La Mère Coupable

coupe. Prise d'un horrible doute sur la possibilité qu'elle soit empoisonnée, Rodogune se précipite pour l'en empêcher. Problématique = La tension dramatique, qui est à son comble au début de l'extrait, finit par brusquement se dénouer : l'horrible coupable, Cléopâtre, meurt sans même se repentir. En quoi cet extrait, en dévoilant le caractère monstrueux de Cléopâtre, présente-t-il tous les mécanismes du dénouement ? Annonce du plan= Nous analyserons dans une première partie la confrontation triangulaire

psychologique qui est mise en relief par différentes expressions « Oui, monsieur, dit le nègre, c’est l’usage. »l.8 elle marque sa résolution à sa situation de soumis jusqu'à penser que cette mutilation est normale. Mais aussi par l’abandon de ces parents « ma mère me vendit dix écus patagons »l.12, il ne trouve pas ça anormale de la part de ces parents alors que sa devrait l’être. De plus il dit clairement qu’il n’est pas heureux « je ne sais pas si j’ai fait leur fortune, mais ils n’ont pas fait la mienne »l

relation fusionnelle La relation fusionnelle destructrice La mère-confidente Certaines mères ont tellement peur que leur fille vive en dehors d'elles, qu'elles la "phagocytent" dès la petite enfance. Confidentes de tous ses chagrins et de tous ses bonheurs, elles lui confient aussi leurs insatisfactions et leurs attentes. Par la suite, il est bien difficile, pour la fille, de distinguer sa propre émotion de celle de sa mère, puisque les deux femmes ont toujours eu une relation fusionnelle

point illusion, la mort m'attend : elle sera juste. J'ai pu attenter aux jours de la femme la plus digne de tous les respects, de tous les hommages. Mme de Rênal avait été pour moi comme une mère. Mon crime est atroce, et il fut prémédité. J'ai donc mérité la mort, messieurs les jurés. Quand je serais moins coupable, je vois des hommes qui, sans s'arrêter à ce que ma jeunesse peut mériter de pitié, voudront punir en moi et décourager à jamais cette classe de jeunes gens qui, nés dans une classe inférieure

des plus remarquables des tragédies de Racine. Elle est à la fois coupable du malheur des autres et victime de ses pulsions. Certains vers sont devenus des classiques. On a tellement célébré la musicalité de l’alexandrin « la fille de Minos et de Pasiphaé » que certains s’en sont moqués. Racine ne fait pourtant jamais de la poésie pour la seule beauté des sons. La généalogie de Phèdre est pleine de sens : elle a hérité de sa mère l’intensité de ses désirs et craint après sa mort le jugement de son

1689 et 1691. Jean Racine s'éteint à Paris le 21 avril 1699, à l'âge de 59 ans. Résumé de l’œuvre : Phèdre,épouse de Thésée  croit ce dernier mort. Libérée par cette nouvelle, elle se laisse aller à avouer à Hippolyte, son beau-fils, la passion coupable qu’elle éprouve pour lui. Cet aveu met bientôt Phèdre dans une une situation  intenable : non seulement Hippolyte la rejette, mais Thésée, qui avait simplement disparu, est bientôt de retour. Phèdre est alors poussée au mensonge par sa none, la

d'Aricie Panope, femme de la suite de Phèdre Argument[modifier] La scène est à Trézène, ville du Péloponnèse. Acte I (5 scènes) Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort

qui est arrivé en mettant la faute du fils en faisant référence des fautes du père. 3. On est 11onzes à le croire coupable, aucun de nous discute de la chose si ce n’est vous. L’appel au troupeau, dans la situation présente tout le monde vote coupable à part un homme donc il est coupable. 4. Cette enfant a eu une existence lamentable. Il est né au fond d’un todi et sa mère est morte quand il avait 10 ans. Il a passé 1 an dans un orphelinat pendant que son père purgeait une peine de prison

passion condamne l’homme, lui privant de ses libertés une force supérieur ne lui permet pas de contrôler son destin, les personnages sont en quelque sorte victimes de leur passion Phèdre peut être considéré victime de la Déesse Vénus avant d’être coupable sur l’amour qu’elle porte pour Hippolyte « C’est Venus tout entière à sa proie attachée, qui est liée comme souvent dans la tragédie à la fatalité. La passion est souvent le fruit d’un amour impossible entre les différents personnages Phèdre qui

un homme aux valeurs assez étranges. À la suite du décès de sa défunte mère et de son crime, il est plutôt jugé sur les valeurs qu’il a enfreintes et non le actes criminels qu’il sa commis. Un de c’est valeur est celle du respect du deuil. Tout d’abord, lorsque Meursault se fait arrêter pour le meurtre de l’arabe, il semble ne pas être jugé pour ce crime mais plutôt pour son attitude et ses valeurs envers la mort de sa mère avec laquelle il n’avait point une relation intime. Lors de son procès