La Fille Maigre

-Victor, je suis chasseur de rêve. -Moi aussi, mais je chasse les cauchemars, je travaille pour Maltazard. Je lui vends les cauchemars, que j’attrape. Cette fille était grande, blonde, un peu maigre et surtout timide. Ensemble ils parlèrent une partie de  la nuit. -Je n'ai pas vraiment de parents, je me suis fait adopter par Paul! La jeune fille s'exprima timidement. -Pour ma part je n'ai pas de parents, ni de tuteur .Maltazard m'héberge quelques fois dans son grand manoir qui est à quelques pas

l’ai recueillie, Janine n’est pas guérie encore ». Mauriac commence ce dernier chapitre en plaçant Janine dans les propos du narrateur, celui-ci continuera jusqu’à sa mort à parler de sa petite fille. - Mauriac poursuit par une description de la cour : « les carcasses des charmilles », « les bosquets maigres grelottent sous la pluie éternelle », « l’humidité pénétrante ». Toutes ces personnifications accentuent sur l’aspect larmoyant du temps qui se joint aux larmes de Janine : « et de même [...] ne

véritable coupe-gorge ; de grandes ombres s’allongent sur les dalles, des souffles humides viennent de la rue ; on dirait une galerie souterraine vaguement éclairée par trois lampes funéraires. Les marchands se contentent, pour tout éclairage, des maigres rayons que les becs de gaz envoient à leurs vitrines ; ils allument seulement, dans leur boutique, une lampe munie d’un abat-jour, qu’ils posent sur un coin de leur comptoir, et les passants peuvent alors distinguer ce qu’il y a au fond de ces trous

dire d’après cette phrase que nous allons vers la barbarie, et ce sont les médias qui nous y entrainent… Autre exemple, dans le texte de Bruno Frappat, lorsqu’une petite fille est en agonie, les caméras « attendent que le voile gris de la mort éteigne son petit visage ». Ils préfèrent filmer et transmettre les images de la petite fille en train de mourir plutôt que de la secourir. Ce ne sont que des émetteurs, qui sont là pour satisfaire les spectateurs (ou lecteurs). Lorsqu’un « malfaiteur noir se fait

Le Père Grandet est donc une de ces figures de référence. Par ailleurs, Eugénie, sa fille présente elle, une des rares figures de révolte contre l'autorité paternelle que nous avons croisées dans le roman. C'est à un “type” que s'attaquait Balzac, et il est parvenu à attacher à l'univers de ce “type”, d'autres figures qui elles aussi, vont devenir des types. Quels sont les personnages du roman ? Grandet, sa fille Eugènie, l'héroïne éponyme, son épouse effacée et soumise, sa servante dévouée et fidèle

pluie____________________toute la nuit, et je ne _________________pas m'endormir. 2- Soulignez les imparfaits dans le texte suivant, puis précisez si ce sont des imparfaits descriptifs (1), d'action secondaire (2) ou d'habitude (3). Jeanne d'Arc était maigre et petite. Elle ne mangeait pas beaucoup et craignait toujours que son corps ne puisse contenir toute la nourriture. Ses compagnons ne cessaient de se moquer d'elle à cause de cela. Elle traversait les grandes plaines de la Bourgogne quand elle

Vie, en gros, p. 108) | Pour Julia et Benjamin, l’amour est né premièrement par l’attrait physique : J’avais repéré de loin son beau visage, ses yeux bruns très doux, sa belle silhouette mince. (Le garçon manqué, p. 20) | Claire est une fille de ma classe. J’ai rougi parce que je la trouvais jolie… (La Vie, en gros, p. 15) | Elle avait une jolie démarche, gracieuse et souple. Du coin de l’œil j’ai vu qu’elle remontait sa mèche de cheveux comme elle le fait toujours, je trouvais ça génial

partit – encore une enfant. J’avais vingt ans maintenant, j’avais grandi. Je devais la convaincre que c’était moi… » Les maigres bagages d’Insook furent mis à l’intérieur de la voiture familiale, et ils se dirigèrent vers les banlieues. « Ces énormes et larges routes, et ces énormes enseignes lumineuses… Cela me faisait sentir toute petite… C’était comme être une petite fille à nouveau… Tout si gros, si brillant » Elle décrivait le choc de la naissance. La maison de sa sœur était calme. « Trop

carte pas de nom de ville Voix Douce Il y avait une fois une petite fille orpheline que tous les oiseaux appelaient Voix Douce. Elle habitait seule par delà une vallée et une rivière, dans une minuscule maisonnette. Les animaux la trouvaient magnifique avec sa chevelure blonde, brillante comme le soleil. Elle paraissait fort douce et avait bon cœur. Mais elle semblait tellement pauvre, son corps était si maigre et son teint était pâle comme la lune. Voix Douce devait vivre de la cueillette

Résumé du roman de Sylvie Germain« L’enfant Méduse »Compte rendu sur base du schéma narratifL’histoire se déroule dans un petit village du Berry, au cœur des landes.Dans ce petit village, vit Lucie Daubigné, petite fille de 8 ans aux yeux et cheveux couleur corbeau. Celle-ci vit avec sa mère Aloïse, son père hyacinthe et son demi-frère Ferdinand. Hyacinthe Daubigné est retraité et radioamateur, il aime s’isoler dans l’appentis et dialoguer pendant des heures avec des personnes de multiples horizons