La Nature En Ville

définitions de la ville : textes B et C Texte B : Il repose sur une anaphore, le terme « ce sont » est repris plusieurs fois : ligne 7, ligne 11 et ligne 13. Le titre annonce déjà qu’il va parler de la ville, il va la décrire dans son poème. Il annonce « tous les chemins vont vers la brume » et ensuite il la décrit avec tous ses étages etc fin du premier paragraphe il dit « elle s’exhume ». Ensuite il décrit les ponts de fer, les toits etc. Pour finir par « c’est la ville tentaculaire » :

transformations « psychiques » la ville semble-t-elle produire ? Dans le texte de Simmel, la psychologie se fonde sur les différents stimuli nerveux perçus par l’homme. L’homme est alors définit comme « un être de différence » (ligne 5) et la ville comme stimuli permanent. Ainsi s’oppose la campagne, lieu à caractère affectif et sensible, à la ville, lieu à caractère intellectuel qui permet l’adaptation. L’homme se créé alors une carapace pour se protéger des changements de cette ville. Cela engendre des effets

sublimation » car ici : L’évasion c’est l’Afrique, la nature, ville étoufante, rouillé, vieille. La sublimation c’est New-York, l’architecture moderne avec l’acier (Froid, dur) L’inspiration c’est la musique, le jazz (musique noire) qui fait appel à la ségrégation. I-L’appel, l’apostrophe à la ville. La situation de communication : Poète s'inscrit dans ce txt: v déclaratif,montre sa présence. Valeur d'insistance manière forte. Pour parler à la ville, il utilise l’impératif qui doit être nécessairement

La politique / L'Etat / Un début de problématisation ... L'État est une entité politique qui désigne ce que les Grecs de l'Antiquité appelaient Cité : la communauté formée par les citoyens d'une ville et de sa région. Mais l'État se définit plus particulièrement par la nature du régime ou du gouvernement qui préside aux destinées de cette communauté. Ainsi, la France et les Français de 1950 sont sensiblement les mêmes qu'en 1940. Mais ils ne vivent pas dans le même État. Pour les mêmes raisons

enfants d’aujourd’hui sont-ils déconnectés de la nature ?OUI· Exode rural : beaucoup de familles s’installent en ville (industrialisation du XIXe siècle)· Urbanisation : agrandissement des villes et destruction de la campagne (création de banlieues, périurbanisation)· Grande majorité des services (commerces ; médecins ; ...) se trouvent en ville : peu d’activités dans les campagnes. (Les enfants préfèrent la ville)· Désintérêt des jeunes vis-à-vis de la nature (Les jeux vidéo remplacent les jeux dehors

cette nouvelle vision sensible à la ville de demain, que le pavillon français pour l'exposition universelle de Shanghai va aboutir. Le pavillon définie le thème de la ville sensuelle, et de l'importance au rapport architecture / nature. Ce qui à pousser la France à choisir le pavillon de Jacques Ferrier, est Shanghai à pour thème « meilleure ville, meilleure vie » qui ce décline encore sous cinq thèmes : • le métissage des différentes cultures dans la ville ; • la prospérité de l'économie urbaine

début du livre. Il peut-être de différente nature selon les romans. L'incipit de ce roman semble vouloir être naturaliste, il fut écrit au XIXe siècle, par Emile Zola et évoque un cimetière désaffecté, l'aire Saint-Mittre. Zola dans cet incipit donne aux lecteurs une vision réaliste avec une réalité qui passe par la nomination de lieux géographiques, que l'on peut localiser comme « la route de Nice ». De plus, Zola donne un nom propre à cette ville, Plassans, et donc il lui donne une identité

écoterritoire situé à l’Ouest de Montréal. Il longe la rivière ce qui favorise la dispersion et la migration des espèces entre les parcs-nature environnants. Ce territoire contient cinq milieux naturels : le bois Angell, le bois de Ste-Anne-de-Bellevue à l’ouest de la rivière à l’Orme, les deux espaces forestiers matures situés aux deux extrémités du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme et les basses terres à l’embouchure de la rivière à l’Orme. Ce territoire contient des faunes et des flores exceptionnelles

sous forme de chronique narrant une épidémie de peste qui survient dans cette ville. Notre passage se situe au début du roman, puisqu’il s’agit de l’incipit. Il y décrit cette ville et la vie de ses habitants. Nous nous demanderons en quoi cet incipit joue son rôle de véritable présentateur et ce qu’il apporte comme informations supplémentaires au récit. Nous étudierons dans un premier temps l’aspect physique de la ville d’Oran, puis nous nous pencherons sur la description de la vie de ses habitants

comfort, la nature, l’agriculture, ainsi que les services publiques. Ces villes comptaient 30 000 habitants sur 2 400 hectares de terrains. Placées autour d’une plus grande cité de 58 000 habitants, l’ensemble devait former un complexe homogène, ordonné et naturel. Ce concept révolutionnaire a été imaginé par Howard dans le but de contrer la tendance du monde capitaliste, à concentrer les commerces, la population ainsi que les industries au même endroit. Ce projet rendrait la ville plus autonome