La Jeune Fille Et La Mort

place au service de la cour du Roi- fondateur avec Joachim du Bellay de la Pléiade (nom donné par 7 poètes pour faire passer le français comme une langue poétique) Les Odes (1553) – composition : 10 odes. Cette ode est dédiée à Cassandre Salviati, fille d’un banquier Italien Ref. mythologique – princesse Troyenne dont Apollon est amoureux. Poème suivant le Carpe Diem : « le temps fuit, la vie est courte, la jeunesse est éphémère » Hédonisme // Composition : 3 sixains d’octosyllabes. LECTURE DU POEME

Histoire : Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné a mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamnés à mort. Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère. Il raconte aussi quelques bribes de son passé et

passant- la passante» est un poème en alexandrin écrit par Victor Hugo en 1869. C’est un dialogue entre une femme et un homme d’ont on ne connaît pas le nom. Les protagonistes sont donc anonymes. Au début du texte l’homme demande sont âge à la jeune fille qui répond «seize ans», et son origine, Aubin. C’est la seul information personnelle que nous avons sur eux. Dans les vers la césure ne ce fait pas toujours à l’hémistiche. Et, chose peux commune pour un poème, il est écrit comme une pièce de théâtre

http://www.laformation.ma Le dernier jour d'un condamné Le dernier jour d'un condamné Biographie Victor HUGO 1802-1885 Né à Besançon le 26 février 1802, mort à Paris le 22 mai 1885. Figure littéraire hors pair, Victor Hugo est, très jeune, attiré par la poésie et la gloire liée à l'écriture ; ses premiers succès lui apportent la célébrité. Poète, romancier, auteur dramatique, engagé politiquement (son roman le Dernier jour d'un condamné en est le prélude en 1829), exilé sous le Second

lumière, une jeune fille sort de son immeuble en courant. Ce qui interpelle notre jeune adolescent. D'ailleurs, ce soir, c'est décidé ! Il suivra cette jeune fille et il résoudra cette énigme ! Il n'est pas au bout de ses surprises. Quand il réussit à retrouver la jeune fille, Ida, à la bibliothèque, celle-ci lui dit qu'en réalité elle a 84 ans ! Elle lui raconte alors une histoire abracadabrante. D'après elle, lorsqu'elle écrit ses mémoires, elle s'incarnerait en jeune fille, celle qu'elle

rappelle son passé de liberté cependant il se trouve prisonnier de l’idée de sa condamnation à mort. Cette pensée l’obsède et infecte sa vie. Elle est présentée comme une femme à deux bras qui le secoue, hante ses rêves et le poursuit partout.  Résumé du chapitre 2 : Récit de la proclamation de la condamnation à mort :  Le narrateur relate les événements passés le jour de la proclamation de sa condamnation à mort. Il décrit aussi les juges, les jurés, la salle d’audience, l’atmosphère qui y régnait

ville. Le père de Juliette se résout alors à marier sa fille au comte Paris. Juliette cherche refuge auprès de Frère Laurent, qui lui remet une potion lui permettant de feindre la mort pendant quarante heures. Après avoir fait promettre à l’homme d’église de prévenir Roméo du subterfuge, Juliette avale le breuvage. Hélas, Roméo ne reçoit pas la nouvelle à temps, et fou de douleur, se rend au tombeau de sa bien-aimée pour s’y donner la mort. Il y trouve Paris qu’il tue au terme d’un duel, avant d’avaler

Bienvenu, il fut pris de remords et se fixera alors un nouveau but : Devenir bon et honnête. En 1818, Fantine quitte Paris, là où elle avait rencontré un certain Tholomyès, avec qui elle avait eu une fille, il était partit juste après la naissance de sa fille. Elle porte dans ses bras la petite fille qu'elle a eu avec lui: Cosette. Fantine veut retourner à Montreuil sur Mer, sa ville natale, où elle espère trouver du travail. A Montfermeil, elle rencontre deux d'aubergistes, qui avaient l’air plutôt

engendre chez le lecteur ou le spectateur un sentiment de pitié, de tristesse ou d’effroi. Ici, la scène ne peut se termine autrement que sur la mort de l’un des personnages, la mort de la sœur étant plus plausible au vu des accusations et menaces qu’elle profère à l’encontre de son frère. Sa mort inspire tout de même de la pitié et de la compassion, la jeune fille vient tout de même de perdre de son amant, tué par la main de son frère, il est donc normal qu’elle soit peinée et furieuse. Elle l’exprime

informations qui quelque fois touchent la sensibilité des jeunes et leur donnent envi de reproduire ce qu’ils voient à travers elle. La liberté des jeunes et la perte des traditions car la jeune fille a trop de liberté et n’est plus surveillée par ces parents alors qu’autrefois lorsqu’on respectait les traditions la jeune fille était surveillé par ces parents ce qui limitait sa liberté. L’Etat ne s’occupe pas de la jeunesse. B- LES CAUSES FAMILIALES Sans attention les jeunes se laissent