La Mère confidente

Phèdre : femme de Thésée, fille de Minos et de Pasiphaé 3) Hippolyte : fils de Thésée et d’Antiope (reine des Amazones) 4) Aricie : princesse du sang royal d'Athènes, sœur des Pallantides 5) Œnone :nourrice et confidente de Phèdre 6) Théramène : gouverneur d'Hippolyte 7) Ismène :confidente d'Aricie 8) Panope :femme de la suite de Phèdre 9) Gardes Cadre spatio-temporel de la pièce : La scène est à Trézène, ville du Péloponnèse , pendant la Grèce Antique Thèmes principaux :

lequel on joue et auquel on fait ses confidences ; C’est également le premier que l'on tente de dominer, celui sur lequel on transfère son agressivité et qui participe aux premières manifestations érotiques. La peluche joue le rôle de substitut quand la mère quitte le champ de vision de l'enfant. Les multiples réactions de transfert et d'identification possibles rendent très importante la présence de cet animal auprès de l'enfant. C'est l'ami total mais aussi un support aux jeux d'imitation puis d'imagination

XVIIe et du XVIIIe siècles. Toute l’ambigüité des rapports maitres et valets apparait dès la comédie antique. Dès l’Antiquité, le valet-esclave est mis en scène par Plaute ou Térence. La tragédie ne concède aux esclaves affranchis que le rôle de confidents. Ce sont les comédies qui haussent les esclaves au statut de personnages à part entière jusqu’au XVIIIe siècle en s’inspirant de la commedia dell’arte italienne. À travers les siècles, le rôle du valet a évolué, et particulièrement entre le XVIIe

photo que j’ai choisie, j’avais exactement six moi et dix jours, à l’époque j’étais encore sage comme dirait ma mère. La photo avais été prise le jour où l’on fêtait les quarante ans de ma mère, toute la famille était réunie et les amis aussi, tout cela avait été organisé dans un restaurant, on remarque bien sur la photo, les verres et les assiettes. Sur la photo j’étais dans les bras de ma mère, à côté de moi il y avait mon frère, qui à l’époque avait dix sept ans. On remarque qu’il était bien proche

des pertes de mémoire instantanée, elle apparait totalement désorientée « ou suis-je ? et qu’ai-je dit » Elle accepte son état comme une fatalité elle n’essaye même pas de se battre, elle se laisse mourir. en effet elle est proche du soleil car sa mère est la fille du dieux hélios elle justifie sa maladie par ses gênes héréditaires. Phèdre apparait affaiblie physiquement et physiologiquement se qui me fait qu’accroitre son sentiment de solitude Phèdre se sent seule. Elle exprime sa solitude par

lui parlaient ou qu’ils claquaient bruyamment la porte près d’elle, ils décident alors de l’emmener consulter un spécialiste, qui décèle alors sa surdité. Emmanuelle nous décrit alors les liens très forts qui commencent à se créer entre elle et sa mère, avec qui elle passe la plupart de sont temps. Jusqu’à l’âge de ses 7 ans, Emmanuelle ne peut s’exprimer que par ses cris, que l’on peut décrire comme ceux d’une mouette, d’où le titre de ce livre. Mais l’année de ses 7 ans, la Langue des Signes Française

jamais écoutés ni peuvent disposer de leur destin ou être maitresses de leur propres vies. Mais elles ont une importance dans le déroulement de l’histoire donc elles ne sont pas accessoires ni font uniquement partie du décor. Marie Soderini est la mère de Lorenzo. Son personnage nous permet de voir la dégradation que le personnage principal a suivi : il était un jeune homme passionné de la liberté et de l’art, studieux puis il devint un libertin qui vit dans la débauche totale. C’est elle qu’à l’acte

santé fragile qui admire ses parents, Maxime et Tania. Il s’invente un frère qui, au début le réconforte mais avec le temps devient oppressant, si bien que le petit garçon adopte une peluche comme nouveau compagnon. Louise, son infirmière et sa confidente, est proche de lui en raison de sa difformité. A quinze ans, à la suite d’une bagarre, Louise apprend au narrateur la vérité sur le passé de sa famille. Il apprend aussi que son père s’est marié avec une femme du nom de Hannah et qu’ils on eut

longue tirade qu’entretient Hippolyte envers Théramène. Dans une première partie, nous allons nous intéressé aux caractéristiques des aveux d’Hippolyte à son confident Théramène, puis analyserons d’autre part les relations qu’entretiennent les personnages entre eux et leurs caractères. I Une scène d’aveu A_ Un quiproquo envers le confident d’Hippolyte (Théramène) Hippolyte se confie à Théramène son ami depuis l’enfance v66-67 ; il avoue ses sentiments amoureux envers Aricie et souhaite la fuir

successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Résumé1: Acte I - Agrippine, au petit matin, attend une entrevue avec son fils, l’empereur Néron, qui, sans prévenir sa mère, vient d’enlever Junie, l’amante de Britannicus ; celui-ci, fils de Messaline et de Claude (mort dans des conditions douteuses, sans doute empoisonné par Agrippine), est à ce titre prétendant légitime au trône ; mais Agrippine l’a écarté du pouvoir