La Fleur de l'âge

coucher du soleil romantique Que le soleil est beau quand tout frais il se lève, Comme une explosion nous lançant son bonjour ! - Bienheureux celui-là qui peut avec amour Saluer son coucher plus glorieux qu'un rêve ! Je me souviens ! J'ai vu tout, fleur, source, sillon, Se pâmer sous son oeil comme un coeur qui palpite... - Courons vers l'horizon, il est tard, courons vite, Pour attraper au moins un oblique rayon ! Mais je poursuis en vain le Dieu qui se retire ; L'irrésistible Nuit établit son empire

mains croisées, Triste, et le jour sera pour moi comme la nuit. Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et, quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Les Contemplations de Victor Hugo Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Victor

d’ombre ne quittaient pas la route du bois. J’ai marché, réveillant les haleines vives et tièdes, et les pierreries regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. La première entreprise fut, dans le sentier déjà empli de frais et blêmes éclats, une fleur qui me dit son nom. Je ris au wasserfall blond qui s’échevela à travers les sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse. Alors je levai un à un les voiles. Dans l’allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l’ai dénoncée au coq. A la grand’ville

et par la suite, créa l’ordre de Râmarishna. En 1893, avec l’aide financière de l’un de ses disciples, il se rend au parlement des religions à Chicago et son impact sera considérable. En 1900, il connut des problèmes de santé et mourut en 1902 à l’âge de 39 ans. DIEUX ET DEESSES Les hindous sont polythéistes, ce qui signifie qu’ils croient en plusieurs Dieux, mais pour eux tous ces dieux sont des incarnations du Brahman qui est le dieu créateur de la Trimûrti. Je ne vais pas vous parler

un véritable caractère institutionnel. De même que, dans les institutions romaines, il existait une fonction officielle de censeur, de même, dans la vie privée, on se choisissait, au sortir des années d'éducation, un ou deux amis que distinguaient l’âge, l’expérience, l’autorité. Ces « censeurs », parfois jurisconsultes célèbres, avaient non seulement le droit, mais le devoir d’exercer, par leurs conseils, leurs exhortations, leurs blâmes, une influence sur le perfectionnement moral de l’individu

« quarante-trois » couchers de soleil… Le Petit Prince raconte alors son histoire avec une rose. Un jour il assiste à la naissance d'une rose absolument superbe. Mais il découvre alors que l'amour qu'il développe pour elle est incompatible avec les épines de la fleur, coquette et exigeante... Il décide donc de quitter son astéroïde et part explorer les étoiles. Les personnages qu'ils rencontrent sur son chemin sont très différents: la première planète est habitée par le roi d'un empire artificiel, pour qui le jeune

rencontre et le moment précis quand il tombe amoureux d’elle : « Mille trecento ventisette, a punto su l'ora prima, il dí sesto d'aprile, nel laberinto intrai, né veggio ond'esca. » (Chanson 211) Et toujours le six d’avril la peste lui prend la vie à l’age de vingt ans. Morte, elle envahit encore plus ses pensées et sa passion : *Référence à: EL SENTIMIENTO DEL TIEMPO EN EL CANZONIERE DE PETRARCA, R Pinto, p.3 « Sai che 'n mille trecento quarantotto, il dì sesto d'aprile, in l'ora prima, del

cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? » Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! Maudit comme le vice où l'on

française entre le XVIIIème s et le XIXème s. Balzac y présente toutes les classes sociales : de la noblesse aux paysans. Il représente aussi les diverses professions et décrit avec leurs habitudes et leurs manies les banquiers, les commerçants… . C’est à l’âge de 37 ans, qu’il rédige le LDV publié en 1836 qui fait partie de la catégorie des scènes de la vie de province. C’est un roman épistolaire et poétique aux résonances autobiographiques puisque Balzac y transpose son amour pr Madame Laure de Berny, amour

vient à Paris en 1760. Il se met à fréquenter la Société des gens de lettres. Il se lie, grâce à d’intimes analogies, plus étroitement avec Jean-Jacques Rousseau. Ils s’entretiennent longuement ensemble sur la nature et l’âme humaine. En 1792, à l’âge de cinquante-cinq ans, il épouse Félicité Didot, qui n’en a que vingt-deux. Il a deux enfants: Paul, mort jeune, et Virginie, mariée au général de Gazan. Les autres écrits de Bernardin de Saint-Pierre sont : Vœux d’un solitaire (1789), qui tendent