La Esméralda de Charles de STEUBEN | La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir

« UN PECHEUR ET SA FEMME » Par Fatih Dogan Tomy vivait avec sa femme dans une maison entourée de champs et bordée par une rivière. Il était agriculteur et aimant son métier. Il était aussi grand amateur de pêche, au grand déplaisir de sa femme qui s’inquiétait toujours de le voir partir pendant de longues années. Elle était très inquiète parce que ce soir-là, une légère brume montait, jusqu’à devenir un épais brouillard. Il avait cependant décidé qu’il irait à la pêche. Il était dix-huit

------------------------------------------------------------------------------------------------- j'ai cherché les moyens, voulant prendre une femme, j'ai cherché :une action accomplie dans le passé moyens : solution voulant : une action qui s'accomplit en même que le verbe principal prendre:se procurer, choisir « j'ai cherché les moyens, voulant prendre une femme, » :j'ai cherché toutes les solutions pour prendre une femme. --------------------------------------------------------------------------------------------------- de

présence d'un témoin caché, pur artifice théâtral, dans cette scène ? Nous verrons dans un premier temps qu'on a a faire a un procédé de théâtre dans le théâtre, puis qu'il est question de badinage amoureux. Enfin, nous montrerons que cette scène est un piège véritable pour Camille et Rosette.. Alfred de Musset utilise ici le procédé de la mise en abime du théâtre. En effet, il y a une énonciation complexe. Rosette et Perdican dialoguent entre eux. Mais Camille est un témoin caché qui les entend et

adopter son regard. En effet, l’utilisation du verbe respirer de manière transitive directe permet d’exprimer ce qui se dégage de la femme ici un des sept péchés capitaux : l’avarice (personnage bien connu du théâtre not. chez Molière) puis le substantif coordonné qui suit semble peu révérencieux et scatologique. L’auteur fixe ici un personnage type et antipathique : une femme revêche qui se croit plus riche que tout le monde. 1) KNOCK : […] C’est vous qui êtes la première,