La Mer et les Prisons

monde, la pédophilie est considérée comme un sujet très sensible et révoltant pour la plupart des gens. Introduction : Outreau est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais, elle se situe dans la banlieue sud de Boulogne-sur-Mer. Cette ville a été très médiatisée et est surtout connue en raison d'une affaire judiciaire concernant la pédophilie. Elle a suscité une forte émotion dans l'opinion publique et mettra en évidence les dysfonctionnements de l'institution judiciaire française

Question de corpus Ce corpus est composé de 4 poèmes d'auteurs qui ont connu la prison ou l'exil : le premier poème est une ballade de Charles d'Orléans, le deuxième est de Joachim Du Bellay, le troisième de Victor Hugo et le denier de Paul Verlaine. Les deux premiers datant respectivement du XIV et XVI siècle et les deux dernier du XIXème siècle. Il s'agira de montrer ici ce qu'ils ont retirés de ces expériences ainsi que leurs espérances en captivité ou en exil. Les poèmes de Charles d'Orléans

la peine pour moi ». Aussi, on voit que Meursault est compatissant envers Salamano lors de la perte de son chien (p75). Il n'est pas, non plus, adverse à la ville. Il regarde les passants de son balcon (p37), et il l’aperçoit avec bonheur dans sa « prison roulante » : « J’ai retrouvé un à un, comme du fond de ma fatigue, tous les bruits familiers d'une ville que j'aimais et d’une certaine heure où il m’arrivait de me sentir content. Le cri des vendeurs de journaux dans l’air déjà détendu, les derniers

II/Le contenu 1) Lieux: - Ville de Digne dans les Alpes ( le Boulevard Gassendi p10 , rue Poichevert p10, Auberge , Mairie , Café , Eglise , préfecture , imprimerie) - Ville de Pontarlier (sa direction) - Montreuil sur Mer (une fabrique, l'auberge du tiallac d’argent, bureau de police) - Montfermeil chez les Thénardier (une auberge, une boulangerie, une église, un bois du côté de chelles ) -Paris : - Près du jardin du Luxembourg

sur la rue principale du faubourg » (chapitre II, page 37) A la mer « J'ai pris le tram pour aller à l'établissement de bains du port » (Partie I, chapitre II page 24) Le cabanon de Masson se situe au bord de la mer « L'ami de Raymond habitait un petit cabanon de bois à l'extrémité de la plage » (chapitre VI, page 81) La prison est en hauteur « La prison était tout en haut de la ville et, par une petite fenêtre, je pouvais voir la mer » ( IIième partie, chapitre II page 114) La cours d'assise «

par deux métaphores filées : celles de la prison et du tombeau. Une ville abandonnée Champ lexical de la solitude : « Il n’y a personne dans les rues », « les maisons semblent abandonnées », « déserte », « rues silencieuses ». Un paysage livré à « seulement quelques chiens au poil hérissé », qui « grogn[e]nt ». La ville paraît donc hostile à l’étrangère qui nous communique son angoisse au moyen de deux métaphores filées. La prison Champ lexical de l’enfermement : « fermées

sol sont fermées par des grillages, des barreaux », « les volets sont tirés », « les maisons semblent abandonnées ». Deux métaphores apparaissent : Dans un premier temps, celle de la prison avec le champ lexical de l’enfermement : « fermées », « tirés », « grillages », « barreaux », « prison », « prisonniers ». On remarque l’absence de personnes, les rues désertes, on passe de l’esprit d’enfermement à l’esprit de mort. Nous en venons dans un deuxième temps à la métaphore du

des murs. Où aller ? Lalla avance lentement de nouveau, elle tourne encore une fois à droite, vers le mur de la vieille maison. Lalla a toujours un peu peur, quand elle voit ces grandes fenêtres garnies de barreaux, parce qu’elle croit que c’est une prison où les gens sont morts autrefois ; on dit même que la nuit, parfois, on entend les gémissements des prisonniers derrière les barreaux des fenêtres. Elle descend maintenant le long de la rue des Pistoles, toujours déserte, et par la traverse de la

« avec son corps comme une forge », nous donne l’image de l’homme qui s’évade. Bouillant, en transe, courant à toute vitesse vers la liberté. * Métaphore : « Une abeille de cuivre chaud », ce sont les balles tirées par les fusils des gardiens de la prison. Le lecteur imagine un petit projectile jaune et chaud filant à toute allure vers l’évadé et le toucher. * Enumération : les deux dernières strophes. Le poète énumère tout ce que le prisonnier a eu le temps de faire durant sa fuite. Le temps de

l’étrange, texte de Camus sur son Etranger) ; analyse du personnage de Meursault et de l’absurde (à partir de l’extrait du meurtre, de l’enterrement) ; comparaison incipit / fin ; gestion du temps (journal + mémoires) ; thèmes du travail de groupe (soleil, mer, mère / femme, justice, communication difficile, mort / peine de mort) ; question écrite. - Commencer par la séance par demander un résumé du texte ; conserver les premières impressions. En lire quelques-uns. Les élèves mentionneront certainement