La Limite Du Pib Comme Agrégat économique

ÉCONOMIE POLITIQUE CLASSES DE 2D ET 2G DE L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE Commission Nationale des Programmes en Sciences économiques et sociales -1- Table des matières PREMIERE PARTIE : LA CONSOMMATION Chapitre 1: La consommation et l’épargne 1. Introduction 2. La consommation 2.1. Les différents types de consommation 2.2. Les déterminants de la consommation 3. L’épargne 3.1. Les motifs de l’épargne 3.2. Les formes de l’épargne 4. Les instruments de mesure 5. Synthèse 6. Questions de synthèse

totale du PIB, la consommation est la partie la + importante. Sur le PIB français en 2007, une large part des emplois a été destinée aux exportations. L'approche des revenus : Le PIB correspond à la somme des revenus des facteurs de production. Lorsque la richesse a été produite, elle va être ensuite distribuée. Revenus qui rémunèrent le travail, le capital et l'État (revenus nets liés à la production = impôts liés à la production – subventions d'exploitation). /!\ Définition PIB à connaître

l’activité économique nationale. Elle décrit le phénomène fondamental de la production, de la distribution de la répartition, accumulation des richesses. Elle enregistre les transactions entre les grands ensembles qui constituent la nation. Ces résultats se présente sous une forme propre à facilité les comparaisons et les études synthétique » Initiation à la comptabilité national, Paris 1964. Rolland GRAGNIER et Jean MARCZEWSAI: « la comptabilité national est une branche de la science économique. Branche

Devoir maison de sciences économiques et sociales Document 1 1) Le PIB par habitant est calculé par le quotient de la somme des valeurs ajoutées sur la population totale (Somme des valeurs ajoutées/population totale). 2) Le PIB est un indicateur implicite des richesses produites pour 5 raisons : - le PIB ne prend pas en compte l'économie souterraine ou l'économie informelle - le PIB sous-estime la production non marchande des administrations (La production non marchande ne peut être évalué

également d'atteindre les autres objectifs de la politique économique, qualifié de triangle keynésien : la croissance, le plein emploi, l'équilibre extérieur. La politique monétaire se distingue de la politique budgétaire. Ces deux politiques interagissent et forment ensemble le Policy-mix . Les objectifs de la politique monétaire D'après la théorie économique moderne, le but de la banque centrale est de maximiser le bien être économique des ménages (Miskin). Ainsi, on attribue généralement deux

de leur billet en or mais la banque ne peux pas. 1721 banque LAN 1848 : seul la banque de France peut émettre, monopole de l'émission de billet, les Bcom ne peuvent plus, cela limite la quantité de billet 1914 : le billet n'est plus convertible en métaux précieux, la loi oblige toute personne à accepter le billet comme moyen de paiement cours forcé : le billet n'est plus convertible cours légal : billet accepté partout le billet de banque change de nature, il passe de monnaie papier à une monnaie

Chapitre 1 : Le Circuit Economique Derrière toute activité éco se trouve un échange, il est au fondement de toute activité économique. C’est à partir de ce principe simple et aussi à partir de la volonté de rendre compte des relations entre les agents économiques à l’échelle d’une nation que s’est développée la représentation de l’économie sous forme de circuit. Cette représentation sous forme de circuit peut être remontée jusqu’aux origines de la science économique moderne (XVIIIème siècle

La croissance économique. La croissance économique est un phénomène récent dans l’histoire de l’humanité, elle découle de la révolution industrielle des pays européens au 18e et 19e et des transformations économiques et sociales survenues de 1945 à 1974 durant les Trente Glorieuses. La croissance est caractérisée par l’augmentation du niveau de la production d’un pays ou d’un groupe de pays pris dans son ensemble comme l’union européenne par exemple. La croissance économique s’inscrit dans

parlant comme l’ensemble des caractéristiques physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes. L’Homme a longtemps vécu en symbiose avec l’environnement, comme n’importe quelle autre espèce animale. Il était à la fois « prédateur et proie ». La biocénose : équilibre spontané. On ne se posait pas de question, le monde et les ressources étaient sans fin. On se demandait juste comment maitriser les éléments naturels. Quesnay (fin 17e) : physiocrates. Il a insisté dans son tableau économique sur

évidence le surplus de ressources économiques, humaines et naturelles dont dispose l’économie pour compenser la dépréciation du capital matériel, humain et naturel. L’empreinte écologique recourt quant à elle à des facteurs d’équivalence en hectares globaux pour mesurer la surface biologique nécessaire à la survie d’une population donnée. Même si ces indicateurs peuvent éclairer utilement telle ou telle facette du développement durable, aucun n’a encore réussi à s’imposer comme référence internationale univoque