La Maison du chat-qui-pelote

siècle: 1. HONORE DE BALZAC 1. Biographie • Père administrateur de l’Hospice général de Tours • Etudes secondaires peu brillantes, commence le droit. • Vie de labeur acharné : - Se lance dans la littérature et les affaires  fonde une maison d’édition qui fait faillite  grosses dettes  écrit ENORMEMENT pour les rembourser (= romans alimentaires) - Travaille 12 à 15 heures/jour et écrit roman sur roman  style pas tjrs soigné. • Succès avec “Les Chouans” (1829, 1er de la Comédie humaine)

LES ANIMAUX DOMESTIQUES 1 : Le chat domestique (Felis silvestris catus) est un mammifère carnivore de la famille des félidés. Il est l’un des principaux animaux de compagnie et compte aujourd’hui une cinquantaine de races différentes reconnues par les instances de certification. Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme les rongeurs. Les chats ont diverses vocalisations dont les ronronnements et les miaulements, bien qu’ils communiquent principalement par des

citation des sources et l'illustration. Le chat domestique (Felis silvestris catus) est un mammifère carnivore de la famille des félidés. Il est l’un des principaux animaux de compagnie et compte aujourd’hui une cinquantaine de races différentes reconnues par les instances de certification. Dans de nombreux pays, le chat entre dans le cadre de la législation sur les carnivores domestiques à l’instar du chien et du furet. Essentiellement territorial, le chat est un prédateur de petites proies comme

un dandy mais ne pouvait s'empêcher de se mettre les doigts dans le nez en public. Marc Marronnier adorait les fleuves qui traversent les grandes villes : la Tamise, la Volga, le Rhône, le Danube, la Bièvre. Marc Marronnier parlait sans arrêt de sa chatte. Marc Marronnier écoutait du rap. Marc Marronnier prétendait haïr le kitsch mais se réfugiait souvent dans le second degré. Marc Marronnier ne trouvait jamais de taxi et arrivait toujours en retard à ses rendezvous. Marc Marronnier était fatigant

employs et celle dOctave Mouret, ancien commis au Bonheur des dames, qui a rcemment perdu sa femme, Mme Hdouin, patronne du magasin dont il assume maintenant la direction. Il fait, en compagnie de son lieutenant et ami, Bourdoncle, sa tourne de la maison il a plein dides sur le commerce, procde des innovations, annonce une grande vente prochaine. Au rayon de la confection o Denise, effare, est enfin arrive, on la trouve triste et laide mais Mouret, qui survient ce moment, est sensible son charme

Balzac 33 Etudes Philosophiques 35 Balzac à la carte 36 Quelques résumés rapides… 37 Le père Goriot (1834-1835) 39 Le père Goriot - Résumé (2) 41 Eugénie Grandet (1933) 44 Eugénie Grandet -Fiche de lecture 46 Les Chouans (1829) 48 La maison du chat-qui-pelote (1830) 50 Balzac Illusions perdues (1837) 52 Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1847) 52 La cousine Bette (Scènes de la vie parisienne, 1846) 53 Le cousin Pons (1847) 53 Le colonel Chabert (1832) 54 Louis Lambert (1832) 54

Guy de Maupassant À la feuille de rose Maison turque BeQ Guy de Maupassant À la feuille de rose Maison turque La Bibliothèque électronique du Québec Collection Libertinage Volume 3 : version 1.01 2 À la feuille de rose Maison turque Édition de référence : Éditions d’Orphée, 2000. 3 Personnages Miché maquereau Crête de Coq garçon de bordel Monsieur Beauflanquet Maire de Conville Madame Beauflanquet Mairesse de Conville Léon amoureux de Madame Beauflanquet Raphaële

avait acheté une charge de receveur général des finances, le plaça auprès de lui comme commis de la recette générale. Cette sinécure, qui le mettait à l'abri du besoin, lui laissa le temps de mener une vie de dilettante cultivé, de recevoir, dans la maison de ses parents disparus qu’il occupait, quelques amis choisis (Charpentier, Colletet, La Mesnardière, Quinault...), de fréquenter les salons mondains, d’écrire, pour les dames qui en raffolaient, des vers galants teintés de préciosité : ________

très haut, quand il se baissait, pour donner certains détails. Le vieux Bosc n’avait pas remué, plein d’indifférence. Ces machines-là ne l’intéressaient plus. Il caressait un gros chat rouge, couché en rond sur la banquette, béatement ; et il finit par le prendre entre ses bras, avec la bonhomie tendre d’un roi gâteux. Le chat faisait le gros dos ; puis, après avoir flairé longuement la grande barbe blanche, répugné sans doute par l’odeur de colle, il retourna dormir en rond sur la banquette. Bosc restait

de caste, une pureté obligatoire des mœurs, l’orgueil d’habiter une demeure ancienne, honorée, close de partout, mais que l’on peut ouvrir à tout moment sur ses greniers aérés, son fenil empli, ses maîtres façonnés à l’usage et à la dignité de leur maison. En vraie provinciale, ma charmante mère, « Sido », tenait souvent ses yeux de l’âme fixés sur Paris. Théâtres de Paris, modes, fêtes de Paris, ne lui étaient ni indifférents, ni étrangers. Tout au plus les aimait-elle d’une passion un peu agressive