La Malédiction

humaine par ses personnages obscurs voués à la souffrance et subissant sans cesse la vague à l’âme. L’extrait tiré de l’œuvre Phèdre exprime clairement le thème principal de l’amour coupable. Phèdre, fille de Pasiphaé, est voué au supplice d’une malédiction éternelle qui s’abattra sur chaque femme descendant de sa famille. Ce mauvais sort infligé par les Dieux et apportant le dérèglement de ses sens, lui impose un amour défendu et maudit. On peut d’abord constater l’amour coupable lorsqu’elle dit :

pièce « Phèdre n'est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente ». Nous allons donc étudier les deux facettes de ce personnage. Tout d'abord nous allons montrer l'attitude innocente de Phèdre. Cette dernière est en effet victime d'une malédiction qui pèse sur sa famille depuis qu'Hélios dieu du Soleil, a dénoncé l'adultère de Vénus et Mars à son mari, la déesse abattit sa colère sur cette lignée comme l'on peut le voir lors de la tirade de Phèdre, « Ô haine de Vénus ! Ô fatale colère

Microsoft Word - Dissert Français.docxComposition littéraire Helena Hell LE POÈTE : UN MESSAGER ÉCLAIRÉ « Peuples ! Écoutez le poète ! Lui seul a le front éclairé. » Dans cette injonction aux peuples, Victoire Hugo définit le rôle du poète. Il est considéré comme l’élu, le porte-parole et c’est notre rôle, en tant que peuples de l’écouter, car lui seul détient le symbole de la pensée, la faculté de comprendre le monde. De ce fait, il est capable de le déchiffrer et il le voit alors

ils estiment avoir largement donné satisfaction au Christ, s’ils tiennent leur rôle d’évêques avec des ornements mystérieux et presque de théâtre, avec des cérémonies, les titres de Béatitude, de Révérence, de Sainteté, des bénédictions et des malédictions. Archaïque, désuet, totalement étranger à notre époque de faire des miracles ; instruire le peuple, c’est pénible ; expliquer la Sainte Ecriture, scolaire ; prier, oiseux[1] ; verser des larmes, minable et bon pour les femmes ; être dans le

préparer les petites filles aux changements qui les attendent. Malgré toute l'attention des parents et les dons prodigués par ses marraines, la petite fille est frappée dès le berceau, c'est-à-dire dès sa naissance, par la malédiction qui s'accomplira à son adolescence. Cette malédiction, marquée par le sang qui coule (une allusion à l'arrivée du cycle menstruel) a une origine ancestrale, symbolisée par la vieillesse de Carabosse. S'en suit un repli sur soi (un sommeil de cent ans) et une forêt de ronces

survole les terres, les montagnes et la mer, et aperçoit soudain une jeune fille enchaînée à un rocher ; elle s’appelle Andromède. Le roi Céphée, son père, l’a offerte en sacrifice au serpent des mers, afin de faire cesser la malédiction qui règne sur son village. La malédiction consiste en ce qu’un monstre vient sur l’île du roi Céphée, dévorant les révoltes et les gens, et pour faire cesser ce fléau, le roi doit donner sa propre fille en sacrifice. Le jeune homme tombe immédiatement amoureux d’Andromède

de prendre le trône a Atrée et devient l’amant de sa femme, pour se venger Atrée tua les deux fils de son frère et les lui donna comme repas, Thyeste s’en rendis finalement compte a la fin du repas; il jura de se venger et maudit son frère. La malédiction touche donc Agamemnon et Ménélas. Ce dernier est mari d’Hélène dont l’enlèvement déclenche la guerre de Troie. Les Achéens sont commandés par Agamemnon; au cours de cette guerre il sacrifiera sa fille Iphigénie car il avait tué la biche favorite

a été assassiné par sa propre mère, Clytemnestre, et son amant, Egisthe. Cette situation a entraîné une série de vengeances et de meurtres au sein de la famille d'Oreste, ce qui a profondément perturbé sa vie.Ensuite, Oreste est victime de la malédiction des dieux, qui lui ont ordonné de venger la mort de son père en tuant sa propre mère. Cette tâche est extrêmement difficile pour Oreste, car il doit choisir entre la loyauté envers sa famille et l'obéissance aux dieux. Il est donc confronté à un

spectateur et le suspense, et de suggérer beaucoup plus qu’on n’en pourrait montrer sur une simple scène de théâtre. II- 1) Commentaire composé du texte suivant : Phèdre, acte V, scène 6, vers 1498-1570 Introduction : a. Situation du passage : La malédiction formulée par Thésée en IV, 2 se voit ici réalisée : alors qu’Hippolyte s’apprêtait à quitter Trézène, il en est empêché par un monstre marin qui finit par le tuer : dans la structure de la tragédie, c’est le moment de la catastrophe. Cette scène

souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... et tu seras heureux. » « Notre salut et notre perte sont en nous-mêmes. » « Cherchons nos biens en nous-même, autrement, nous ne les trouverons pas. » « C'est une malédiction pour les épis de ne pas être moissonnés, et ce serait une malédiction pour les hommes de ne pas mourir. » « Nul ne peut te léser, si tu ne le veux point, car tu ne seras lésé que si tu juges qu'on te lèse. » « Supporte les maux et abstiens-toi des biens. » « Il n’y a qu’une