La Folle Route

papier concernant les informations sur votre commode », avait dit l’ancienne propriétaire de ma désormais commode. Je ne l’ai pas écouté et couru dans ma voiture. Des renforts arrivèrent et je n’attendu pas une seconde pour profiter de prendre la route pour rentrer dans ma demeure sans foule derrière moi. A peine arrivée à mon domicile je m’étalai sur mon lit tout moelleux décidant quelle place ma jolie petite commode occuperait dans ma chambre. « Là ! Oui, ce serait parfait ! ». J ‘avait trouvé

possédés. Et la diligence n’avance pas, le voyage s’éternise et ils voient le moment où l’on ne sera jamais arrivé pour le soir… La faim et la soif s’emparent des voyageurs et ils n’arrivent pas à obtenir quoi que ce soit des paysans croisés sur la route. Ceux-ci craignent une famine et entendent conserver pour euxmêmes. Et la soif et la faim montent… Boule de Suif se penche à plusieurs reprises et passe une main sous ses jupes, elle hésite… Cornudet offre à boire à sa gourde, mais ils refusent tous

 Numance.  EIIe   se   fait   met-­‐ tre   enceinte,   renvoyer,   se   fait   remarquer   par   Madame   Numance,  gagne   sa  piFé  puis  son  acachement  au  bord  de   cece  route   où   elle  simule   l'endormissement   devant   une   Madame   Numance   frémissante   du   désir   de   donner   et   d'aimer.  Thérèse  avoue  que  Madame   Numance  a   fini  par

entend les dernières paroles de La Stilla. CHAPITRE 11: p151 à 164 Fran décida de partir pour le vieux burg avant d'aller en direction d'un autre village. Après avoir salué et promis d'aller voir les autorités aux habitants, ils se mirent en route. Arrivé au château, ils constatèrent que celui ci n'était pas dans une grande forme. La nuit tombant, ils se préparèrent à partir mais Franz vit La Stilla quelques secondes près du hêtre légendaires. CHAPITRE 12: p165 à 169 Franz convainc Rotzko

Les idées de « Vipère au poing » 7. Le style d’Hervé Bazin Travail : 1. Biographie Hervé Bazin est né à Angers en 1911 dans une famille bourgeoise, traditionaliste et profondément catholique. Dans une famille de ce type, ou l’on suit la route toute tracée, ou l’on se révolte. Il se révoltera donc, et fort. L’éducation qu’il aura reçue tout au long de son enfance et de son adolescence, ses déplorables rapports avec sa mère, ne pourront que l’y pousser. Après de vagues études de droit et

départ. Sans doute n'y aurait-il plus de moyens de transport. Il faudrait voyager très loin à bicyclette. Mes frères plaisantent ma petite soeur. Les roues de sa bicyclette ont à peine quarante centimètres de diamètre: “ On te laissera seule sur la route. ” Ma soeur sanglote. Mais quel entrain pour astiquer les machines! Plus de paresse. Ils proposent de réparer la mienne. Ils se lèvent dès l'aube pour connaître les nouvelles. Tandis que chacun s'étonne, je découvre enfin les mobiles de ce patriotisme:

serre ! Il rit et me tend un sweat noir. Je le remercie et il me regarde. Khloé : quoi ? Justin : quoi, quoi ? Khloé : bah retourne-toi ! Justin : riant Hein ? Khloé : toi te retourner ! Justin : se retournant Ok...ok Justin Bieber Elle est folle où ? Je me re-retourne et la regarde. Elle met sa main à son dos, attrape la fermeture et la glisse jusqu'en bas. Elle dégage ses cheveux et enlève doucement sa robe. Putain le cul ! Elle met le sweat. On va se retourner hein ! ? : c'est bon !

une haine s'installe due au racisme et l'ignorance, ils se détestent mais tiennent l'un à l'autre, ils sont les mêmes et ils le savent. Ils se doivent de s'aider parce-que l'un sans l'autre aucun n'arriverait à leur fin. Après une longue nuit de route, les voici arriver à l'embouchure du Guadalquivir. Pépita sent alors la fin arriver, mais il n'y a pas de douleurs, elle est là où elle voulait être, elle est heureuse et se laisse alors partir. frédéric donne son sac dans lequel il y a l'adresse d'un

d'une femme qui ne donnera pas la clefs de ses actes. En effet, ces récits sont entrecoupés par des interrogatoires, parfois traversés d'humour, avec le commissaire. La jeune femme maintient qu'elle aurait trouvé ces sacs renfermant les sexes sur la route, les aurait ramassés comme elle aurait cueuilli des fleurs et les aurait conservés par fetichisme. Après des investigations infructueuses, le système judiciaire n’eut d’autre alternative que de la libérer. La première partie se finit donc sur les adieux

le journal. Elle le prit, pâlit et, avec le merveilleux illogisme des femmes, éclata en sanglots désespérés. « Oh ! mon Lucio, mon pauvre Lucio, mon trésor… » balbutiait-elle dans ses larmes. La scène finit par exaspérer l’homme. « Mais tu deviens folle, Mathilde ? Tu ne vois donc pas que je suis là ? Mais tu ne comprends donc pas que c’est une erreur, une épouvantable erreur ? »Mathilde cessa immédiatement de pleurer, regarda son mari, son visage se rasséréna, et alors, soudain, tout aussi rapidement