La Mort De Gavroche

monarchie de juillet, est instaurée sous le règne de Louis-Philippe Ier. Ce tableau montre les trois jours de révolution, appelés les Trois Glorieuses. Description du tableau : Le 1er plan illustre le slogan révolutionnaire "la liberté ou la mort" : on voit un amas de cadavres (soldats de la garde nationale) et un mourant aux couleurs de Paris, qui expire son dernier espoir vers la liberté. La liberté est ce personnage féminin qui figure au second plan,au milieu du tableau, tenant d'un

amusant passionne toujours plus un lecteur, de par la force qu'il a mentalement. On note à la ligne 2: « Il avait l'air de s'amuser beaucoup. » Il passionne le lecteur et paraît héros puisqu'il s'amuse de jouer avec la mort. La force héroïque de G consiste à rire tout en jouant avec la mort. C'est un jeu dangereux mais passionnant à regarder. On relève à la ligne 7: « les insurgeants, haletants d'anxiété... »Ils tremblent pour G, parce qu'il les fascine;seul un héros peut fasciner son auditoire. L'incroyable

et les émeutes de juin 1832. On y suit, pendant cinq tomes, la vie de Jean Valjean, du retour du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent des personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la miséres de ce siécle, misérables eux-même ou proche de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier ( dont Eponine et Gavroche ) ainsi que le représentant de le loi Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle

dis que tu vas parler de l’œuvre en elle-même , peinte par Eugène Delacroix dont tu vas sympatiquement le présentez sa biographie ci-dessous Ferdinand-Victor-Eugène Delacroix deson nom complet , né le 26 avril 1798 à Charenton-Saint-Maurice (Seine), mort le 13 août 1863 à Paris, est un peintre majeur du romantisme en peinture, mouvement arrivé en France au début du xixe siècle. La , tu marques une pause parce que si t’en parle pas maintenant il vont te le poser comme question a la fin tu vas parler

Les allégories de la Mort | I – Les différentes allégories de la mort et leurs attributs : Une allégorie est une forme de représentation indirecte qui emploie une chose (personne, être animé ou inanimé, action, ...) pour en représenter une autre qui elle est souvent une idée abstraite ou une notion morale difficile à représenter directement. Aujourd'hui en occident, La Mort est généralement représentée comme un squelette portant une toge noire et une grande faux (pour « faucher les

engagé dans de nombreux combats au cour de sa vie telle que la défense de la liberté d’expression et l’abolition de la peine de mort. Il défendait ses opinion et les faisaient partager de façon indirect en écrivant certaine de ses plus grandes œuvres. L’un des premiers grands combats d’ordre politique de Victor Hugo sera de faire voter l’abolition de la peine de mort. En effet il est un fervent défenseur de l’abolitionnisme suite aux nombreux spectacles sanglant auxquels il a assisté devant

véritable esprit et non sur son passé jugé sévèrement. Le roman raconte donc l’histoire de Jean Valjean de sa sortie de prison jusqu’à sa mort à Paris. Pendant sa vie, il rencontre de nombreux personnages qui représentent (ou qui symbolisent) une morale précise : Monseigneur Myriel (évêque avec une morale idéale ; il est le Bien personnifié) ; Gavroche (l’intrépide enfant de la Rue) ; Javert (policier qui incarne l’implacabilité de la justice de l’époque, la Loi c’est sa religion) ; et Thénardier

Dernier Jour d’un Condamné », il a exprimé ses opinions contre la peine de mort. En plus, il a du s’exiler à Jersey et Guernesey à cause de son opposition fervente au coup d’état organisé par Napoléon Bonaparte. En 1862, Hugo a terminé « Les Misérables », un roman qui a augmenté sa popularité. « Les Misérables » a été écrit en cinq parties ou nous suivons la vie de Jean Valjean après sa sortie de prison en 1815, jusqu’à sa mort en 1833. Nous allons analyser un extrait du chapitre XXI : « Les héros »

L’adieu aux larmes Fallait-il qu’elle soit proche la grande dame noire, pour que toi, pauvre gavroche, tu perdes espoir. Combien d’âmes futiles continuent de croire qu’ils leurs sera facile d’éviter ton regard. Ton fier esprit dans ce corps si meurtri face à la mort n’a pas failli. Perdue au loin combattante demain ? Perdue au loin j’ai levé les mains. Tous les amis m’ont soutenu sans vraiment comprendre, et j’ai entendu sans vouloir entendre. Le dernier jour de l’année depuis

de forme et la position du garçon. La Liberté est située au centre de cette figure géométrique, et son poing est le sommet du triangle. La ligne d'horizon imaginée par le spectateur est relativement haute. Analyse Le premier plan correspond à la mort. Au dessus de la ligne horizontale délimitée par les corps, se trouve le monde des vivants (des hommes qui continuent à lutter, dans la lumière). Les cadavres blafards donnent une dimension dramatique à l’œuvre. La Liberté, incarnée par cette jeune