La Folie Et Le Droit

colère qui avait fait se ruer les hommes du roi sur la ville avec une rage forcenée. C’était l’hébétude, l’errance et la folie. (…) Il ne resta bientôt plus rien de la ville. » (page 152) La mort est omniprésente au cours de ce roman. Promesse de mariage et mort s’entremêlent au début de ce livre pour aboutir à la vraie mort paisible du roi en épilogue. Les morts ont droit à la parole à travers le roi mort qui peut encore échanger ses pensées avec son serviteur, Katabolonga. Le roi voit de loin

rôle d’un fonctionnaire pressé et hautain face aux deux personnages afin de les pousser à la plus grande absurdité. Après une longue attente, « le mot était lâché », le charretier se rend ridicule en appelant son âne un travailleur (« l’âne avait droit au respect, non pas en tant qu’animal, mais pour sa noble condition de travailleur »). Karim est en extase, il a enfin déniché le ridicule grâce au simple esprit d’un charretier. Il admire cette stupidité humaine, elle est dans un sens ce qui le rend

contre l’ingratitude filiale et présume que tous les problèmes du monde, y compris la condition de pauvre Tom, proviennent de filles ingrates. Lear dirige un procès imaginaire contre Goneril et Regan. Le Fou et Edgar sont tous deux affligés par la folie du roi. Arrive Gloucester, il leur révèle un complot contre la vie de Lear. Il organise la fuite de Lear vers Dover où les armées françaises sont prêtes à l’aider et emmène le roi avec lui. SCENE 13) PALAIS DE GLOUCESTER Regan sait maintenant

fils vive ailleurs, plutôt qu'il ne meure", préférant faire abstraction de son bon droit. Cette mère a pratiqué ce qu'il faut appeler, la politique du moindre mal. Souvent dans la vie nous nous acharnons à plusieurs sur un même os, cherchant chacun de son côté à en tirer plus que l'autre, envenimant des situations. Combien de fois ne cherchons nous pas à avoir raison, nous épuisons nous à démontrer notre bon droit? Pour quel résultat final? Après combien de blessures irréversibles parfois? Que de

liberté est toujours à acquérir et à défendre. II/ un cri pour plus de justice a) thème de la justice le thème de la justice est un grand thème développé dans le texte on le voit notamment avec : «  si l'idée de justice » ou encore droit » , « intérêt » ou « affaire ». zola dénonce se que les hommes font de la justice : il dissocie la justice en temps idéale qui est une grande valeur républicaine avec l'égalité et la justice dans sa réalité inventé mise en place par les hommes en société

Croisement de 2 prophéties auto-réalisatrices :· Humanisation de la machine · Machinisation de l’humain L’humanisation de la machine :· Développement IA => dépassement des hommes certain un jour· Nécessaire de leur accorder des droits (= individus à personnalité autonome)La machinisation de l’homme : · Passage d’une médecine réparatrice à une médecine méliorative· Santé = descriptif / normatif => capacités de l’homme s’exprimant

les horreurs. Ce n'est pas le monde qui est mauvais mais les individus qui générent le désordre, la ruine, la misère, par leur folie, leur cupidité, et leurs instincts animaux. Sur le panneau de droite, Saint Antoine enveloppé de sa cape, est à l'automne de sa vie. Il est épuisé d'avoir vu et vécu au milieu d'un monde où il constate que les hommes sont aux prises de la folie. Jérôme Bosch est né vers 1450 d'une famille modeste originaire d'Aix-la-Chapelle, venue s'installer aux Pays-Bas deux siècles

Pierre passe son temps cloitré dans la chambre, à divaguer, à craindre le retour des statues volantes et à raconter à Eve, qu'il appelle Agathe, des souvenirs qu'ils n'ont jamais vécus. Plutôt que de sortir Pierre de la folie, Eve préférerait y entrer à son tour. Une nouvelle sur la folie et sur l'amour, qui n'a qu'une seule limite : l'ultime déchéance de l'être aimé. "Un an, un hiver, un printemps, un été, le début d'un autre automne. Un jour, ces traits se brouilleraient, il laisserait pendre sa mâchoire

dHaaKyJgKgO&tbm=isch&client=firefox-a&iact=rc&uact=3&dur=1172&page=1&start=0&ndsp=40&ved=0CCIQrQMwAA On peux apercevoir sur la peinture sur la gauche : - Espoir - Pyramide humaine - Nus désespérés, puisés, faim On peut apercevoir sur la droite du tableau : - Drapeau, agite demande de l'aide - Un homme Noir -Bateau - Un radeau entrain de disloquer -" Méduse" 19 siècle Le radeau de la Méduse, est un tableau de Théodore Géricault peintre du 20 siècles datant de 1824. Le tableau

frise la folie. La question de la moralité et de ses actes se pose A ) Une autorité déplacée L'autorité du personnage fait rire le spectateur mais le concerné, Arnolphe est incapable de prendre du recul par rapport à ses crises aigues de besoin de domination. Il estime pouvoir élever Agnès comme il le souhaite et finir par l'épouser. La question de la moralité est abordée seulement par le spectateur qui juge cet homme et ses abus d'autorité. B ) Un manque de lucidité à la limite de la folie Besoin