La Jeune Fille à La Fleur

Vieille chanson du jeune temps est un poème de Victor Hugo, célèbre poète du 19eme siècle, chef de file du mouvement romantique. L’écriture de Victor Hugo est une écriture lyrique qui relève du mouvement romantique et qui correspond à l’expression personnelle de sentiments (joie, amour, sentiment de la nature, mélancolie…).Le poème appartient au recueil les Contemplations, les « Mémoires d’une âme », une sorte d’autobiographie poétique organisée en deux parties, « Autrefois » et « Aujourd’hui ».

Playden, la gouvernante de la jeune fille dont il est le précepteur. Mais cette dernière ne semble pas exprimer les mêmes sentiments que lui et le repousse. A l’intérieur de ce poème, la femme est comparée à une fleur, mais pas n’importe laquelle, un colchique, une fleur vénéneuse annonçant la fin de l’été et le début de l’automne, c’est donc l’inverse du mythe de la femme fleur. Au cours de notre étude nous pourrons nous demander comment Apollinaire exprime son état d’âme à travers son poème. Dans son

Sonnets pour Hélène, oeuvre de la maturité du poète. Fille d'honneur de la renne Catherine de Médicis, aussi remarquable par son esprit que par sa beauté, Hélène de Surgères avait perdu son fiancé dans la guerre civile et demeurait inconsolable. La reine invita Ronsard à l'immortaliser. Peu à peu, malgré leur différence d'âge et la réserve de la jeune fille, il se prit de l'aimer sincèrement, mais son retour. Ronsard dans le recueil continue à célébrer la beauté féminine comme dans Les Amours de

rouge est révolu. Brenda, quand à elle, est une femme comblée et très heureuse. Ce bonheur est expliqué par la naissance tant attendue. Cependant, Oluf est accablé de soucis, depuis la grossesse de sa femme, il fait le même cauchemar ; le chevaler à l’étoile rouge apparaît dans sa chambre tenant une épée sanguinolente. A l’aube un corbeau apparaît au château, tournoie dans tous les coins et jette des cris effrayants ce qui terrorise Brenda. Celle-ci comme une fleur sans eau, perd ses plus belles couleurs

lui fait l'astre d'or, que lui fait la charmille Où l'oiseau chante à l'ombre, et que lui font les cieux, Et les prés verts et les gazons silencieux ? Monsieur Prudhomme songe à marier sa fille Avec monsieur Machin, un jeune homme cossu. 10 Il est juste-milieu, botaniste et pansu. Quant aux faiseurs de vers, ces vauriens, ces maroufles, Ces fainéants barbus, mal peignés, il les a Plus en horreur que son éternel coryza, Et le printemps en fleurs

qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement: il a froid. Les parfums ne font plus frissonner sa narine; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au coté droit

1802 à Besançon en France. Son père était général sous le Premier Empire. Il aura cinq enfants avec sa femme Adèle Foucher. Il est avant tout poète, romancier et dramaturge et demeure, sans conteste, l'un des géants de la littérature française. Mais c’est aussi un intellectuel engagé dans la vie politique de son pays. Ses multiples prises de positions l’ont poussé à l’exil pendant les vingt ans du Second Empire. Il s’est affirmé comme le chef de file du romantisme. En tant que poète, il a écrit

Raymond Queneau Par Ghislaine Zaneboni Introduction : Raymond QUENEAU se souvient avec bonheur et humour de Ronsard quand il écrit en 1948 le pastiche « Si Tu t’imagines... » dans le recueil intitulé L'INSTANT FATAL. Dans un monologue adressé à une jeune fille, il unit les thèmes de l'amour et de la fuite du temps avec un style plein de fantaisie et d'originalité. (Problématique ) Comment la réécriture peut-elle être devenir source de poésie (ou, proposée en partie par Jimmy Degroote : en quoi la

voit sur la branche au mois de mai la rose, En sa belle jeunesse, en sa première fleur, Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l'Aube de ses pleurs au point du jour l'arrose; La grâce dans sa feuille, et l'amour se repose, Embaumant les jardins et les arbres d'odeur; Mais battue, ou de pluie, ou d'excessive ardeur1, Languissante elle meurt, feuille à feuille déclose2. Ainsi en ta première et jeune nouveauté, Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté, La Parque3 t'a tuée

« Ode à Cassandre » Par: Ramya Yoganathan Pierre de Ronsard  Le «prince des poètes» à son époque  Né le 11 Septembre, 1524 dans le Loir et Cher, France  Fils cadet d'une famille de noblesse.  Son père Loys de Ronsard a été maître d'hôtel du roi François I. Loir et Cher, France Pierre de Ronsard  Enfant, il a fait ses études à Paris. Comme son père, a travaillé à la cour.  Déplacement dans en Écosse et de nombreux autres pays, à la suite de la noblesse française. Études • En 1540, fin