La Littérature Africaine Est Elle Une Littérature De Combat

charge mythique et mystique qui mène le lecteur jusqu’à le contraindre à lire et à tout lire pour comprendre et sentir, ou à lire (à écouter), à sentir et à s’obliger à comprendre… si l’on veut ! Sentir, ici aura suffi. Cette vision de l’objet de la littérature ou du fait littéraire justifie donc que la critique littéraire aille au-delà des pétitions de principe, telle l’évocation du non-dit qui sourd des idées (thèmes) et du style (écriture), pour atteindre l’objet de vibration du Sentir qu’est la mystique

1.1.1 Antiquité : Valentin MUDIMBE : représentant de la pensée philosophique Afro-Américaine. Pour lui, l’Afrique antique (Libye) bénéficiait d’une image positive. Cette image était véhiculée par des récits ; Homère (9ACN) : décrivait les Africains comme des gens fidèles et pieux. Diodore De Sicile (1ACN) : les Ethiopiens sont les 1ers hommes, les 1ers religieux et ils sont à la base de la civilisation égyptienne. Dans l’antiquité, le concept de race n’existe pas comme nous le connaissons

d'engagement qui existe ensuite nous allons aborder les points positifs et négatifs d'un tel engagement. Il existe plusieurs sortes d'écrits engagés. Tout d'abord le théâtre qui permet à l'écrivain d'exprimer son point de vue, son engagement dans les combats de son temps, comme Césaire qui met en scène des conflits contemporains, les pressions économiques et les trahisons politiques qui accompagnent la décolonisation dans une saison au Congo. Ensuite on a aussi le texte poétique qui s'engage dans l'histoire

Figures de la jeunesse dans la littérature africaine francophone Remerciements Je tiens sincèrement à remercier Madame Malevergne pour sa patience, ses précieux conseils, sa relecture attentive et le travail que nous avons pu mener ensemble. Pour leurs conseils, leur relecture et leur présence, je remercie mes filles Alice et Céleste et mon filleul Emmanuel. Sans leur soutien et leur écoute, je n’aurai jamais achevé cette étude. Je remercie également mon mari pour sa patience

accueillant des élèves dont une majorité est d’origine africaine, il nous a semblé intéressant d’aborder le thème du patrimoine et de la mémoire collective à travers une séquence initiale regroupant des textes littéraires d’auteurs francophones engagés entre autres dans un combat pour la reconnaissance de l’identité et de la culture africaine. Cette séquence a aussi pour but d’aborder dès le début de l’année le thème de l’engagement en littérature, de la quête de soi et des échanges interculturels

de DANY LAFERRIÈRE : Œuvre métisse ? OPTION : LITTÉRATURE Mémoire de Magister présenté par : SOUMEYA BOUANANE Sous la direction de : Mme BOUBA TABTI MAÎTRE DE CONFÉRENCE À L’UNIVERSITÉ D’ALGER ALGER 2005/2006 MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITÉ D’ALGER FACULTÉ DES LETTRES ET DES LANGUES DÉPARTEMENT DE FRANÇAIS Pays sans chapeau de DANY LAFERRIÈRE : Œuvre métisse ? OPTION : LITTÉRATURE Mémoire de Magister présenté par : SOUMEYA BOUANANE

Normandie) en février 1896. Il est issu d’une famille modeste et fait des études de médecine. Mobilisé au moment de la guerre, il est infirmier militaire à Nantes. Il se lie avec Apollinaire et fonde, avec Louis Aragon et Philippe Soupault, la revue Littérature en 1919. Il adhère au mouvement Dada, qu’il quittera plus tard. Avec Soupault, Breton découvre l’écriture automatique. Ensemble, ils publient Les Champs magnétiques en 1920. Breton publie des textes poétiques (Clair de Terre en 1923 et Poisson

discordance dans la littérature maghrébine, faisant voler en éclats aussi bien les dogmes littéraires que les valeurs sclérosantes. Enfant terrible de la littérature maghrébine, Khaïr-Eddine y occupe une place marquante et participe à sa vitalité et à son renouvellement. Tôt venu à la littérature, il déclenche avec d'autres ce grand mouvement régénérateur de la production maghrébine, qu'est le mouvement Souffles, en 1966. Avec eux, il apporte un sang neuf à cette littérature jusque là trop astreinte

avec les ONG et les autorités locales organisent périodiquement des manifestations, de portée internationale. et ce, en vue de redécouvrir la valeur des contes et leur redonner la place qu’ils méritent dans le paysage culturel. Cependant, cette littérature orale est vue par les ‘’sans goût’’ comme une ‘’chose’’ simple et banale, alors que les historiens, les ethnologues, les psychologues se rejoignent pour affirmer qu’elle correspond à des besoin naturels de l’homme.

pays d’Afrique de l’Ouest. Quelle que soit leur opinion, rarement crise africaine aura autant et aussi rapidement fait réagir les intellectuels. On avait peu entendu les Africains au lendemain du cataclysme que fut le génocide rwandais de 1994. Au point qu’un groupe d’écrivains, menés par le dramaturge tchadien Nocky Djedanoum avait, dix ans plus tard, dû entamer un salutaire travail de mémoire pour sensibiliser les Africains à ce crime de masse. Cette fois, même si les situations sont, à bien des