La Grande Guerre Magritte

s'épanche, Et, blanche, elle sourit à son image blanche... Elle admire sa taille droite, ses beaux bras, Et sa hanche polie, et ses seins délicats, Et d'une main, que guide une exquise décence, Fait un voile pudique à sa jeune innocence. Mais un grand cri soudain retentit dans les bois, Et Xanthis tremble ainsi que la biche aux abois, Car elle a vu surgir, dans l'onde trop fidèle, Les cornes du méchant satyre amoureux d'elle. Albert Samain Corps et Âmes (1869) Heureux

| |Problématique retenue |Comment VOLTAIRE parvient-il à aborder les grandes préoccupations philosophiques de | | |son temps par le récit initiatique d'un personnage naïf ? | |OEUVRE INTEGRALE, |La question de la guerre : "Rien n'était si beau, si leste, si brillant... et | |Candide, VOLTAIRE, 1758. |n'oubliant

des adversaires se faisant face poussent des grognements et hurlements, roulent les yeux, tirent la langue et gesticulent pour annoncer et exhiber l'intention hostile. Ce rituel très formalisé est hérité, en éthologie humaine, de nos ancêtres les grands singes. Avant la singularité (D'une manière générale, le mot singularité décrit le caractère singulier de quelque chose ou de quelqu'un. En particulier, le...) sur le plan individuel de la Psychologie, la communication non verbale est du ressort de

du corps. Dans ce court chapitre du livre Ainsi parlait Zarathoustra, une des œuvres les plus célèbres de Nietzsche, on retrouve sous une forme métaphorico-poétique l’essentiel de sa conception de l’être humain, une conception qui souligne à grands traits l’importance du corps et de ses instincts dans la détermination de nos manières d’être et d’agir. Nous nous efforcerons donc ici de décoder, presque phrase par phrase, ce texte énigmatique, afin d’en comprendre le sens et la portée. Cela

que j’aime à jamais toi qui m’as inventé Tu ne supportais pas l’oppression ni l’injure Tu chantais en rêvant le bonheur sur la terre Tu rêvais d’être libre et je te continue. Paul Eluard La mémoire – René Magritte Ce coeur qui haïssait la guerre Ce coeur qui haïssait la guerre voilà qu'il bat pour le combat et la bataille ! Ce coeur qui ne battait qu'au rythme des marées, à celui des saisons, à celui des heures du jour et de la nuit, Voilà qu'il se gonfle et qu'il envoie dans les

masse en France depuis 1914 "Culture de masse", "industries culturelles", "Mainstream" : ces expressions désignent, à différentes périodes, un phénomène similaire, caractérisé par la production en grand nombre de biens culturels, destinés à plaire au plus grand nombre et consommés par le plus grand nombre. Nous pouvons nous interroger sur ce phénomène et son évolution et sur sa portée économique,politique et socio-culturelle. C’est dès le milieu du XIX ème siècle qu’apparaissent les premières

Goethe et Johann Christoph Friedrich von Schiller En France Jean-Jacques Rousseau, René de Chateaubriand et Madame de Staël (qui a popularisé en France le terme « romantisme » et lui a donné son sens littéraire) On peut distinguer parmi les grands auteurs romantiques français : Victor Hugo, avec ses principales œuvres Cromwell en 1827  Hernani en 1830  Les feuilles d'Automne en 1831  Notre-Dame-de-Paris en 1831  Ruy Blas en 1833  Châtiments en 1853  Les contemplations en 1856  La

à la mort d’Anatole France en 1924), dans l’acceptation et dans l’utilisation du hasard, ainsi que dans la fascination pour la folie (Nadja, André Breton, 1928). L’engagementpolitique Le mouvement surréaliste connut son apogée dans l’entre-deux-guerres. Son organe principal, la Révolution surréaliste, fondé en 1924, fut dirigé par Pierre Naville et par Benjamin Péret. En 1930, la revue devint le Surréalisme au service de la révolution, traduisant l’orientation politique du mouvement (qui avait adhéré

historiquement fondé sur la volonté d’affronter le contemporain, le désir de s’ouvrir à tous et le refus du beau style. Le réalisme est l’un des mouvements le plus paradoxal. Il n’a laissé en effet aucune œuvre à la postérité, mais se sont inscrits les plus grands romanciers comme Honoré de Balzac, George Sand, Stendhal ou encore Gustave Flaubert qui n’ont jamais revendiqué cette étiquette. Les initiateurs du réalisme sont Edmond Duranty avec la revue manifeste Réalisme, de 1856-1857 et Champfleury dans deux

temps. 2 créateurs de la pléiade  Ronsard : alexandrin = « le vers héroïque » Du Bellay A la même époque, dans le contexte des guerres de religions : Agrippa d’Aubigné dans Les tragiques défend le protestantisme contre le fanatisme des catholiques (tient de l’épopée, du lyrisme, de la satire) * XVI/XVII : Le Baroque Favorisé par le climat d’instabilité des guerres de religion. La poésie baroque affectionne les thèmes de l’instabilité, de la mort, et a un goût marqué pour les figures d’opposition