La Marche des rois

maritime. C’est dans ce cadre maritime qu’évoluent les albatros décrits par Baudelaire. Ces derniers sont désignés par des périphrases qui soulignent leur grandeur et leur majesté : « vastes oiseaux des mers » (v.2), « compagnons de voyage » (v.3), « rois de l’azur » (v.6), « prince des nuées » (v.13). On observe que ces périphrases soulignent la symbiose entre l’albatros et son milieu : « azur », « vaste » – ces adjectifs qui qualifient les albatros pourraient tout aussi bien s’appliquer aux paysages

division de l'empire carolingien c'est déjà produite auparavant entre Clovis 1er et ses frères. A l'origine Clovis est roi des francs saliens mais il devient par la suite roi de tous les francs de 481 à 511. En effet, Clovis exécute ses cousins les rois Cararic et Ragnacaire ainsi que ses frères Riquier et Rignomer pour s'emparer de leurs royaumes et éviter que son royaume unifié ne soit partagé entre selon la coutume. En quoi, ce capitulaire tente de d'unir le l'empire grâce au principe féodo-vassalique

brillant Défilé de deux armées Voltaire souligne le caractère esthétique Fanfare, rythme Enumération d'adjectifs mélioratifs renforcés par "si" Rythme très sautillant "si beau", "si leste", "si brillant", "si ordonné, que les 2 armées" (rime) => marche militaire Enumération des instruments de musique : du plus aigu au plus grave. B) Une brusque rupture "Canons" à la suite des instruments de musique => idée de mort "Harmonie" / "enfer" => contraste, antithèse Derrière la brillante façade :

toujours une autorité supérieure qui se présente sous forme d'autorité de l'Etat et c'est à qui on a recours en cas de transgression de loi ou de viol de droits. Parmi les principes on y trouve aussi la confiance dans le processus de passation des marchés et d'échange. ainsi que le principe de citoyenneté, ce qui signifie que l'individu ne se définit pas par sa profession, sa religion, son niveau intellectuel, ou son argent ou son autorité, mais il est définit juridiquement comme étant un citoyen,

par Romulus, la ville est symbolisée par la Louve de Lupercal, légende renforcée par la découverte en 2007 d’une grotte inconnue. L’Epoque des « Rois » de 753 à 509 AVJC : Les noms comme les dates des règnes des quatre premiers de ces rois, tout comme l’alternance de noms sabins et latins, sont plus légendaires qu’historiques. Les trois derniers rois, d’origine étrusque, ont une existence qui paraît moins incertaine. Romulus -753 à -716 (Latin) Numa Pompilius -717 à -673 (Sabin) Tullus

(avènement du 1er Roi Carolingien) – 987. Le rétablissement de l’Empire la caractérise. On veut renouer avec l’Empire Romain. Les Carolingiens font alliance avec le Pape, Chef de l’Eglise chrétienne qui obtient le droit de couronner l’Empereur et les Rois Carolingiens. Ils vont respecter les modèles romains et chrétiens. Les Carolingiens exercent pleinement le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire. Ce sont des Empereurs qui font les lois, rendent la justice. Une administration se remet en place

pas les vaincus, mais veut les renvoyer « francs et libres comme avant » ; les « sauvages » que Montaigne prend comme modèles considèrent tout être humain comme leur « moitié ». Ce respect amène à la solidarité et au partage, vertus que les mauvais rois oublient : ceux d'Érasme, guidés par la Folie, pillent la fortune de leurs sujets, et Pichrocole veut soumettre sans pitié ses ennemis. Il en va de même chez Montaigne pour les riches insensibles à leurs moitiés « décharné[e]s de faim et de pauvreté

Lui seul distingue en leurs flancs sombres Le germe qui n'est pas éclos. Homme, il est doux comme une femme. Dieu parle à voix basse à son âme Comme aux forêts et comme aux flots. C'est lui qui, malgré les épines, L'envie et la dérision, Marche, courbé dans vos ruines, Ramassant la tradition. De la tradition féconde Sort tout ce qui couvre le monde, Tout ce que le ciel peut bénir. Toute idée, humaine ou divine, Qui prend le passé pour racine, A pour feuillage l'avenir. Il rayonne

maritime. C’est dans ce cadre maritime qu’évoluent les albatros décrits par Baudelaire. Ces derniers sont désignés par des périphrases qui soulignent leur grandeur et leur majesté : « vastes oiseaux des mers » (v.2), « compagnons de voyage » (v.3), « rois de l’azur » (v.6), « prince des nuées » (v.13). On observe que ces périphrases soulignent la symbiose entre l’albatros et son milieu : « azur », « vaste » – ces adjectifs qui qualifient les albatros pourraient tout aussi bien s’appliquer aux paysages

Lui seul distingue en leurs flancs sombres Le germe qui n'est pas éclos. Homme, il est doux comme une femme. Dieu parle à voix basse à son âme Comme aux forêts et comme aux flots. C'est lui qui, malgré les épines, L'envie et la dérision, Marche, courbé dans vos ruines, Ramassant la tradition. De la tradition féconde Sort tout ce qui couvre le monde, Tout ce que le ciel peut bénir. Toute idée, humaine ou divine, Qui prend le passé pour racine, A pour feuillage l'avenir. Il rayonne