La Grande-duchesse de Gérolstein

certain succès. Cette année est celle de la Grande Exposition universelle de Paris. Offenbach en profite pour louer un petit théâtre sur les Champs Elysées qu’il baptise "Les Bouffes parisiens". Il y présente deux de ses opérettes dont Les deux aveugles qui lui vaut cette fois un triomphe. Désormais, il règne sur la scène musicale du Second Empire. En 1857, Offenbach est acclamé à Londres où il se produit avec sa troupe. En 1858, il réalise son premier grand spectacle : Orphée aux enfers. Malgré un

Diffusion Du spectacle [pic] 2011/2012 Diffusion du spectacle vivant Le Cirque d’hiver Petit historique: Le cirque d’hiver est arrivé dans la famille Bouglione le 28 octobre 1934. On pourra y apercevoir tout les grands artistes de l’époque comme Pauline Borelli qui fût la 1ere dompteuse. La famille Bouglione est depuis toujours dans l’univers du cirque. Le cirque d’hiver est connu mondialement dans les années 50 il était très connu pour faire venir le Tout Hollywood

entre monarchistes et libéraux. Plus précisément, au milieu du XIXe siècle (1852), le second empire fait son apparition avec, comme «empereur des Français», Napoléon Bonaparte (III). Même cette période, qui durera de 1850 à 1870, se divise en deux grandes parties. L’Empire autoritaire de 1850 à 1860, qui contrôle ce que le peuple doit faire, voir et savoir et l’Empire libéral, de 1860 à 1870, qui se dirige de plus en plus vers le parlementarisme et la liberté d’expression. C’est dans ce contexte que

tard, il décide d’ouvrir son théâtre afin d’y produire ses œuvres : la salle des Bouffes-Parisiens, inaugurée en 1855. C’est là qu’est créé avec succès le premier opéra-bouffe d’Offenbach, Orphée aux Enfers (1858). Ses opéras suivants (La Grande-Duchesse de Gerolstein, La Vie parisienne, Les Brigands) sont tout aussi bien connus. Attentif au goût du public, Offenbach se tourne ensuite vers l’opéra-bouffe-féérie (Le Roi Carotte) puis vers l’opéra patriotique (La Fille du Tambour-Major).Offenbach meurt

Europe, les mariages étaient l’affaire des familles, et les unions arrangées par les parents ou tuteurs légaux. Être unie à un parfait inconnu pouvait représenter quelque chose d’angoissant et d’effrayant pour des jeunes filles, surtout lorsqu’un grand nombre d’années les séparaient de leur futur conjoint. La sexualité, découverte par la majorité des jeunes filles le soir de leurs noces en ces temps, n’est pas le thème du récit, contrairement à La Belle au bois dormant ou au Petit chaperon rouge

possession, de ces messieurs. « Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari.» (Code civil de 1804). C’est un monde où les demi-mondaines se multiplient et où certaines d’entre elles, seules les élites, peuvent atteindre les plus grandes personnalités masculines de ce temps, se faisant ainsi entretenir. La femme mariée ne décidait de rien, tout dépendait du bon vouloir et des envies de son mari. « L’homme a reçu de la nature une clé avec laquelle il remonte sa femme toutes les vingt-quatre

TEATRO MALANDROOmar PorrasLa Visite dela vieille damede Friedrich DürrenmattPour ses 25 ans, le Teatro Malandro recrée un de ses grands succèsLa Visite de la vieille damede Friedrich Dürrenmattdu 17 avril au 9 mai 2015 au Théâtre de Carouge – Atelier de GenèveTournée en Suisse, en France et en Belgiquewww.malandro.chLa Visite de la vieille dame, Teatro Malandro, 2004 © J.−P. LozouetLa Visite de la vieille dame 2015 – Teatro Malandro2SOMMAIREp. 3En brefp. 4Distribution & tournéep. 5La Visite de

réactionnaires. Cette période correspond néanmoins à une phase de prospérité économique : la conjoncture est favorable et l’Empereur, qui a besoin du soutien de la Bourgeoisie, pratique une politique libérale (capitaliste) en matière économique (époque de Grands travaux). La France connaît alors son véritable décollage économique. Un vaste programme d’industrialisation est lancé. Le réseau ferré se développe considérablement (surtout dans le nord) et de nombreux canaux sont rendus navigables, favorisant

la suite d'un pari avec son ami Bobinet il décide de séduire une femme du monde. Prenant la place de leur guide il conduit chez lui un couple de d'aristocrates suédois : le Baron et la Baronne de Gondremarck, leur laissant croire qu'ils sont au Grand hôtel. Dans le but d"éloigner son mari pour séduire la baronne il demande l'aide de Bobinet qui organise pour le baron une prestigieuse réception, avec pour invités des valets et femmes de chambre déguisés en gens du monde. Sollicitée par le baron

fragmentaires, écrit ou pas un seul nom de philosophe ni de poète n’est cité, écrit tout entier tourné vers l’idée qu’il ne doit pas y « avoir de limites à la violence », pour reprendre une phrase du paragraphe 3 du chapitre 1, écrit qui, durant la grande guerre, inspira tant d’état major, provoquant sans doute tant de morts, écrit que Hitler voulait voir figurer dans la cantine de chaque soldat qui partait massacrer à l’Est, écrit, en un mot que le jury de l’agrégation de philosophie a chargé de représenter