La Morale Dans Ruy Blas

succès populaire avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827[4] et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l' Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur la peine de mort, l'école ou l'Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou

succès populaire avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827 et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre, multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l' Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur la peine de mort, l'école ou l'Europe, des récits

peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre-Dame de Paris (1831) ou Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose la théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827 et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, notamment sur la peine de mort, l'école ou l'Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance

», « blague », « poison », et son dernier drame, Ruy Blas, dont la première représentation a lieu le 8 novembre 1838 au Théâtre de la Renaissance. Dumas qui tient, au côté de Victor Hugo, un étendard (« adultère ! inceste ! assassinat ! sang ! mort ! damnation ! »), y donnera, deux mois plus tard, un drame, Bathilde. Quant à Frédérick Lemaître, une paire de bottes sous un bras, et une épée de Tolède à la main, c’est lui qui crée le rôle de Ruy Blas. La caricature, dont le titre renvoie à un épisode

populaire avec par exemple « Notre-Dame de Paris » (1831), et plus encore avec « Les Misérables » (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 18273 et l’illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l'Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur la peine de mort, l’école ou l’Europe, des récits de voyages , et une correspondance

peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre-Dame de Paris (1831) ou Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827[3] et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, notamment sur la peine de mort, l'école ou l'Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance

'Hernani'. En 1831, il publie son premier roman historique, 'Notre-Dame de Paris', et en 1838 son chef-d’œuvre romantique 'Ruy Blas'. En 1843, la mort de sa fille Léopoldine le déchire et Victor Hugo se lance dans une carrière politique. Il est élu à l'assemblée constituante en 1848, où il prend position contre la société qui l'entoure : la peine de mort, la misère, l'ordre moral et religieux. Étant un opposant au coup d’État du 2 décembre 1851, il doit s’exiler jusqu'en 1870. Installé à Jersey et

« Les contemplations » (1856) Poète engagé contre Napoléon III dans « Les châtiments » (1853) Romancier populaire avec « Notre Dame de Paris » (1831) ou « Les Misérables » (1862). Auteur de théatre avec « Cromwell » (1827), « Hernani » (1830) ou « Ruy Blas » (1838) Auteur de discours politiques, notamment sur la peine de mort Auteur de récits de voyages. Le 4 septembre 1843, sa fille Léopoldine meurt noyée avec son mari, dans le naufrage de leur barque. L’écrivain est très affecté par cette mort

peuple qui rencontre un grand succès populaire avec Notre-Dame de Paris (1831) ou Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 1827[4] et l'illustre principalement avec Hernani en 1830 et Ruy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, notamment sur la peine de mort, l'école ou l'Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ou Choses vues, posthumes, 1887 et 1890), et une correspondance

romantiques refusent cette illusion de faire vrai au nom de l’imagination, de l’expression du génie. * Rejet du moralisme et du théâtre manichéen : le drame bourgeois est, pour les romantiques, un théâtre moralisateur (le dénouement est toujours moral). * Des héros singuliers remplacent les personnages stéréotypés des XVIIe et XVIIIe siècles : le héros romantique est un individu original, qui évolue et dont le destin est illustré par la pièce. Le héros romantique est généralement un marginal