La Mort Sociale

Article sur la rencontre avec M. Badinter : mathilde narr et lucie rosenthal La loi sur l'abolition de la peine de mort a été votée à l'Assemblée Nationale le 18 septembre 1981 et votée au Sénat le 30 septembre à 12:40. La promulgation a eu lieu le 9 octobre. Convaincre le Sénat : La "bataille» pour convaincre le Sénat a été, pour M. Badinter, la plus difficile et la plus intéressante. Deux ans auparavant le Sénat était contre l'abolition de la peine de mort.Pour les convertir M. Badinter ne

pièce. Dans cette scène de dénouement, la reine éclairée sur la machination de Don Salluste et ce qu'elle considère comme une trahison de Ruy Blas, refuse de pardonner le valet et le conduit à la mort, un motif dramatique que Victor Hugo traite avec une grande originalité. Problématique : Comment la mort de Ruy Blas est l'occasion pour Victor Hugo de faire un dénouement romantique original ? Lecture de l'extrait étudié Acte V Scène IV - La reine, Ruy Blas. Ruy Blas fait quelques pas

p.3 III. choix des supports p.5 IV. Les représentations sociales p.5 -1. La perte de la descendance, la mort -2. La manipulation -3. Le voyeurisme -4. Le spectacle -5. Le paranormal -6. La maladie Conclusion

dans le but de parier sur la vie donc sur la mort. Société paradoxale qui prône à la fois la sécurité, le moins de risque possible, allant jusqu’à ignorer l’idée de la mort. Et d’un autre côté valorisation des battants qui prennent des risques (télé-réalité, sportifs de haut niveau) dont la limite est l’épuisement voire la mort. Recherche du risque à ce haut niveau s’apparente aux conduites ordaliques. Quête de sensations fortes et flirt avec la mort associé à un double plaisir : un inhérent à

ancienne employeuse Mme de Rênal l’accusant d’être un séducteur et un arriviste ; pour se venger de l’offense, il tire sur elle et la blesse ; arrêté et jugé aux assises de Besançon, malgré les efforts de ses amis, il demande aux jurés sa condamnation… à mort ! En quoi peut-on parler à ce stade du roman d’un apprentissage paradoxalement réussi du héros ? Pour répondre à cette question, nous étudierons une étrange plaidoirie, puis la transformation positive du personnage au terme de son apprentissage et

proportionnant la sanction à la faute. L'argument d'efficacité -La peine de mort est une sanction dissuasive. Tout être humain a peur de mourir. Cette menace intimidera celui qui s'apprête à tuer. Aux États-Unis, on a constaté que les criminels sont attirés par les États où elle a été supprimée. Un seul hésitant évitera une victime. J'argumente ainsi l'utilité de la peine de mort, son efficacité pour la paix sociale. Ce type d'argument est technique, car cherchant à résoudre un problème pratique

est de maintenir la vie sociale. Le chapitre III est consacré à la religion dynamique et au mysticisme chrétien, dont la source est l'élan vital. *La religion statique A l'ensemble organisé d'obligations sociales (morale close) correspond la religion statique, essentiellement réaction défensive contre l'idée de la mort. Elle permet en effet d'assurer la conservation du groupe et de se prémunir contre l'angoisse de la mort. Son but est de rendre possible la cohésion sociale, et ce contre les risques

collection de malheurs, tous ses espoirs de l’adolescence ne sont plus que des désillusions. Jeanne va accumuler des malheurs dans sa vie personnelle et familiale. De plus, elle va être peu à peu amenée au bord de la faillite financière et perdre son rang social. Une vie est donc le récit de l’invivable, de l’invécu, comme si de cette vie que prétend nous raconter le roman, nous ne possédions que le négatif. Jeanne connaît tout d’abord un échec personnel et familial. Au début du roman, Jeanne a dix sept

dans ses diverses passions l’aidant aussi à faire face à une santé fragile. Il fut brusquement emporté par une attaque le 23 mars 1842. Présentation du contexte social : Stendhal a publié « Le Rouge et le Noir » en 1830 , il a alors quarante-sept ans. En 1827, un fils d'un artisan et jeune séminariste a été jugé et condamné à mort pour avoir assassiné en pleine messe son ancienne maîtresse, l'épouse d'un notable qui l'avait engagé comme précepteur de ses enfants. Ce fait divers inspira Stendhal

L'être humain acquiert son autonomie par le biais de la raison. - Une influence du rationalisme cartésien. - Sur le plan politique, la légitimité de pouvoir est remise en question. - Rousseau radicalise la critique sociale et politique. - Il propose l'idée d'un contrat social: liberté, égalité, défense de l'intérêt commun. - Naturalisme philosophique - nature est #1, nie le transcendent (ce qu'il y a par dessus l'homme) -L'homme est un être naturel, nature est équivalent au bonheur terrestre