La Lison

2. Tu imagines une histoire. Tu vas la raconter aux enfants. Tu imagines une histoire que tu vas raconter aux enfants. 3. Nous lisons des poèmes. Ils sont très beaux. Nous lisons des poèmes qui sont très beaux. 4. Ils cueillent des fraises. Ils les mangent avec plaisir. Ils cueillent des fraises qu'ils mangent avec plaisir.

et dans ses actions lorsqu’il lui vint à cœur de s’identifier à son propre peuple, qui était le peuple de Dieu. Après ce pas, il a dû éprouver un choc terrible en voyant qu’il était rejeté par eux. À la parole de l’un d’entre eux, il s’enfuit. Nous lisons en Hébreux 11:27 que Moise ne craignit pas la colère du roi, toutefois il ne put supporter ce refus de la part des siens. Il avait agi dans la conscience de ses capacités exceptionnelles, et maintenant il devait être instruit par Dieu pendant quarante

réconfort. 12. Tante Lison est un personnage obscur qui intervient pour des événements exceptionnels (maladie, mort ou naissance). Elle est à l’origine d’une scène pathétique où elle pleure devant le bonheur de Julien et de Jeanne, bonheur d’ailleurs éphémère (chapitre IV). Elle permet de compléter la peinture de la condition féminine au XIXe siècle : une femme célibataire est une femme sans identité, sans féminité, presque sans existence : « Quand on prononçait “tante Lison” […] c’est comme si on

de repères spatio-temporels, liés aux moments importants de la vie de l’héroïne. 3) Ce récit est écrit à la troisième personne et adopte un point de vue omniscient (on le remarque à la page 36 , lorsque le narrateur évoque le passé de tante Lison, la tante de Jeanne, l’héroïne de ce livre). Tout de même, le narrateur ne fait pas partie de l’histoire. 4) Le personnage principal de ce roman s’appelle Jeanne : jusqu’à 12 ans, elle vit avec ses parents sur la côte normande. Mais son père

Zola veut élucider la nature humaine elle- même. Avec ce titre en forme d’oxymore, c’est notre âme, ou plutôt ce que nous prenons naïvement pour notre âme, qu’il dissèque. La bête humaine : un oxymore riche de sens La personnification obsédante de la Lison, que Jacques aime à défaut de pouvoir aimer les femmes, doit être lue dans les deux sens, à double voie en quelque sorte. La machine est une métaphore du corps, le substitut matériel de la bête tapie en chacun de nous (C. Duchet). Elle est l’emblème

107 au vers 118, une mise en abyme est dessinée : Tristan qui lui-même est sur la route va écrire un lai (on sait qu’à l’époque c’est la composition d’un chant oral). Nous lisons ces derniers vers d’un lai écrit en suivant un chevalier qui écrit aussi un lai sur cette rencontre. On comprend au vers 114 que le texte que nous lisons est alors sûrement composé et raconté par Tristan, vers 111, qui souhaitait marquer dans le temps sa rencontre avec la reine. Cette écriture d’un lai marque également le

Fourville va tuer Julien et Gilberte. Paul guérit et part en pension à 15 ans au collège du Havres, où il suivra des études jugées minables aux yeux de toute sa famille. Jeanne se retrouve ainsi seule après la mort du baron, de la baronne et de sa tante Lison. Personnages principaux [modifier] Une Vie Jeanne Le Perthuis des Vauds [modifier] Personnage principal de l’histoire. Jeanne est une grande jeune fille, blonde aux yeux bleus, aux formes épanouies. Ayant reçu une éducation destinée à éveiller

nombreuses tragédies, que nous ne lisons plus, il nous parle bien davantage à travers ses romans philosophiques comme Candide. Il se voulait le continuateur de Racine, mais il s’est enfermé dans des recettes usées, et son théâtre désuet a cessé de nous parler parce qu’au lieu de recréer un monde il ne fait qu’en copier un révolu, celui de Racine, et du siècle de Louis XIV. b) Bien des œuvres ont ainsi cessé de solliciter notre intérêt et nous ne les lisons plus. Qui se préoccupe encore des

bêtes humaines : il s’agit en premier de Lantier, le conducteur de train, qui est victime d’une folle envie de meurtre lorsqu’une femme l’attire. Puis l’autre bête humaine c’est également la locomotive à vapeur que lantier conduit, il l’a surnomme la Lison, comparée à une femme tout au long du roman et entretenue ainsi qu’aimée comme une maîtresse par le chauffeur et son mécanicien Pecqueux. L’originalité de cette œuvre est que l’histoire se passe d’un bout à l’autre sur la ligne de chemin de fer de

de nombreuses tragédies, que nous ne lisons plus, il nous parle bien davantage à travers ses romans philosophiques comme Candide. Il se voulait le continuateur de Racine, mais il s'est enfermé dans des recettes usées, et son théâtre désuet a cessé de nous parler parce qu'au lieu de recréer un monde il ne fait qu'en copier un révolu, celui de Racine, et du siècle de Louis XIV. b) Bien des œuvres ont ainsi cessé de solliciter notre intérêt et nous ne les lisons plus. Qui se préoccupe encore des œuvres