La Lune Rousse

Dick, 1964 Pour la traduction française : ©Éditions Opta, 1969 3 Du même auteur aux Éditions J’ai lu Loterie solaire, J’ai lu 547 Dr Bloodmoney, J’ai lu 563 Le Maître du Haut Château, J’ai lu 567 À rebrousse-temps, J’ai lu 613 Les clans de la lune alphane, J’ai lu 879 Blade Runner, J’ai lu 1768 Les braconniers du cosmos, Librio 211 4 Ce que je veux dire, c’est… enfin… gardez-vous d’oublier que nous ne sommes que des créatures issues de la poussière. Oui, c’est peu comme encouragement

tout le temps qu’il chantait, un corbeau noir vernissé, luisant comme le jais, se tenait sur son épaule ; il battait la mesure avec son bec d’ébène, et semblait applaudir en secouant ses ailes. — Edwige pâlissait, pâlissait comme les lis du clair de lune ; Edwige rougissait, rougissait comme les roses de l’aurore, et se laissait aller en arrière dans son grand fauteuil, languissante, à demi morte, enivrée comme si elle avait respiré le parfum fatal de ces fleurs qui font mourir. Enfin le maître

..................................................89 XXXV. Les Fenêtres................................................................ 91 XXXVI. Le Désir de peindre ...................................................92 XXXVII. Les Bienfaits de la lune ............................................94 XXXVIII. Laquelle est la vraie ? .............................................96 XXXIX. Un cheval de race ......................................................97 XL. Le Miroir .......................

..................................................89 XXXV. Les Fenêtres................................................................ 91 XXXVI. Le Désir de peindre ...................................................92 XXXVII. Les Bienfaits de la lune ............................................94 XXXVIII. Laquelle est la vraie ? .............................................96 XXXIX. Un cheval de race ......................................................97 XL. Le Miroir .......................

nettement voir la lune. — Et pourquoi ça ? Il est bien dur avec nous, lui, grogna Damon qui marchait devant moi en direction de l’écurie. (Mezzanotte et Jake, déjà attelés, battaient du sabot avec impatience.) J’ai demandé à Alfred de tout préparer. Au cas où nous devions déguerpir. Damon enfourcha Jake puis partit au galop en direction inverse du bourg. Nous gardâmes le silence pendant une demi-heure au moins. Le claquement régulier des fers sur la route et la lumière du clair de lune qui filtrait à

étranges, ce soir. Elle avait des cils immenses, et sa peau était pâle, pâleur que renforçait la noirceur de ses cheveux. Une toute petite tache de naissance brun clair marquait sa pommette, juste sous son œil gauche. On aurait dit un croissant de lune. Elle ne ressemblait à aucun élève de Jackson. Elle ne ressemblait à personne que je connaissais. Elle a passé sa cape par-dessus sa tête. Son tee-shirt noir et son jean collaient à son corps, comme si elle était tombée dans une piscine. Son gilet

fou. Jacintha : maîtresse d’Onuphrius, yeux noirs. Lord Byron (Bonaparte) : 25 ans, yeux verts, un frac noir, le pantalon pareil, un gilet de velours rouge taillé en pourpoint, des gants blancs, un binocle d’or, des cheveux en brosse, une barbe rousse, ces trait étaient parfaitement réguliers, son profil fin et correct, mais il y avait tant d’irone dans cette bouche pâle et mince, dont les coins fuyaient sous l’ombre de leurs moustaches, tant de méchanceté dans cette prunelle comme l’œil d’un vampire

substituer le pape au roi. Mais le pape doit inspirer la politique des rois, doit juger les politiques séculières en raison de l’imbrication du temporel et du spirituel. Utilise l’allégorie des astres : les astres étant le soleil (désigne la papauté) et la lune (inférieure au soleil, désigne l’empereur : il n’est « qu’un reflet ») : domination de l’église sur le séculier. 31/ Les Dictatus papae de 1075 : les instructions dictées par le pape Grégoire VII Grégoire VII va écrire un texte qui contient 27

1870s. Disponible sur Feedbooks pour Maupassant: • Bel Ami (1885) • Le Horla (1887) • Contes divers 1875 - 1880 (1880) • Boule de Suif (1880) • Une Vie (1883) • Contes de la Bécasse (1883) • Pierre et Jean (1888) • Contes divers 1883 (1883) • Clair de Lune (1883) • Mademoiselle Fifi (1882) Note: This book is brought to you by Feedbooks http://www.feedbooks.com Strictly for personal use, do not use this file for commercial purposes. 2 Partie 1 3 Chapitre 1 Les premiers baigneurs, les

connaît point, où l’on tremble sans savoir pourquoi, comme en traversant un cimetière : et c’est en effet le plus sinistre des cimetières, celui où l’on n’a point de tombeau. La terre est bornée pour le pêcheur, et dans l’ombre, quand il n’y a pas de lune, la rivière est illimitée. Un marin n’éprouve point la même chose pour la mer. Elle est souvent dure et méchante c’est vrai, mais elle crie, elle hurle, elle est loyale, la grande mer ; tandis que la rivière est silencieuse et perfide. Elle ne gronde