La Mère confidente

relation fusionnelle La relation fusionnelle destructrice La mère-confidente Certaines mères ont tellement peur que leur fille vive en dehors d'elles, qu'elles la "phagocytent" dès la petite enfance. Confidentes de tous ses chagrins et de tous ses bonheurs, elles lui confient aussi leurs insatisfactions et leurs attentes. Par la suite, il est bien difficile, pour la fille, de distinguer sa propre émotion de celle de sa mère, puisque les deux femmes ont toujours eu une relation fusionnelle

fois en 1677, pendant l’age d’or du classicisme. Phèdre me fait penser à un nom grec. Dans l’acte premier, on nous informe que Hippolyte comte quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre et Aricie car l’amour qu’il a pour elle est impossible. Phèdre déclare son amour pour Hippolyte a Oenone, sa confidente. Dans le second acte, on apprend que Hippolyte veut donner le trône de l’Attique à Aricie, libre car son père Thésée est mort. Phèdre les interromps pour demander à Hippolyte de prendre

relation contracté imprudemment avec des hommes ou des femmes dangereuses. Nous allons étudier la première lettre de ce roman où Cécile Volanges s'adresse à Sophie Carnay une ancienne amie de son couvent. Celle-ci lui raconte alors son retour chez sa mère, son questionnement sur son mariage incertain ainsi que sa maladroite expérience avec le cordonnier. Mais que pouvons nous constater dans cette première lettre ? Qui sont les personnages clefs ? Quel lien entretiennent-elles ? Quels sont les différents

La scène est à Trézène, ville du Péloponèse. Acte I (5 scènes) Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée. Acte II (6 scènes) Aricie avoue qu’elle aime aussi Hippolyte

des Pallantides Œnone, nourrice et confidente de Phèdre Théramène, gouverneur d'Hippolyte Ismène, confidente d'Aricie Panope, femme de la suite de Phèdre Gardes Résumé Acte I (5 scènes) Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent

Tous d'abord, dans certains couples mères-filles, le lien est évident et naturel. La fille sait que sa mère sera toujours là. Chacune est consciente de l'amour qu'elles ressentent l'une pour l'autre. Même si les filles n'adoptent pas systématiquement les valeurs de leurs aînées, bien que celles-ci aient à coeur de les transmettre, elles témoignent d'une grande admiration pour leur mère. Une réelle complicité qui se traduit par des discussions sur des thèmes par exemple la drogue, le sexe, la

en secondes noces veuve du père de Britannicus, l'empereur Claudius. JUNIE : amante de Britannicus. BURRHUS : gouverneur et confident de Néron. NARCISSE: gouverneur et confident de Britannicus. ALBINE : confidente d'Agrippine. Britannicus relate un épisode de la vie de l'empereur Néron et est une tragédie du pouvoir. Néron, empereur de Rome doit son pouvoir à sa mère Agrippine qui a fait assassiner son époux, l'emprereur Claude, après l'avoir amené à désigner comme héritier son fils d'un premier

Dialogue entre le héros et un confident * Le Dialogue entre 2 personnages secondaires * Le Dialogue entre 2 héros Dans nos 3 textes : * Les Caprices de Marianne, d’Alfred de Musset * Embrassons-nous, d’E. Labiche et A. Lefranc * Ubu Roi, d’Alfred Jarry Les méthodes utilisées sont : Texte 1 : -pas de monologue -un héros et un confident x2 -ceolio est le héros de la pièce (romantique) ; ciuta et tibia des confidentes On y apprend le lieu et

très maigre et ne fait pas du tout cinq ans. Issu d'une famille pauvre, son père est sans emploi, sa mère travaille dans une fabrique pour un salaire de misère. À l'exception de sa sœur aînée Gloria et de son petit frère Luís, ses nombreux frères et sœurs le battent car il enchaîne les bêtises. Zézé s'invente un monde imaginaire et fantaisiste dans lequel un petit pied d'oranges douces est son confident (l'arbre lui parle...). Révolté contre le monde des adultes, il noue petit à petit des liens avec

entre très jeune aux « Petites Écoles » de Port-Royal puis intégré le collège de la ville de Beauvais. Il y apprend la rétorque et les sciences humaines. Alors que ses camarades continuent leur étude de philosophie, Racine retourne vivre chez sa grand mère à Port Royal. Il continua ses études avec les plus grands pédagogues de l'époque avec qui il étudie le grec ancien, l'espagnol et l'italien. Il fera finalement ses deux années de philosophie au collège d’Harcourt. Âgé de 18 ans, Racine, malgré la