La Libre Pensée

Sganarelle, contre son créancier et contre son père, il gagne haut la main. D'autre part, son cynisme et son hypocrisie ne peuvent que révulser le spectateur. En fait, la pièce est une réflexion sur le libertinage et ses excès. Molière est adepte de la libre-pensée, mais respecte les convictions religieuses. Il s'attaque principalement à toute forme d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambigüe. Certes

lui enlève ses illusions et esquisse un portrait de son maître, libre penseur, "grand seigneur méchant homme" et " épouseur à toutes mains" . Arrive Dom Juan : il confie à Sganarelle que seule la conquête l’intéresse. Il évoque l’inconstance de l’amour et dévoile à son valet le secret de son propre caractère : il ne peut s'attacher à aucune femme, et rêve, tels les grands conquérants, de succès sans cesse recommencés. Le voici libre de se lancer dans une nouvelle "entreprise amoureuse" : il s'agit

la honte de sa famille. Il y a également chez Dom Juan, la transgression du ciel. Il croit seulement que « deux et deux sont quatre » et que « quatre et quatre sont huit ». Il refuse, à maintes reprises de se repentir ; il garde une attitude de libre pensée à l'encontre de tous les codes sociaux de l'époque. Même à sa mort, il refuse de se renier. Sganarelle : Sganarelle mêle souvent les dictons populaires, fait preuve d'un certain bon sens, mais reste assez maladroit. En revanche, l'éloge paradoxal

rabat. » Ou encore : « un honneste homme n'est ny François, ny Aleman, ny Espagnol, il est Citoyen du monde, et sa patrie est par tout. » De plus, « ...le peu d'esperance qu'il avoit d'estre considéré, faute d'un patron aupres de qui son genie tout libre le rendoit incapable de s'assujettir, et enfin le grand amour qu'il avoit pour l'estude, le firent entierement renoncer au mestier de la guerre... » Savinien arrêta là sa carrière militaire. Un libertin Cyrano faisait partie de ces intellectuels

la beauté. Rompu aux discours, il sait être démonstratif et convaincant, capable de mensonges, de fausses promesses ou d'hypocrisie si nécessaire. Sa principale caractéristique est cependant l'athéisme avec toutes les conséquences que ce choix de libre penseur implique dans la société de son temps. Il ne craint pas le Ciel, auquel il ne croit pas, se moque de la dévotion et du repentir, critique les faux dévots et la cabale, et affiche en permanence son scepticisme. Tourmenté malgré tout par le surnaturel

n’était pas un sophiste? En l’an 470 avant J.-C. est né l’un des hommes les plus influents qu’a connu le monde .Jusqu'à aujourd’hui plusieurs personnes s’entendent pour affirmer que Socrate est le père de la philosophie. Ce libre penseur parcourait les rues d’Athènes et enseignait son savoir. Socrate était-il un sophiste? Une question qui rend perplexe les philosophes les plus expérimentés. Pour ma part, je crois que, malgré le fait que Socrate partageait quelques points en

fantomatique. Cette ambiguïté est renforcée par le caractère contradictoire de ce personnage. La construction du personnage dessine, en effet, le portrait d’un libertin au double sens du terme: D’abord, le débauché, corrompu et corrupteur. Ensuite, le libre penseur qui utilise la débauche pour atteindre son but politique, Lorenzo de Médicis est au nombre des personnages qui entourent le duc Alexandre. Il est le fils de Pierre-François de Médicis et, à ce titre, le cousin du Duc de Florence. Ce dernier

qu'il voi l-10" je crois..." il assimile la voi a une voi fam, sans doute par rapprochement a tte les voi qui ce sont elevé pour le mettre en garde dans l'acte IV. Par ailleur le verbe de volonté "vouloir" au l-13 et 18 sont conforment a l'esprit de libre penseur de DJ, ainsi que les doubles negations aux l-17 et 22 montre que le perso n'a pas peur ce qui illustre brillament le caractère courageux et téméraire du perso. En outre, il va resoudre le pb en gentil-H l-17 à 19 comme il l'a déjà fait avec

point de départ des péripéties qui vont suivre : aussi bien la séduction des paysannes que la poursuite de DJ… -> punition du Ciel. Le portrait du personnage principal et ses enjeux. Le portrait d’un libertin séducteur de femme invétéré & libre penseur & incroyant Le lien entre les deux aspects est le mariage originalité de DJ synthétisée par la formule de Sganarelle « un grand seigneur méchant homme. » Les enjeux de la pièces : le respect des normes sociales et religieuses. Tous les

lui enlève ses illusions et esquisse un portrait de son maître, libre penseur, "grand seigneur méchant homme" et " épouseur à toutes mains" . Arrive Dom Juan : il confie à Sganarelle que seule la conquête l’intéresse. Il évoque l’inconstance de l’amour et dévoile à son valet le secret de son propre caractère : il ne peut s'attacher à aucune femme, et rêve, tels les grands conquérants, de succès sans cesse recommencés. Le voici libre de se lancer dans une nouvelle "entreprise amoureuse" : il s'agit