La Morte Amoureuse La Beauté

qui désigne à l'origine une œuvre traduite du latin en langue romane, s'est progressivement appliqué à toute œuvre narrative. Sans abandonner l'idéal chevaleresque de l’exploit guerrier, le roman courtois, au XIIe siècle, est centré sur la quête amoureuse dans le cadre de la cour. Durant cette époque très peu glorieuse pour les femmes, la société considérait comme normal le fait que la femme soit mise de côté, peu représentée et parfois réduite à un simple objet à l'inverse de l'homme qui accomplissait

qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Ronsard,1524 Le printemps Le printemps n'a point tant de fleurs, L'automne tant de raisins meurs, L'été tant de chaleurs halées, L'hiver tant de froides gelées, Ni la mer a tant de poissons, Ni la Beauce tant de moissons,

où la mise à mort est la sentence de Paquita. - Sa couleur rappelle la chaleur de la chambre de Paquita ainsi que les couleurs de l’Orient. De ce fait , « les flambeaux allumés et le parfum délicat » sont une rupture entre la délicatesse et la beauté de Paquita et le désordre alors causé. Outre le fait que la blancheur de la chambre ( « blanche » ) signifie la pureté qui n’était que fourberie dans cette œuvre ( l’homosexualité des deux amantes n’est jamais énoncée d’une façon claire), le blanc

du temps qui passe tout en decouvrant que le poete, a travers son poeme, est un guide pour le lecteur, puis nous interesserons a differentes visions de la Mort dans la poesie. Pour commencer, le poete est tel un messager divin qui a travers la beaute des formes et la purete du langage, vient avertir, tout en emouvant, l’innocent lecteur d’une force de la nature contre laquelle il ne peut lutter: le temps. Comme disait Hector Berlioz: “ Le temps est un grand maitre. Le malheur c’est qu’il tue ses

de cœur, sans décevoir Fragonard “L’attente” II- « Stances amoureuses » de Marguerite de Navare (1492-1549) Marguerite de Navarre, appelée également Marguerite d’Angoulême et parfois Marguerite d'Alençon, est née le 11 avril 1492 à Angoulême et morte le 21 décembre 1549 à Odos-en-Bigorre. Elle est la Sœur du roi François Ier. Elle est aussi connue pour être, après Christine de Pisan et Marie de France

que je n’arrive pas, je n’arrive pas à ne plus l'aimer et le sortir de ma tête. Je deviens folle, j’sais plus quoi faire. Il m'a fait bouffer, je sais, je suis naïve, bête de le laisser revenir chaque fois. Bordel, ne m’engueule pas mais je suis amoureuse. "Parfois il faut juste être capable d'accepter que certaines personnes ne sont qu'un morceau de ta vie, et pas toute la vie. Il faut accepter que les gens changent, se désintéressent, ne donne plus de signes de vie, effacent leur mémoire comme

être aimé, ils ne se sont d'ailleurs jamais rencontrés. La beauté de la jeune femme fut idéalisée tout comme cet amour désincarné qui inspira à Pétrarque quelques 366 poèmes réunis dans La Canzoniere en 1470, poèmes lyriques ( essentiellement des sonnets) dans lesquels l'auteur exprime à la fois la joie d'aimer et le malheur de ne pas être aimé.) Roméo voue un véritable culte à la beauté de Rosaline, beauté incomparable( " la surpassante beauté" page 55 ; " Une plus belle que mon amour ! Mais le soleil

d'Autolycos, Anticlée. Elle donna la vie à Ulysse, des traditions antérieures prétendent qu’Ulysse serait le fils de Sisyphe et non celui de Laërte. Sisyphe fonda Ephyra, connue par la suite sous le nom de Corinthe. Zeus, encore pris par ses aventures amoureuses, enleva Egine, son père le dieu-Fleuve Asopos vint à Corinthe pour essayer de la retrouver. Sisyphe, qui avait hérité du courage de Prométhée, s’opposa à Zeus. Il savait ce qui était arrivé à Egine, il fit du chantage à Asopos qui fit jaillir la

1835, Renduel publie Mademoiselle de Maupin, qui fait scandale.Honoré de Balzac repère Gautier et envoie Jules Sandeau leur proposer une collaboration au journal La Chronique de Paris, en 1836. Théophile va y publier plusieurs nouvelles (« La Morte amoureuse », etc.) ainsi que des critiques d'art. Il collabore aussi avec la France littéraire et La Presse.  Gautier a écrit des centaines et des centaines de textes et d'articles, dont une partie a été rééditée en volumes : Les Grotesques, L'Histoire

plein de vin lumineux et clair, où l'âme légère, l'âme enivrante s'envolait par petites bulles venues du fond et montant, pressées et rapides, s'évaporer à la surface ; il le regardait avec une méfiance de renard qui trouve une poule morte et flaire un piège. Il demanda, en hésitant : "Tu crois que ça me ferait beaucoup de mal ?" Pierre eut un remords et se reprocha de faire souffrir les autres de sa mauvaise humeur. "Non, va, pour une fois, tu peux le boire ; mais