La Grande Misère De La France

Dominique : un homme de compassion. 1. Dominique touchee par la misere en Palencia. La direction de la vie du jeune Dominique fut fuxee par ses parents, ceux-ci choisirent pour lui la carriere ecclesiastique. Dominique ne montra aucun signe de revolte contre la vie choisie pour lui. Il etudia la Bible avec amour et passion, ce qu’il mettra partout dans sa vie. La compassion de Domininque se percoit mieux dans le prochain grand tournant de sa vie. Dans la ville de Palencia, la ou il faisait ses

21 Euros Retraite de ministre ( à vie et convertible après son décès en rente viagère pour ses héritiers tranquilles): 8.776,34 Euros Retraite de maire de Neuilly ( à vie ): 6.241, 92 Euros soit un total mensuel de : 49.191,02 Euros> Une grande misère...misère, aurait chanté Coluche. Même si, tout à fait légalement, 30 % de ces revenus ne sont pas imposables, il reste tout de même à notre agité de l'Elysée un revenu imposable mensuel de 34.435,71 Euros Mais sur ces petites rentes, Sarko ne paye

point commun de tous ces travailleurs est la misère. Dans les usines, les ouvriers sont soumis à un règlement très strict. Les journées de travail durent entre 13 et 15 heures. Les seuls jours de repos sont le dimanche et les fêtes religieuses. Ils gagnent peu et le complément de ressources qu'apportent femme et enfants est indispensable à la survie de leur famille. La première difficulté (maladie, chômage, accident) plonge la famille dans la misère. La majeure partie du budget d'un ouvrier est

Le froid terrible et "inouï" (ligne 5) (jusqu'à moins 20 degrés Celsius) qui sévît sur la France, depuis la nuit du 6 janvier jusqu'à la mi-mars, gèle la plus grande partie des grains (blés semés) et des arbres fruitiers (oliviers, noyers...). Il en résulte une hausse des prix brutale et catastrophique (montants multipliés par 5) et une dramatique crise frumentaire suivie d'épidémies foudroyantes. La France n’a pas besoin de cette catastrophe : depuis 1702, elle se débat dans le conflit de la Succession

supérieure à la moyenne. « Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre, qui produit l’argent en créant la misère, qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil. » Victor Hugo. Pourquoi Villermé a-t-il été amené à s’interroger sur le milieu du travail ? Qu’est-ce que ces travaux ont apporté à la recherche du 19ème siècle ? Situation de l’Europe au 19ème siècle. La France dans une situation précaire : Villermé publie Tableau de l’état physique et moral des ouvriers dans les fabriques de

La France au début des années trente. La France a beaucoup souffert de la guerre. Mais la reconstruction s'est faite rapidement et le pays a retouvé à la fin des années vingt, son rang de grande puissance mondiale. La natalité en baisse fait que la population n'augmente plus et le patronat favorise l'immigration pour disposer de plus de main d'oeuvre bon marché. Dans la société, les inégalités sociales restent importantes et alors que la bourgeoisie, enrichie par la guerre, s'étourdit dans

La condition ouvrière au 19ème siècle en France. Classe ouvrière : idée du prolétariat miséreux, déshérité, broyé par la Révolution Industrielle.  Idée diffusée par la littérature et les arts. Ex : Germinal – Zola : à travers le personnage d’Etienne Lantier, Zola décrit les conditions de travail et de vie des ouvrières des mines du Nord de la France. Classe ouvrière = fruit de nombreuses évolutions : Politiques : instabilité des régimes politiques + nombreux courants idéologiques. Economiques :

divertissement mais aussi artiste réaliste = s’intéresse réalité de son époque. Recueil Paroles surtout poésie réaliste écrit dans une langue simple. Ce poème parle de la misère mis en musique. Annoncer question examinateur : on pourra se demander / réfléchir à… LECTURE  REPONSE QUESTION : I) UN TABLEAU TERRIBLE DE LA MISERE. 1) Un personnage totalement indéfini. Plrs fois « l’homme » / « il » généralisation Sur représentation présent indicatif de vérité généralfait non pas unique

leurs deux filles. Quant au fils Gavroche, un vrai gamin de Paris, il a choisi de vivre dans la rue. Cette famille accueille un nouveau voisin, un jeune homme, petit-fils d'un "grand bourgeois", nommé Marius Pontmercy. Marius, son père et son grand-père A la mort de Mme Pontmercy, M. Gillenormand anti bonapartiste et grand royaliste, prend l’éducation de son petit fils, Marius et en fait un bon petit royaliste. A dix-sept ans, Marius apprend que son père n’est pas mort au combat comme il l’a toujours

durant toute sa vie mène un combat contre l’injustice et la misère, il a seulement 27 ans lorsqu’il publie Le Dernier Jour d’un condamné. La rédaction de ce roman est séparée en plusieurs périodes, la première époque de rédaction se situe pendant les années 1845-1848, à cette époque Hugo vient d’être nomme pair de France, ses papiers nous indiquent qu’il commence à écrire le 17 novembre 1845. Outre l’intérêt déjà ancien pour la misère, deux événements survenus dans la vie personnelle de l’auteur