La Force du préjugé

ce qui nous a blessé. Voilà ce que notre auteur a réussit à faire malgré les années de souffrances physiques et psychologiques que son père lui a infligées. Qui pourrait imaginer qu’on puisse frapper un enfant à ce point ? Comment trouver en soi la force de pardonner de tels actes ? Cet enfant a eut une vie de misère, traité comme un délinquant alors qu’il a été une victime toute sa vie. Il nous donne une grande leçon de courage car il n’a pas baissé les bras un seul jour dans sa vie. Il s’est battu

s’impose d’autant plus que le sujet conscient –l’évident par excellence – a été l’objet de toute les remises en causes depuis le XIX° siècle : on pourra certes reconnaître là un nouveau progrès, de nouvelles victoires contre l’illusion, fût-elle le préjugé le plus constant du rationalisme. Ce sera surtout l’occasion, dans le cadre de ce traitement, d’examiner si le sujet n’a pas vitalement besoin de l’illusion ou d’illusions pour valoriser, à juste titre, ce qu’il vit. La prétention constante du

des hommes soumis à leurs propres préjuges. Il y a comme une forme d’inertie de préjugé qui maintient notre esprit vers le bas et l’empêche de s’élever. 2) La libération douloureuse : Dans un premier temps cette libération échoue : elle est trop brusque ou brutale. La découverte éblouissant de la vérité rappelle l’éblouissement d’Œdipe lorsque celui-ci découvre une vérité tellement insupportable qu’ il se crève les yeux. Elle échoue aussi car elle est trop forcée. Or peut-on forcer quelqu’un à être

avec force en son Ethique dont notre texte est extrait. 2ème étape : la problématique En effet, c'est ici, au travers de la référence à la notion de plaisir que S. aborde le problème de la sagesse et de la vertu: qu'en est-il de la véritable sagesse et de l'authentique vertu par rapport aux plaisirs? 3ème étape : la thèse directrice Or, quelle est la réponse essentielle que l'auteur nous donne? Toute répudiation systématique des plaisirs n'est qu'à mettre au compte des préjugés faux

abyme + morale ambigu Les decis° sont en relat° ac la deter des couleurs dnt les A tolerance gagne mais el sourd fait tt basculer. sont incapble. Le sourd sait reperer la faute chez les autre mais produit la mm. B-Personnages → Critique du prejugé (pas de preuve,aucun examen ‡ raison) Les aveugles: «Quinze-vinght», «!Ils», «eux» «les aveugles»: On a en filigrane la critique du dogme(opini° mise ne son jms individualisé mais juste nomé par leur caractr com 1 verité incontestable) phisique

Peut-on douter de tout ? Pour les rationalistes, il faut mettre de côté l'expérience des sens. Est-ce véritablement possible ? Pour les platoniciens, il faut négliger l'opinion commune pour atteindre le vrai. Peut-on réellement se défaire de ses préjugés ? Faire appel à son esprit critique, c'est utiliser sa raison. Or, il est des domaines qui, à jamais, resteront inaccessibles à la raison : ainsi du problème de l'existence de Dieu, par exemple. L'esprit critique connaît donc les mêmes limites

Nous avons tous vécu ce que l’on nomme un cas de conscience : cette expérience témoigne du fait que nous avons un pouvoir de décision qui peut à tout moment avoir besoin de se déterminer malgré des circonstances peu favorables. Ainsi si je suis forcé de porter un faux témoignage sous peine de mort, malgré ces terribles circonstances, je sais néanmoins que je dois faire un choix. On peut se demander toutefois dans quelle mesure la conscience n’est pas en vérité déterminée à son insu et si en vérité

le spectacle dans la salle, que ce soit les marquis ou le parterre. En creux, les textes proposent ainsi une bonne attitude de spectateurs : un spectateur se laissant aller à la sensation ; et un spectateur acceptant de remettre en question ses préjugés L'écriture d'invention :Il fallait insister sur le récit de trois expériences (avec vocabulaire des sensations) : celle de la salle, celle de la scène, et celle des réactions intérieures du narrateur Quelles attitudes de spectateur ces textes proposent-ils

propres mots cette thèse et dire en quoi est-elle paradoxale. La phrase qui porte le plus nettement la thèse du texte est la première : « la valeur de la philosophie doit en réalité surtout résider dans son caractère incertain même. » L’intérêt et la force du travail philosophique, c’est précisément qu’il n’aboutit jamais à des vérités stables et définitives, ou à des résolutions simples de problèmes, mais au contraire, il génère une instabilité qui alimente le doute et met toujours la pensée en mouvement

Elles s’opposent ainsi aux séductions des religions, préjugés, opinions et autres modes de la croyance et de l’illusion.“Car c’est proprement avoir les yeux fermés sans tâcher jamais de les ouvrir que de vivre sans philosopher ” (Descartes, Principes de la Philosophie, I, Lettre-Préface). De fait, la philosophie s’est toujours efforcée de combattre l’’illusion. Exemple : Spinoza (Ethique, 1, Appendice) montrait ainsi que tous les préjugés humains découlent de cette croyance (religieuse et superstitieuse)