La Mort aux trousses

la mer et le ton du poème est lyrique. Troisièmement, «LA MORT DES AMANTS» est un extrait de "La Mort" composé de décasyllabes compris dans deux quatrains et deux tercets. Nous retrouvons des rimes croisés (Exemple : légères/tombeaux/étagères/beaux) et une rime plate (Exemple : mystique/unique). Comme le dit le titre, le sujet de ce poème est la mort. Le ton est assez comique, on s'attend à une vision tragique et pénible de la mort, or celle-ci est racontée de manière joyeuse et sereine. Quatrièmement

de la paille les fusils, la mitraille, les grenades… Ohé !les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite ! Ohé ! Saboteur, attention à ton fardeau : Dynamite ! C’est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères, La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère… Il y a des pays ou les gens au creux de lits font des rêves ; Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève. Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait quand il passe … Ami, si tu

Alfred Hitchcock est un réalisateur anglo-américain, également producteur et scénariste de cinéma, né le 13 août 1899 à Leytonstone (en) (Grand Londres), mort le 29 avril 1980 à Bel Air (Los Angeles). Après une carrière à succès dans son pays natal à l'époque du cinéma muet et au début du cinéma sonore, Hitchcock part s'installer à Hollywood. En avril 1955[réf. nécessaire], il acquiert la citoyenneté américaine, tout en conservant sa citoyenneté britannique[réf. nécessaire]. Au cours de ses

rivière transporte les éclats d’un combat. - Deuxième quatrain : « la bouche ouverte » (v.5), les mâchoires d’un mort se relâche. « soldat jeune » (v.5 ), un soldat sans grande expérience, il a du mourir vite. « tête nue » (V.5), il a perdu son casque. « baignant dans le frais cresson bleu » (v.6), le sang séché sur l‘herbe. « pâle » (v.8) indique la mort. « lit vert » (V.8) son lit de mort. - Premier tercet : « glaïeuls » (v.9), glaives en latin, comme si il avait été décoré pour son courage et

dénonciation de la guerre. ________|La mort est omniprésente. Tout d’abord dans l’expression « souriant comme sourirait » le temps verbal passe au conditionnel pour montrer qu’il ne sourit plus, de plus ceci est accentué par le rejet. Par ailleurs on observe des couleurs froides « Bleu » ;  « vert », accentuant une atmosphère étrange. Aussi on retrouve le champ lexical de la maladie « pâle » ; « malade » ; « froid »  ainsi que des expressions qui font référence à la mort « la main sur la poitrine » ; « bouche

glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Le poète nous dépeint ici la nature, l'homme. La nature est en effet omniprésente dans le poème, elle occupe intégralement le premier quatrain, et nous la retrouvons jusque dans le dernier tercet. Elle se caractérise par une

d'une bataille, Les champs couverts de morts sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l'ombre entendre un faible bruit, C'était un espagnol de l'armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide et mort plus qu'à moitié, Et qui disait : A boire, à boire par pitié ! Mon père ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit : Tiens donne à boire à ce pauvre blessé Tout à coup, au moment où le housard baissé

grégoire, va s'enfoncé dans « la boue noir et collante »(I,2), ce qui exprime sa misère et sa détresse. Quand la grève se durcit, Zola emploie aussi le terme de "misère noire" (V, 5). Quand lesmineurs se révoltent, Zola ne décrit que leurs yeux et "les trous des bouches noires"(V, 5). Le Charbon aussi, qui sali le paysage, il recouvre tout (I, 6 : "Autour des bâtiments, le carreau s'étendait, et il ne se l'imaginait pas si large, chargé en un lac d'encre par les vagues montantes du stock de charbon." 

sons n’auront pas considérablement augmenté leur vitesse de croisière. Les géantes rouges Lorsque tout l’hydrogène contenu dans le cœur a fusionné pour se transforme en hélium, l’étoile quitte la séquence principale et comment son voyage vers la mort. La fin de cette fusion entraîne l’arrêt de l’émission de radiations ; l’équilibre que l’étoile s’étant acharnée à atteindre ses débuts est alors rompu, et elle commence à se contracter sous l’action de la gravité. L’énergie que dégage ce phénomène

Les parfums ne font pas frissonner sa narine Il a deux trous rouges au côté droit. 6. Ce poème est construit sur une opposition. Dans un décor qui respire la beauté, la fraîcheur, le bonheur, dans un cadre presque paradisiaque, apparaît le scandale absurde de la guerre et de la violence sous la forme du cadavre du jeune soldat. La beauté lumineuse et vivante de la nature se trouve déchirée par la tragédie de la mort. 7. Dans ce poème, les 5 sens sont sollicités. la vue: