La Lison

car il sait que nous croyons Hitler puissant, mechant, a la tete d'une armée, nous ne pensons donc pas que le «  Pauvre petit garcon » peut etre Hitler, pourtant, le narrateur nous donne des indices auxquels nous ne fais pas attentions quand nous lisons le texte tels que :  « Dolfi », qui ressemble a un diminutif d' Adolf Hitler, «  c’était quand même un fusil ! » ligne 17 , (référence a la guerre.), le narrateur fait une description du moment ou les enfants jouent a la guerre. «  se senti appelé

publication. Je ne vois pas en quoi les textes des étudiants devraient échapper à la règle. Parce qu’il étudient en lettres, ils devraient tous s’appeler Rimbaud ou Nelligan et pondre sur commande chef-d’œuvre sur chef-d’œuvre? Allons! Combien d’articles lisons-nous tous les jours en nous demandant comment ils ont bien pu se retrouver dans un journal, respecté ou non? Pour ma part, je suis au contraire souvent soufflé par la qualité dont sont capables mes étudiants. Bien sûr, et comme tout le monde, ils

mené aux noirs par les blancs. II- Les causes du suicide dans le roman Un piège sans fin A- Les causes du suicide dans le roman Un piège sans fin Elles se traduisent ici par deux aspects. D’une part les pages 48 à la page 60 mais lisons tous les mépris de Bakary par les blancs où ce te illustration est l’envoie des gardes aux domiciles du riche Bakary pour l’exercice des travaux forces. Ce refus de Bakary lui coûta d’abord des coups. Cela s’illustre de la page 48 à 53 ; ensuite contre

Rougon-Macquart. L'histoire évoque le monde du chemin de fer et se déroule tout au long de la ligne Paris-Saint-Lazare - Le Havre. On a coutume de dire qu'elle comporte deux héros : d'une part le mécanicien Jacques Lantier et de l'autre sa locomotive, la Lison, que Lantier aime plus qu'une femme. Outre son aspect documentaire, La Bête humaine est un roman noir, sorte de thriller du XIXe siècle ; c'est aussi un roman sur l'hérédité, Jacques souffrant d'une folie homicide que Zola rattache à l'alcoolisme des

dans les Écritures, ainsi que dans l'usage commun, toute période de temps déterminée ou spéciale. Ainsi, l'on parle par exemple du jour de Noé*; *définie ; le « jour de la tentation dans le désert »* *pour quarante ans; le « jour du salut »; nous lisons aussi le « jour de la vengeance », le « jour de la colère », le « jour de la détresse » *Le*« jour de Christ », le « jour du jugement » et « son jour », Pourquoi devrait-on supposer que ce jour de jugement n'aurait qu'une durée de douze ou de vingt-quatre

proposant un style personnel. Nous étudierons donc la manière dont la réécriture d’Anouilh se distingue de celle de Sophocle à travers les détails qui différencient ces deux prologues. Tout d’abord, la première différence qui apparaît lorsque nous lisons ces deux prologues est la manière dont ils ont été écrits. Le prologue dans l’œuvre d’origine apparaît comme un dialogue entre Antigone et Ismène, où nous apprenons la force et le caractère du protagoniste à travers ses paroles. L’intrigue de la scène

le poème retient le temps et fixe pour l’éternité un moment de bonheur inoubliable. Lamartine montre ici que l’art est un moyen de lutter contre le temps qui passe et force est de constater qu’il réussit son projet puisque, aujourd’hui encore, nous lisons son poème et partageons avec lui son souvenir.

LECTURES CONSEILLEES Quand nous lisons ces petites histoires à propos de rien, nous sentons notre horizon s'élargir, notre âme atteindre une étonnante impression de liberté. Virginia Woolf Il est plus que souhaitable pour l’élève qui arrive en classe de seconde au lycée Henri IV de posséder un petit bagage culturel, notamment en littérature. Voici donc une liste indicative dans laquelle vous pouvez puiser pour vos lectures d’été ou tout au long de l’année. Pour ce faire, il est toujours

amour. La princesse construit son destin par la raison.Style formelle, perfect. Il y a des hyperboles. On dit seulement ce qu’est essentiel avec pudeur et retenue.Construction que descend en verticale, elle analyse la psicologie des personnages, nous lisons leurs pensées.Derrière la décision de tout avouer à son mari il y a l’idée d’un mariage éternel, la manque d’expérience, son éducation religieuse, elle nourrie une profonde estime envers son mari. Le fait de vouloir se reconnaître dans une idée de

lecture La lecture apporte quelque chose de spécifique et d’unique par rapport au théâtre, au cinéma... car le texte que nous lisons n’existe que parce que nous le faisons exister. Le lecteur est actif. Il ne consomme pas, n’absorbe pas passivement : tout son psychisme est mobilisé, non seulement sa capacité de lire, et sa compréhension, mais aussi son imagination. Ce que nous lisons, nous nous le représentons. La lecture est autrement plus riche. Il faut décider par nous-mêmes des visages, des genres