La Nature Salvatrice

retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe O nuits! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme allaitant son enfant. Je partirai! Steamer balançant ta mâture, Lève l'ancre pour une exotique nature! Un Ennui, désolé par les cruels espoirs, Croit encore à l'adieu suprême des mouchoirs! Et, peut-être, les mâts, invitant les orages Sont-ils de ceux qu'un vent penche sur les naufrages Perdus, sans mâts, sans mâts, ni fertiles îlots...

sûr de tout, plus sûr que lui, sûr de cette vie et de cette mort qui allait venir ». Cette lucidité, ce savoir enfin inébranlable procure alors à Meursault ce sentiment de force et de quiétude qui se lit dans cet épilogue. III / Une paix aussi salvatrice qu’inespérée. A. L’accès à une nouvelle conscience - C’est dans ce monologue que Meursault semble se libérer, à travers une forme de catharsis nous l’avons vu. Mais c’est aussi la première fois que, libre de tout ce qui entravait son rapport

manque et la poésie pour lui est salvatrice. Ca nous fait comprendre qu’à moins que le voyage attire beaucoup, il est très important de toujours pouvoir revenir à la maison. Apres d’avoir lu le poème «Le relais » de Gérard de Nerval, poète du début du 19ème siècle, on ce pose la question : l’intérêt du voyage est-il dans le temps de l’arrêt ou le temps du trajet ? L’auteur met en évidence l’opposition entre l’agitation du trajet du voyage et le calme de la nature et cela traduit que pour le poète

est-ce si bon ? Peut-il durer toute une vie ? Eclaircissements sur ce mystère de la nature ô combien excitant… - Le sentiment amoureux Mais quelle est cette émotion si intense qui envahit tout notre être à la vue ou à la pensée d’une personne en particulier ? C’est le sentiment amoureux. Comment se manifeste-t-il ? Pourquoi est-ce si bon ? Peut-il durer toute une vie ? Eclaircissements sur ce mystère de la nature ô combien excitant... Une affection profonde Le sentiment amoureux peut se définir

devancé ; il semble plutôt plus que jamais la maîtriser. Par sa maîtrise de la matiére et par une collaborat° de l'intelligence et du corps, l'homme a même su maîtriser la nature : il suffit de voir les barrages qui canalisent les courants, les digues pour éviter les innondations etc ... C'est ce qui sauve l'homme des aléas de la nature. * En effet, la technique aurait en quelque sorte sauvé l'homme et on le voit déjà aux sources de notre culture, dans La Bible : l'homme est d'abord un être quasi-divin

« Sa présence me pesait et m'agaçait » de nbx relevés montrent que sa colère monte et finit par exploser. 2/Une révolte salvatrice A travers ce passage on voit une véritable catharsis Purgation de passions négatives pas un spectacle Ce passage nous inspire pitié et terreur, donc il y a un phénomène d'identification. Théâtralité par la nature discursive du passage. Cette scène peut être jouée, et présente donc un aspect réel de tragédie antique. trouve dans ce dénouement

amener à la réflexion , ainsi, pour dénoncer l’horreur de la guerre Rimbaud se réfère à l’image du soldat: «il dort». Il s’agit là d’un sommeil profond car en réalité , il est mort et cette image, ce tableau de la mort avec en arrière-fond une nature bien vivante, va choquer le lecteur, celui-ci en sera d’autant plus choqué. La poésie provoque mais de façon plus indirecte , plus in sinueuse, c’est en cela qu’elle est puissante. Ainsi , nous venons de montrer que la poésie permettait d'exprimer

possible : l'homme ne serait-il pas un Dieu si tout lui devenait possible ? Aussi l'attrait qui régit ce désir semble profondément paradoxal : désire-t-on l'impossible pour le rendre possible, ou au contraire pour manifester une impossibilité presque salvatrice ? Rousseau dira: "Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné,

uniquement, faute de quoi, l'Harmonie maîtresse du monde se briserait. Alors le coeur des hommes, les plus faibles de créatures, fut rempli de sentiments jusqu'alors inexistants. Haine, rancune, jalousie,... Ainsi naquirent les vices. Les hommes, de nature sensibles et influençables, n'opposèrent aucune résistance à ces mystérieuses émotions qui prenaient peu à peu vie dans leurs entrailles. Et la balance fut renversée. La paix fut détruite et le règne humain commença. Ils s'en prirent d'abord aux tribus

Modèle de dissertationSujet : Quel rapport entretenons-nous avec la nature ? Nous sommes des animaux rationnels, c’est-à-dire une espèce différente des autres car pouvant agir autrement que par nos instincts. Nous pensons que les autres animaux sont intelligents également, mais il ne s’agit pas de la même forme d’intelligence, c’est une intelligence non réflexive et purement perceptive. L’homme aime croire cela depuis que les animaux domestiques font partie de notre quotidien et que des