La Liberté Exclut Elle La Contrainte

Certains hommes croient en dieu ; d’autres en plusieurs ; d’autres encore sont athées ou agnostiques. Tous ont à vivre ensemble. Cette vie commune, selon la première déclaration des droits de l’homme, doit assurer à chacun et sa liberté de conscience, qui exclut toute contrainte religieuse ou idéologique, et l’égalité de droit, incompatible avec la valorisation privilégiée d’une croyance. La puissance publique promeut le bien commun. Elle devra donc être neutre sur le plan confessionnel et développer

comme une raison qui se produit sans aucun recours à l’expérience (sorte de logique, dans un usage pratique , théorique ou spéculatif) , ensuite « la raison pratique » : La raison est pratique lorsqu'elle intègre la loi morale et la liberté dans sa réflexion. Kant exclut donc le dogmatisme des morales fondées sur des principes matériels. Il explique comment la loi morale suppose une foi rationnelle dans l'immortalité de l'âme et dans l'existence de Dieu. Obéir, c’est l’acte de se plier à un ordre

despote. Leur liberté de penser ne met pas en péril l’Etat et la religion. L’éducation joue donc un rôle central et circulaire : elle rend possible la liberté, qui elle-même doit orienter ses principes et en constituer le but suprême. 1 Plan du texte 1-3 : Minorité, majorité, tutorat (faux-éducateurs) : difficulté de devenir libre 4-6 : l’accès aux Lumières est possible, si la loi garantit la liberté d’expression. Sens et limite de cette liberté fondamentale. 7-8 : la liberté religieuse 9-12 :

légitimité, dans la valeur. La notion d’autorité exclut la contrainte, la violence. Obéissance à l’autorité : obéissance consentie, d’adhésion. Persuasion : situation d’égalité. On cherche à persuader l’autre quand on le tient pour son égal. L’autorité présuppose une hiérarchie. On parle d’argument d’autorité : celui qui dénonce par sa seule qualité est supposé avoir raison.   ​La liberté nécessite un rapport à l’autorité. L’autorité est la boussole de la liberté ?   ​Selon Arendt, la crise de l’autorité

conflit intérieur ; les dilemmes moraux sont liés à des défauts de caractère, à un manque de paix intérieure. La plus haute forme d’accomplissement pour un être humain c’est la vie contemplative, ce qui nécessite d’être un homme citoyen, ce qui exclut notamment les esclaves. L’éthique de la joie et du bonheur de Spinoza. L’humain éprouve de la joie et du bonheur lorsque croît son pouvoir ou sa capacité d’agir. Le bonheur est dans la puissance à l’égard des mondes extérieur et intérieur ; et le

théologico-politique, VII : "Si chacun avait la liberté d’interpréter à sa guise les lois de l’Etat, la société ne pourrait subsister, elle tomberait aussitôt en dissolution, le droit public devenant droit privé. Il en va tout autrement dans la religion. Puisqu’elle consiste non dans des actions extérieures, mais dans la simplicité et la candeur de l’âme, elle n’est soumise à aucun canon, à aucune autorité publique et nul absolument ne peut être contraint par la force ou par les lois à posséder la béatitude

La liberté Concept de liberté Le concept de liberté divise schématiquement les philosophes en deux camps : d’une part, ceux qui en font le fondement de l'action et de la morale humaines (Epicure, Descartes, Kant) et d’autre part, ceux qui nient une quelconque transcendance de la volonté par rapport à des déterminismes (Démocrite, Spinoza, Nietzsche). « Se déterminer à » ou « être déterminé par » : tel semble être tout l’enjeu d’une vie au cours de laquelle s’opposent d’une part le «destin »

Antithèse : d’un côté, les « gens libères », de l’autre les « gens déprimés et asservis ». La contrainte empêche l’épanouissement. La nature humaine étant fondamentalement bonne, il faut laisser aux hommes une totale liberté pour leur permettre d’épanouir une vie morale pleine. 3) Ses conséquences (« Par cette liberté … leurs noces ») Cette partie s’ouvre par l’expression triomphante « par cette liberté ». Ce tableau paradisiaque où chacun épanouit sa nature dans une vie communautaire parfaite fait

TRAVAIL ET LIBERTE SONT-ILS COMPATIBLES ? I-​ANALYSE DES TERMES Travail: activité par laquelle l'homme produit des biens et des services pour la satisfaction de ses besoins Liberté: a/ définie négativement, c'est l'absence de contraintes b/ définie positivement, c'est le pouvoir d'agir de telle ou telle façon (ce pouvoir étant justement permis par     l'absence de contraintes) Sont-ils compatibles?: peuvent-ils coexister, l'un peut-il être si l'autre est? Ne s'excluent-ils pas l'un l'autre?

préventive ou répressive. CE 1919 Labonne L’exécutif est investi du pouvoir de police générale sur le territoire de la République CE 1975 Bouvet de la Maisonneuve Décision d’opportunité que de droit dans la mesure où ce sont des contraintes mineures pour les libertés individuelles. CE 1902 Commun de Néris les Bains L’autorité locale peut compléter les mesures nationales et les rendre plus strictes, mais pas les alléger. TC 1935 Action Française Définit comme une voie de fait une mesure de police