La Gentrification

les Observatoires de l’habitat, dans Scots ou Pays, PLH d’agglomération…). 3. Moteurs et processus de périurbanisation - Autour des grandes agglomérations : a) effets d’exurbanisation (sorties d’activités, progrès des bureaux et services, gentrification sur certains quartiers – cf. les OPAH-) ; b) les parties agglomérées fixent les progrès du logement social–malgré art.55 de la loi SRU - ; les renforcements en équipements supérieurs (santé, formation, affaires,ZAC) ; la périurbanisation reste

richesses mais aussi les réformes dans le domaine de la santé ainsi que la réduction de la taille des habitations sont des facteurs de la modifications des relations entre les individus. En effet, l'augmentation des richesse donne lieu a une gentrifications de quartiers mais également a de nouveaux codes dans les relations entre les individus. L'âge n'est plus prioritaire dans les rapports entre les individus. Concernant le domaine de la santé, l'apparition de maisons de retraites (principalement

de pouvoir politique ( NY : ONU, Washington : MB et Capitole ); un centre culturel ( musée, lieux mythiques : Times Square, Hollywood et le soft power ), cosmopolite ( un atout : information sur toutes les cultures du monde ) une dynamique de gentrification (cf. Baltimore, Pittsburgh…) et de métropolisation…. Une modernisation perpétuelle avec l’essor des technopoles, sur le modèle de la 1ère : la Silicon Valley. Un réseau métropolitain national multipolaire. Limites : crise de la ville avec des

financières fournies par les pays industrialisés. Caste : Classe sociale fermée Coefficient de Gini : mesure statistique de la dispersion d'une distribution dans une population donnée. Croissance : Augmentation globale de l'activité économique. Gentrification : phénomène urbain par lequel des arrivants plus aisés s'approprient un espace initialement occupé par des habitants ou usagers moins favorisés. Organisation de coopération de Shanghai : Organisation intergouvernementale régionale asiatique qui

l’ancien espace portuaire, la revalorisation du patrimoine (plan lumière, rénovation des façades) doivent concourir à restaurer l’attractivité d’un centre en déclin vis-à-vis de potentiels consommateurs (zone commerciale des quais) et/ou habitants (gentrification). En revanche, les terrains d’étude ici sélectionnés (Pessac, Talence, SaintMédard-en-Jalles, Blanquefort), situés dans l’ouest prospère de l’agglomération, bénéficient d’un attractivité assez forte, souvent renforcés par des centres spécialisés

sociale (avec une bipolarisation qui évoque la figure du sablier : des emplois très qualifiés et des emplois très peu qualifiés), voire même la polarisation sociale (riches et pauvres se répartissent dans des zones distinctes dans la ville) ; • la gentrification : surreprésentation de jeunes actifs qualifiés, souvent célibataires ou en couple sans enfants (appelés DINKies aux Etats-Unis, pour Double Income No Kids) La « bidonvillisation » du monde La « bidonvillisation » du monde • la mondialisation

quartier d’affaires (Central Business District). Au fur et a mesure que l’on s’éloigne de ce centre, plus on trouve de quartiers résidentiels. C’est al première ceinture qui constitue les quartiers plus défavorisés. Ces quartiers sont en voie de « gentrification », soit en voie de réhabilitation. La pression immobilière est tellement forte dans les grandes villes, en plus des difficultés des migrations pendulaires, pousse toute une jeune génération, aisée avec une bonne situation, à réinvestir ces quartiers

protégés de grilles, comme les gated communities, jouxtant des zones de taudis et de bidonvilles, favelas latino-américaines, slums indiens. Les opérations immobilières dans les quartiers vieillis des centres-villes sont à l’origine du processus de gentrification[8] : les populations pauvres n’ont guère accès à ces centres reconstruits après destruction ou réhabilités. À toutes les échelles, les politiques mises en œuvre n'ont pas résolu les inégalités. Des besoins élémentaires ne sont pas satisfaits

que le quartier en question a connu un phé- nomène de gentrification important ? La gentrification vient du mot anglais « gentry » qui signifie « petite noblesse ». C’est le processus par le- quel des personnes d’une classe sociale aisée s’ap- proprient, petit à petit, un quartier autrefois habité par des personnes plus défavorisées. Cette transformation s’accompagne d’une explosion des prix de l’immobi- lier. Un exemple connu de gentrification est le quartier de Harlem à New-York, ou celui du centre

une augmentation du prix du foncier [terrain, prix du m2 et les loyers]. Les classes sociales moyennes et populaires rencontrent des difficultés pour se loger ou accéder à la propriété. Elles sont peu à peu reléguées en périphérie de Paris. La gentrification est un phénomène urbain d'embourgeoisement. C'est le processus par lequel le profil économique et social des habitants d'un quartier se transforme au profit exclusif d'une couche sociale supérieure. Doc 2 p. 143 : Aux USA, il existe le phénomène