La Mort De Mon Père éloge Funèbre

du défunt » (l’éloge funèbre) ou « biographie élogieuse que le secrétaire perpétuel d’une académie ou un membre récipiendaire fait d’un académicien décédé » (éloge académique). Plus banalement, dit-on, le terme désigne surtout, aujourd’hui, une « vive marque d’estime », une « louange décernée à quelqu’un ». L’évolution contemporaine du mot souligne la mise à l’écart de la mort au bénéfice du vivant. Et plus encore si l’on considère l’étymologie du mot : « Éloge est un emprunt assez

funéraires ont pour but de rendre les morts inoffensifs à leurs parents vivants. Si les rites sont absents ou mal accomplis, le mort devient malfaisant et tourmente les vivants. Les Romains craignent les morts et ils veulent s'en protéger. La mort est considérée comme une souillure. Rome, qu’on prétend avoir tout emprunté aux Grecs, ne leur est pas redevable de l'oraison funèbre. Ce sont les Romains qui ont pratiqué en premier ce genre d'éloquence, bien avant Périclès et sons fameux discours. Mais l’éloge

« Aujourd’hui », la charnière se situant en 1843, date de la mort de sa fille Leopoldine. Nous nous intéresserons à la quatrième partie du recueil intitulée « Pauca meae », partie qui évoque principalement la douleur du deuil de Victor Hugo et, plus particulièrement, au poème « Elle avait pris ce pli ». Ce dernier évoque les souvenirs de l’enfance de Léopoldine, la liant à l’inspiration poétique de l’auteur tout en rappelant la mort de celle-ci. De quelle manière ce poème s’apparente-t-il à une

 Éloge de la démocratie athénienne : l'oraison funèbre prononcée par                                         Périclès (431/430 av J-C ) Éloge de la démocratie athénienne : l'oraison funèbre prononcée par Périclès (431/430 av J-C ) Ce document est un éloge funèbre, soit un discours prononcé en l'honneur d'une ou plusieurs personnes mortes, en l'occurrence celui ci est prononcé par Périclès en l'honneur des soldats athéniens mort durant la guerre du Péloponnèse qui vient de débuter et qui

« Tumulus » étaient ornées de fresques. La première partie du texte, qui nous décrit précisément toutes les étapes de la cérémonie les unes après les autres nous témoigne bien de l’importance du respect de ces cérémonies dans les rites romains. A la mort de chaque personne, un médecin vient à son chevet pour confirmer le décès et lui ferme les yeux. Le défunt est ensuite vêtu d’une tenue sombre et il est préparé pour la cérémonie réalisée en son honneur, avant d’être enseveli ; l’ensevelissement se

« Oraison funèbre » Introduction : Le texte « Oraison funèbre » est un extrait de l’œuvre « la guerre du Péloponnèse » de l'historien Thucydide ». La guerre du Péloponnèse est un conflit qui opposa la ligue de Délos sous l'ordre d'Athènes et la ligne du Péloponnèse menée par la cité de Sparte pour la domination du monde grec durant près de 30 ans. Dans cet extrait Thucydide reprend le discours de Périclès, grand homme d’État surnommé le « père de la démocratie », qui a mené

CM n°11 : Voltaire/Shakespeare, le grand malentendu La mort de César: hommage ou trahison? Petitesse de la pièce (III actes) : volonté de provocation de Voltaire. Dénouement de Cinna : le dénouement de la pièce la rapproche d’une tragicomédie. Mais elle reste une tragédie, car l’enjeu reste politique et collectif. A la fin de la pièce, tous les conjurés « s’agenouillent » devant Auguste, et la pièce s’achève sur une sorte d’apothéose, et Livie prononce une sorte de prophétie : elle annonce

Caius Augustus Germanicus, dit Caligula (petite sandale en latin), fils du très populaire[1] Germanicus et d'Agrippine l'Aînée, naît la veille des calendes de septembre en l'an 12, sous le consulat de son père et de C. Fontenius Capito[2]. Il est le petit neveu (et aussi le fils adoptif) de l'empereur Tibère, lui-même beau-fils et fils adoptif de l'empereur Auguste. Caligula est aussi l'arrière-petit-fils en ligne directe d'Auguste. Il a cinq frères et sœurs : Nero Iulius Caesar, Drusus III, Drusilla

la justice et la vérité, lors de l'affaire Dreyfus, qui déchira la France de la IIIe République. Naissance Émile Édouard Charles Antoine Zola naît le 2 avril 1840 à Paris. Famille Père ingénieur italien (François Zola), mère beauceronne (née Émilie Aubert). Installation en 1843 à Aix-en-Provence. Mort du père en 1847. Jeunes années (1840-1862) À Aix, se lie avec Paul Cézanne. Revient à Paris avec sa mère. Échec au baccalauréat (1859) et abandon des études. Entre en 1862 chez Hachette ; y

qui le dépasse et le conduit déjà à sa perte. Le héros épique accomplit des prouesses et traverse des épreuves qui, le laissant mort ou vif, permettent la manifestation de ses qualités. En ce sens, le récit de Théramène est à la fois un plaidoyer en faveur d'Hippolyte en même temps que son éloge funèbre. Celui-ci devra toucher Thésée, son père, commanditaire de la mort de son fils, ainsi que le spectateur.