La Fille Elisa

le beau et le laid, le grandiose et le vulgaire, Jésus et Satan. ____________________________________________________________ _____________________ "La femme du monde" (1836) Poème en prose Au cours de vingt-sept versets, la Mort, « fille de Satan », se réjouit des cris des « peuples dévorés par la peste », de l’œuvre sournoise d’une « fièvre » maligne, du travail de putréfaction, d’un « hideux choléra » envoyé sur terre. Elle se moque des médecins, de leurs thérapies et des mesures

AVENEMENT DES SOCIETES ET REGIMES POLITIQUES MODERNES Olympe de Gouges et la lutte pour le droit des femmes VAN CAUTEREN ELISA AEI L1 C1 « La femme naît libre et demeure égale à l’homme en droit » déclarait l’article 1 de la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne rédigé en 1791 par Olympe de Gouges. Un demi-siècle avant l’écriture de « Deuxième Sexe »

Nicolas-Auguste Verlaine et d’Élisa Dehée. Enfant, il ne souffrit pas des fréquents changements de garnison de son père, car il était aimé, choyé par sa mère comme par sa cousine, Élisa Moncomble, qui, plus vieille de huit ans, était comme sa sœur adoptive. En 1851, les Verlaine s’installèrent à Paris, toujours avec Élisa. À neuf ans, le petit Paul fut interne à l’institution Landry, rue Chapsal. À partir de 1855, il suivit les cours du lycée Bonaparte (depuis Condorcet). C’était un élève studieux

Enfance protégée, très attaché à sa mère et sa cousine Elisa = grande sœur adoptive car sa mère est morte.· Dès le lycée (où il avait lu Les Fleurs du Mal), il est intéressé par la littérature et commence à écrire. Au début donc en partie influencé par Baudelaire.· (Etudie le droit à Paris, pour ensuite travailler dans une compagnie d’assurances engagé par son père et comme expéditionnaire à l’Hôtel de Ville de Paris) -> · Courtise sa cousine Elisa en 1862 : 1er amour (déjà mariée), étés passés à Lécluse

entre au collège Royal, un lycée de Rouen. Chaque été, la famille Flaubert s'installe à Trouville, au bord de la mer. C'est là, qu'en 1836, il rencontre Maurice Schlesinger, directeur de la Gazette et revue musicale de Paris, et surtout sa femme, Elisa, pour laquelle il nourrit un amour sans espoir. Un jour, sur la plage, il ramasse son manteau rouge à raies noires. Cette rencontre ineffaçable sera transposée dans les Mémoires d'un fou et les deux versions de l'Education sentimentale. Entre 1837

un   accident  de  parapente.  Mais  son  véritable  handicap,  c’est  d’avoir  perdu  sa   femme   décédée   des   suites   d’un   cancer.   Ensemble,   ils   auront   une   fille,   Elisa,   âgée   de   quinze   ans   et   sur   laquelle   Philippe   n’a   plus   vraiment   de   contrôle.   Philippe  est  un  érudit  qui  aime  les  arts  (peinture,  poésie

Flaubert, Mémoires d’un fou, chapitre X, posth. 1901 C’est à l’âge de dix-sept ans, en 1838, que Flaubert achève la rédaction de cette ébauche de fiction autobiographique, qui ne sera publiée qu’en 1901. Pendant les vacances de l’été 1836 il a rencontré Élisa Schlesinger, qui inspirera le personnage de Mme Arnoux (voir textes suivants). Elle a alors vingt-six ans, il en a quinze. 10 Ce jour-là, une charmante pelisse1 rouge avec des raies noires était laissée sur le rivage. La marée montait, le rivage

PREMIER — CHAPITRES 6 À 10 Naissance de l'amour RÉSUMÉ La première rencontre de Julien et de Mme de Rênal a lieu à l'entrée de la maison. Ils sont aussi surpris l'un que l'autre : elle, par « cette pauvre créature », ce garçon beau comme une jeune fille qui la réjouit car il ne correspond en rien à ses craintes ; Julien, lui, ébloui par la beauté et la douceur de cette femme, lui promet de ne jamais battre ses enfants. Julien s'impose, se fait aimer et respecter des enfants mais est sans cesse

Édition de référence : Honoré de Balzac : La maison du Chat-quipelote, Le bal de Sceaux, La Vendetta, Éditions Garnier Frères. 4 Dédié à Puttinati. En 1800, vers la fin du mois d’octobre, un étranger, accompagné d’une femme et d’une petite fille, arriva devant les Tuileries à Paris, et se tint assez longtemps auprès des décombres d’une maison récemment démolie, à l’endroit où s’élève aujourd’hui l’aile commencée qui devait unir le château de Catherine de Médicis au Louvre des Valois.

Et ce prêtre jovial qui sillonne les routes de campagne au volant de sa camionnette, ce vieux monsieur si distingué qui vous propose d'échanger un magnifique parapluie de soie contre le prix d'une course en taxi, ce père de famille qui soigne sa fille avec dévotion, ce fin connaisseur en crus de Bordeaux, cette dame d'âge respectable qui rêve de rendre visite à ses petits-enfants... chacun de ces personnages, si inoffensifs en apparence, n'a-t-il pas quelque chose d'inquiétant ? Roald Dahl, de récit