La Mer et les Prisons

sont décrits de façon très précise. On note aussi la présence des couleurs -le rouge, le bleu, les éclats de lumière- qui sont omniprésentes tout au long du récit. Les rues sont désertes, mis à part les protagonistes, les gens sont chez eux, comme en prison, devant la télévision et Martine sent leur regard sur elle. Ce sentiment oppressant dure jusqu’à ce que Martine pense : « Ils peuvent espionner avec leurs yeux étrécis, qu’est-ce que ça peut faire ? » (p.23), alors elle est libre de commettre son

pendant la guerre franco-prusienne, la qualifiant de “guerre de caprice”, et sert de porte drapeau à la résistance. Le troisième est “L'homme et la mer” Les Fleurs Du Mal, de Charles Baudelaire, ce dernier est mort une dizaine d'années avant cette guerre franco-prusienne, mais il parle quand même de la guerre dans ses poèmes, en la comparant ici à la mer. Le quatrième est “Le déserteur” , de Boris Vian, un poème transformé en chanson, parlant justement d'un déserteur. Elle a été écrite juste après

réussit son Bac en 1862 et s'inscrit en école de droit qu'il quitte deux ans plus tard en 1864. Il se marie en 1870. Il vit de poème et d'alcool. En 1871, il rencontre Rimbaud qu'il blessera deux ans plus tard, ce qui lui vaudra deux ans de prison. En sortant de prison, il publie un essai sur 3 (poètes maudits). Arrivé à son apogée au niveau de sa célébrité, il bascule dans la misère. Il mourra en 1896 à Paris à l'âge de 52 ans. Mon rêve familier est l'occasion pour Verlaine d'évoquer la dure condition

sont décrits de façon très précise. On note aussi la présence des couleurs -le rouge, le bleu, les éclats de lumière- qui sont omniprésentes tout au long du récit. Les rues sont désertes, mis à part les protagonistes, les gens sont chez eux, comme en prison, devant la télévision et Martine sent leur regard sur elle. Ce sentiment oppressant dure jusqu’à ce que Martine pense : « Ils peuvent espionner avec leurs yeux étrécis, qu’est-ce que ça peut faire ? » (p.23), alors elle est libre de commettre son

il n'y a plus eu que le soleil et ce silence" "c'était le meme éclatement rouge. Sur le sable, la mer haletait de toute la respiration rapide et étouffée de ses petites vagues [...]" "c'était le meme soleil que le jour ou j'avais enterré ma maman" il lui semble que le ciel se déchaine puis il tire "la prison était tt en haut de la ville et, par une petite fenetre, je pouvais voir la mer. C'est un jour que j'étais aggrippé aux barreaux, mon visage tendu vers la LUMIERE (?), qu'un gardien

narratif. Jacques Prévert y dénonce le fonctionnement des maisons de redressement en se concentrant sur l’histoire du pensionnaire qui n’a pas été retrouvé lors de l’évasion de la maison de redressement de Belle-Île-en-Mer d’août 1934. 2.2 « Les jeunes délinquants entre éducation et punition » est un article de presse de type explicatif. Jacques Bourquin y décrit l’évolution des différentes institutions et leur approche pour la réinsertion des mineurs

Il décrit le bateau comme un lieu peu rassurant inconfortable, semblable à une prison. Il se disait qu’il devait mener cette vie de forçat vagabond uniquement à cause de sa mère, car elle avait trompé son père. Cela contraste énormément avec le début de l’histoire où quand il se trouvait sur le quai en rêvant de voyager à bord d’un

Sacré Léon Une petite commune à mi-chemin entre la ville, la mer et la campagne. Bourgade, encore à dimension humaine, où tout le monde se connait et y vit simplement et, là, un petit port de pêche où, le dimanche après-midi, c’était la promenade traditionnelle. Nous sommes dans les années 1930, derniers jours de sursis d’une liberté dont nous avions à peine pris conscience parce qu’elle était notre manière toute simple de respirer et de penser, d’aller et venir, de vivre en quelque sorte. Dans

Cannes et la mer Présentation des documents : Synthèse des questions : Des fortifications médiévales et modernes sont élevées contre les ennemis étrangers : les pirates et les infidèles (les sarrasins), les corsaires, les flottes des pays ennemis venant de l’extérieur mais aussi contre les ennemis de l’Etat étant prisonniers. Ces fortifications sont des forts, des fortins, des châteaux, des tours (servant de postes de guets) et des remparts. Le fort, à partir du XVIIème siècle, est une

mineurs se créer et se développe. Les jeunes sont enfermés dans des sortent de « prison » durant de longue année afin de d’être punis. En 1890 le redressement des jeunes est renforcé. C’est au XIXe et XXe Siècle que vient l’importante de la protection de l’enfance. La IIIe République instaure des tribunaux pour enfants qui n’auront pas de conséquence sur les colonies pénitentiaires. En 1934, la mutinerie de Belle-Ile-en-Mer fait connaître au monde entier les conditions de détention et prévoit une protection