La Mort Heureuse Camus

Zadig se bat pour Astarté et il y a un ange à la fin. Héros pur, parfait, sans tâches: « riche et jeune » page 25, « figure aimable » page 27 et « cœur sincère et noble » page 27. La première phrase fait penser à celles des contes et il y a une fin heureuse pour tout le monde. b) Série d’épreuves initiatiques: il doit surmonter des obstacles et apprend des choses au fur et à mesure (= esclave du marchand, il se fait condamner à cause de son intelligence, on lui vol son armure à la fin du livre). 3/

L'heure où l'être est débusqué et où le paraître s'effondre, le moment des échéances et des bilans s'approche avec une certitude inéluctable. Le titre de la pièce fait référence à l'hermine du blason de la Bretagne dont la devise est : «Plutôt la mort que la souillure.» La pièce était déjà riche de ce «pessimisme lyrique» qui allait devenir la marque d'un dramaturge si doué pour dire au mieux le pire. L’harmonie désespérée entre Frantz et Monime, beau prélude au crime, semble provenir de l'argent

première et jeune nouveauté, Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses. S1 LE DEUIL D’ORPHÉE - TEXTE 2 Demain, dès l'aube... Victor HUGO, Les Contemplations, 1856 Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je

aventure Ma dolente vie obscure Rien,  hors la mort ne désire, Et me faut, par couverture, Chanter que mon cœur soupire Et faire semblant de rire, Mais Dieu sait ce que j'endure Je ne sais comment je dure. Je ne sais comment je dure. « Je n'ay plus que les os, un squelette je semble… » Pierre de RONSARD   (1524-1585) Je n'ay plus que les os, un squelette je semble, Decharné, denervé, demusclé, depoulpé, Que le trait de la mort sans pardon a frappé, Je n'ose voir mes bras que

la personne humaine. Après le Moyen-âge, marqué par la foi en Dieu et en la religion (cathédrales, croisades), l’Humanisme s’intéresse à l’Humain (on décrit le corps humain par exemple) et a confiance en ses capacités (possibilité d’une existence heureuse sur Terre). Après l’obscurantisme du Moyen-âge, l'Humanisme renoue avec l'Antiquité et fait partie de la Renaissance. Influencé par les textes antiques (philosophes, poètes…), il ajoute tout naturellement un esprit de liberté et d'indépendance

moments. Puis Antigone revient à Thèbes. Elle y connaît une nouvelle et cruelle épreuve. Ses frères Etéocle et Polynice se disputent le pouvoir. Ce dernier fait appel à une armée étrangère pour assiéger la ville et combattre son frère Etéocle. Après la mort des deux frères, Créon, leur oncle prend le pouvoir . Il ordonne des funérailles solennelles pour Etéocle et interdit qu'il soit donné une sépulture à Polynice, coupable à ses yeux d'avoir porté les armes contre sa patrie avec le concours d'étrangers

l’esprit est la plus grave atteinte à son équilibre et à sa longévité, l’armée est aussi le cimetière des arts et des lettres. Pour lui, il ne serait pas aussi connu s’il n’avait pas été soldat. On voit un témoin, pas un romancier. Il s’identifie à Camus : « il avait cette naïveté que j’avais moi-même : croire que le milieu des intellectuels est éclairé, alors qu’on y rencontre un maximum de ténèbres et de noirceur, de méchanceté et de stupidité. - La lecture, l’écriture et la littérature Très

résumé de texte, l’extrait qui l’accompagne, ainsi que le questionnaire Résumé et extraits proposés o Jean Anouilh, Antigone – affrontement d’Antigone et Créon (extrait) o Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve – Scène 1 o Albert Camus, Les Justes – Acte deuxième (extrait) o Samuel Becket, En attendant Godot – Acte premier (début) et acte deuxième (fin) ▪ Consignes o 1ère lecture  « Lisez attentivement le résumé puis l’extrait. Pouvez-vous, grâce au résumé, repérer

après la mort d’Oedipe, ses deux fils, Polynice et Étéocle, décidèrent de régner chacun un an. Mais Étéocle, au terme de la première année, refusa de quitter le trône. Après une guerre terrible où ils se sont entretués, Créon, leur oncle, prit le pouvoir, ordonna des funérailles somptueuses pour Étéocle, mort en défendant sa patrie, tandis qu’à l’égard du traître Polynice, à titre d’exemple, il promulgua que «Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort» et décréta

essence même le savoir qui vise à la globalité, à régler l’organisation des hommes de façon pacifique. La politique serait donc la seule manière pour les hommes de vivre ensemble en bonne entente, et à partir de cette base-là d’espérer mener une vie heureuse. En définitive, elle apparaît comme l’art de faire primer l’intérêt général sur le particulier. Certains philosophes envisagent l’homme comme un voué par nature à la politique, le personnage de Protagoras (philosophe sophiste) mis en scène par Platon