La Main du diable

l'intérêt, la convenance ou la vanité nous présentent sans cesse. Il est si doux d'être aimé pour soi-même ; et si je pouvais m'assurer sous ce déguisement... Au diable l'importun ! SCENE II FIGARO, LE COMTE, caché FIGARO, une guitare sur le dos attachée en bandoulière avec un large ruban il chantonne gaiement, un papier et un crayon à la main. __ Bannissons le chagrin, Il nous consume : Sans le feu du bon vin Qui nous rallume, Réduit à languir, L'homme, sans plaisir, Vivrait somme un sot,

................ 23 86e jour de Martobre. Entre le jour et la nuit. .......................... 24 Pas de date. Ce jour-là était sans date. ...................................... 26 J'ai oublié la date. Il n'y a pas eu de mois non plus. C'était le diable sait quoi. ......................................................................... 27 Le 1er. .......................................................................................... 27 Madrid, 30 février. ....................................

Sang du Christ ! On se mettra demain aux fenêtres. Pourvu qu'il n'ait pas imaginé quelque cuirasse nouvelle, quelque cotte de mailles. 20 Maudite invention ! Lutter avec Dieu et le diable, ce n'est rien ; mais lutter avec des bouts de ferraille croisés les uns sur les autres par la main sale d'un armurier ! -Je passerai le second pour entrer ; il posera son épée là, -ou là -oui, sur le canapé. -Quant à l'affaire du baudrier à rouler autour de la garde, cela est aisé

l'influence de ses parents, ainsi que ses différences et ressemblances avec le Dom Juan de Molière. 6) Analyser la relation que le héros entretient avec Dom Garcia Navarro. Relever et commenter les passages du récit qui assimilent ce personnage au diable. 7) Quels épisodes de la nouvelle font écho au titre de celleci ? 8) A quel moment le récit glisse-t-il vers le fantastique ? Analyser les marques et les procédés stylistiques qui caractérisent ce registre. 1) Présenter brièvement l'auteur et

etc. = Acte I = Scène 1 Un jardin. - Clair de lune ; un pavillon dans le fond, un autre sur le devant. Entrent le Duc et Lorenzo, couverts de leurs manteaux ; GIOMO, une lanterne à la main. 1 LE DUC - Qu’elle se fasse attendre encore un quart d’heure, et je m’en vais. Il fait un froid de tous les diables. LORENZO - Patience, Altesse, patience. LE DUC - Elle devait sortir de chez sa mère à minuit ; il est minuit, et elle ne vient pourtant pas. LORENZO - Si elle ne vient pas, dites que je

BOURGEOIS , etc. = Acte I = Scène 1 Un jardin. - Clair de lune ; un pavillon dans le fond, un autre sur le devant. Entrent le Duc et Lorenzo, couverts de leurs manteaux ; GIOMO, une lanterne à la main. 1 LE DUC - Qu’elle se fasse attendre encore un quart d’heure, et je m’en vais. Il fait un froid de tous les diables. LORENZO - Patience, Altesse, patience. LE DUC - Elle devait sortir de chez sa mère à minuit ; il est minuit, et elle ne vient pourtant pas. LORENZO - Si elle ne vient pas, dites que je suis

et 2 font 4 ». Dom Juan cruel Un tentateur satanique, incarnation du Diable Dans cette scène, D.J est montré comme diabolique en demandant au pauvre de blasphémer en échange d’un Louis d’or. Dom Juan test la volonté du pauvre en lui imposant un dilemme. D.J est comparé au Diable. Répétition de « jurer ». De plus, les interjections tels que « Ah ah » et « eh » peuvent aussi montrer un Dom Juan possédé par le Diable. Il ironise le sort du pauvre : « tu te moque, un homme qui prie le Ciel

Le spectre en femme voilée : - Champ lexical du Ciel avec : « Ciel », « miséricorde », « repent », « diable » à Le spectre est l’envoyé des cieux pour un ultime avertissement. - « en femme voilée », « je crois connaître cette voix » à Représentation des victimes du donjuanisme. - Le spectre semble être catégorique dans ses propos dû à l’utilisation en fin de phrase de « résolu » : « Dom juan n’a plus qu’un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel ; et s’il ne se repent

• Scapin agit dans le but de se venger de Géronte, le père de son maître, Léandre. A qui il a était obligé d’avouer ses péchés, son maître induit en erreur par son père, l’a accusé de trahison. • Scène connue par la célèbre répétition : < que diable allait - il faire dans cette galère ? > phrase empruntée à Cyrano dans <le pédant joué> Pbq : COMMENT SCAPIN S’Y PREND T –IL POUR SE JOUER DU PERE DE SON MAITRE ? 1er mouv : l.1-12 ; préambule à la disgrâce de Léandre • Scapin (Scp)

Tamango 1829 Le capitaine Ledoux était un bon marin. Il avait commencé par être simple matelot, puis il devint aide-timonier. Au combat de Trafalgar, il eut la main gauche fracassée par un éclat de bois ; il fut amputé, et congédié ensuite avec de bons certificats. Le repos ne lui convenait guère, et, l’occasion de se rembarquer se présentant, il servit, en qualité de second lieutenant, à bord d’un corsaire. L’argent qu’il retira de quelques prises lui permit d’acheter des livres et d’étudier