La Fuite en avant

un tétrasyllabe (4 vers), ensuite un hexamètre (6 vers) et enfin un décasyllabes. Le refrain est en heptamètre (7 vers). Nous étudierons d'abord le cadre du poème puis nous verrons la souffrance amoureuse et enfin nous étudierons l'angoisse de la fuite du temps. I- Le cadre du poème : 1.1 Le Pont Mirabeau : Le texte mentionne le nom du Pont Mirabeau, qui se trouve au XVe arrondissement et qui est voisin d'Apollinaire. Il s'agit d'un pont métallique évoquant la modernité. Apollinaire est

 Commentaire Le pont Mirabeau Introduction + premier axe Le pont Mirabeau est un poème écrit en 1913 par Guillaume Apollinaire, auteur moderne et avant gardiste du XXème siècle. Il s’agit du deuxième poème du recueil Alcools, ouvrage majeur d’Apollinaire. Ici, il fait référence à sa rupture avec la peintre Marie Laurencin, personne avec laquelle il aimait se promener sur le pont. Le registre lyrique du poème permet à l’auteur d’exprimer les différents sentiments qu’il éprouve à ce moment

traiterons de la volonté de trouver une échappatoire ou une alternative à ces confrontations, volonté qui se dégage de cette pièce. Enfin, nous analyserons le comportement de Louis, qui se place au-delà d’une volonté d’affrontement ou de fuite. Plan : I. Fuite : comportements et langage évasifs + mensongesA. Comportement de Louis et de la Mère, volonté de fuir responsabilités : Ex : Scène 1, 2 : « je suis très content », « cela me fait plaisir, je suis touché, j’ai été touché » : parle très

Persistance de la mémoire est un tableau surréaliste peint en 1931 par Salvador Dali. C'est une huile sur toile connue dans le grand public sous le titre Les Montres molles et l'un des plus célèbres tableaux du peintre. Cette peinture représente la fuite du temps avec les montres molles aux heures différentes. La toile tourne en dérision de la rigidité du temps opposé au titre de l’œuvre. «La toile reflète les angoisses du peintre devant l'inexorable avancée du temps et de la mort.» (Wikipédia)

avait causé un scandale, certains voulant sa destruction. Mais il a résisté, ce qui n’est pas indifférent dans le cadre du poème. Il était devenu emblématique de leur amour. Leur couple rompu, le pont inspira au poète une méditation lyrique sur la fuite du temps et de l'amour, méditation dans laquelle il balança entre la résignation douloureuse au changement inévitable et un espoir violent de permanence. Dans une lettre à Madeleine Pagès (1915), il a dit du poème, qu’il est comme «la chanson triste

l'antiquité dans la première strophe et des personnages du moyen âge dans la deuxième et troisième strophe. On peut en déduire que le poème suit l'ordre chronologique. La dernière femme citée est morte au buché en 1431. Soit une trentaine d'années avant l'écriture du poème. Il y a donc une volonté de remonter aux origines tout en articulant le poème à un passé proche pour lui conférer une dimension contemporaine voir intemporel. Cela apparait également dans le refrain avec le terme «  d'antan » que

chansons de plus en plus dramatiques. En effet, cette chanson est donc autobiographique et d'un registre pathétique et très réaliste. Il décrit la vie banale de ces « vieux » comme un combat constant contre le temps, une fuite qui aboutit à une mort certaine. Alors en quoi la fuite du temps est-elle si tragique d'après Jacques Brel? On pourra ainsi étudier dans un premier temps la vision pathétique et réaliste de Brel de la vieillesse, derrière laquelle on se verra étudier, dans un deuxième temps

frère d'Yvonne est tout l’opposé de celle-ci : il est instable et insouciant comme un « royal enfant » gâté, « impérieux et fantasque », exalté comme un « jeune héros romantique » errant « sur les routes d’Allemagne », suicidaire et pourtant vieilli avant l’âge – un âge jamais annoncé, indistinct : seulement « trop jeune pour se marier », selon l’oncle Florentin. Tout lui paraît permis et il vit dans le monde du jeu, d’un « jeu extraordinaire dont (on) ne connaît pas le fin mot » ; c’est un voyageur

histoire du général Suter. Dans un petit village près de Bâle, en Suisse, J. A. Suter tente désespérément d’obtenir un passeport en vue de quitter le pays, mais en vain. Son entreprise est grande : il est bien disposé à gagner la capitale parisienne avant de rejoindre le Nouveau Monde. Pressé par ce rêve fou, il quitte sa femme et sa famille, et sans le sous, traverse la frontière suisse et rejoint Paris. Il est alors âgé de trente-et- un ans. Petit-fils de la dynastie des Suter, il débarque à Paris

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