La Modernité Dans Les Usines De Emile Verhaeren

grise, quasiment monstrueuse. Les élèves ont pu ainsi étudier l’évolution du paysage urbain à travers les regards aiguisés de poètes aux sensibilités diverses : Rimbaud, en poète visionnaire, Verhaeren, cynique et sans illusions, Apollinaire, en chantre de la modernité et Senghor interrogeant modernité et négritude. La séquence a amené un questionnement sur l’homme, son besoin de construire un monde urbain, en collectivité mais aussi hiérarchisé qui omet sa liberté individuelle. Seul bémol

l'emporta en 1817. Lamartine revient seul revoir les lieux qu'il a visités autrefois avec elle. C. Alcools se nourrit de notre culture commune Gustavo Martin Garzo : « l’Homme a toujours eu besoin des légendes pour expliquer le monde » Apollinaire → la modernité doit s’ancrer dans la tradition Religion : • Christianisme : fondamentaux de notre civilisation ◦ « Zone » → « Adam » - « Christianisme » - « Christ » • Judaïsme : ◦ « La Synagogue » où il cite « Ottamar » et « Abraham » deux prénoms typiquement

culturel I. Institutions II. Traditions III. Avant-gardes Cloison mince entre tradition et modernité A. Nouvel art, nouvelles sciences 1. Le cinéma, septième art et nouvel art Recherches et progrès rapides fin XIXe siècle (chronophotographe, « théâtre optique », zoopraxinoscope, kinétoscope) * Louis Lumière met au point son invention (mars 1895 – La Sortie des usines Lumière) => diffusion de « photographies animées » * Créent les actualités (couronnement tsar Nicolas

Nanterre I. Une poésie de la modernité a) Baudelaire : aux origines de la modernité b) les découvreurs du modernisme poétique : Verhaeren, Larbaud, Romains et l’Unanimisme c) Les chantres de l’esprit nouveau : Apollinaire, Cendrars, Max Jacob I. Une poésie de la Modernité a) Aux origines de la Modernité - Baudelaire Au début du XXème siècle, de nombreux mots tournent autour de la notion de modernité : modernisme, moderne... Ces mots

une grandeure puis une reproche de l’avoir séduit puis rejeter. Conclu : Image de Paris : Une nouvelle ère, urbanisation galopante sous l’effet de la politique de Napoléon 3, un Paris libéré de mœurs, ville où règne l’anonymat.La plaine Intro : Emile Verhaeren → poète belge, d’expression française, mvt littéraire : symbolisme Les villes tentaculaires → recueil de 20 poèmes publié au 19e siècle La plaine → poème élégiaque, sur le thème de l’urbanisation/exode rural Lecture Structure → 3 mvts → Strophe

chanté ma joie bien-aimée Chanté l'amour à voix virile Receuil: Alcools, 1913 J'ai choisi ce poème car j'aime les poèmes du genre lyrisme et le fait que l'auteur nous parle de ses echecs amoureux dans une ville. "Les Usines", Emile Verhaeren (1855-1916) Automatiques et minutieux, Des ouvriers silencieux Règlent le mouvement D'universel tictacquement Qui fermente de fièvre et de folie Et déchiquette, avec ses dents d'entêtement, La parole humaine abolie. Plus loin, un

pays lointains qu’ils chantent à cause de l’exotisme, l’étrangeté de coutumes nouvelles (Baudelaire, Musset, Nerval). Beaucoup font le voyage en Orient. La plupart écrivent en vers, mais de nouvelles formes poétiques rendent compte du besoin de modernité qu’éprouvent les poètes romantiques : Le Poème en prose : Aloysius Bertrand est le premier, Gaspard de la nuit, Baudelaire le suivra : Petits poèmes en prose ou Le Spleen de Paris. Le poète se libère des contraintes du vers, de la strophe, des

isoler la poésie de la vie réelle. Mais, déjà, la palinodie de Moréas avait ramené bien des poètes au spectacle concret du monde et à l’expression plus directe des sentiments. Cette tendance s’affirme aux approches de 1900. Dans le cas de VERHAEREN, on pourrait ainsi parler d’un véritable « Symbolisme humanitaire » puisque, sa manière demeurant nettement marquée par les habitudes d’expression récemment acquises, il n’en retrouve pas moins une mission de la poésie oubliée depuis Hugo. Plus

96-97) Doc. 3 : Émile Verhaeren, né au milieu du xixe siècle près d’Anvers, est un poète belge de langue française. Dans les années 1890, il se passionne pour les questions sociales. Après la Première Guerre mondiale, il est l’auteur de poèmes pacifistes. Dans Les Campagnes hallucinées, il rend compte à sa manière des mutations du monde, ici l’essor urbain. Il montre une ville à la recherche d’espace pour accueillir les migrants et les activités industrielles. Émile Verhaeren a une vision

autre auteur, mais anglais, très important L. Carroll (1865) « Alice au pays des Merveilles » et Melville (1851) « Moby Dick ». · 1870-1940 : Troisième République. Il y a une répression très forte. En 1871 : commune de Paris, comités dans les usines qui veulent le pouvoir, ils veulent d’installés à l’autogestion sans patron. Ils faisaient les coopératives. Thiers → va faire des prisonniers et ils vont faire un monument que c’est le Sacre Cœur pour donner un exemple. En 1894 : l’affaire