La Nature Salvatrice

nécessite que nous situions le contexte actuel de ces soubresauts à répétition (I) ; que nous prenions la juste mesure des effets et conséquences de la crise (II), en vue de suggérer des pistes d’actions qui puissent contribuer à trouver des solutions salvatrices et pérennes pour les peuples d’Afrique et de notre sous-région en particulier (III). I. LE CONTEXTE ET SES CARACTERISTIQUES ESSENTIELLES. La crise militaire et de gouvernance qui secoue de nos jours la sous-région ouest-africaine à lieu

d'être parmi l'écume inconnue et les cieux "). La mer est cependant prédominante (champs lexical du monde maritime). Ce voyage est aussi un voyage de dépaysement : naufrages, orages, ilôts, Steamer (vocabulaire moderne), chant des matelots, " exotique nature ",... Le rythme saccadé du vers 15 traduit le doute, mais aussi l’excitation Le voyage va permettre au poète de développer sa créativitéLe désir de créativité se traduit par :- allusion aux oiseaux et aux cieux : représentation métaphorique de

fait fondre les limites entre l'intérieur et l'extérieur. L'Amour est donc l'inverse de la peur, qui génère un mouvement de contraction, qui ratatine, renferme et appauvrit. Le "lâcher-prise" et l'acceptation sont sa nature, alors que la peur se nourrit de contrôle. L'amour est par nature englobant, inclusif plutôt qu'exclusif. Il s'enrichit à mesure qu'il grandit et qu'il rencontre plus d'êtres à aimer. Il tend vers l'universalité. Un amour qui exclut d'autres amours, ce n'est déjà plus de l'amour

Connaissance et découverte, plaisir, message à délivrer, lecteur à éduquer, tout semble converger vers un unique point : l’expérience. La seule raison d’être du roman est l’expérience qu’il propose et qui plonge le lecteur dans une écriture salvatrice. Dès lors, le roman trouve sa justification dans l’expérience qu’il institue et qui est à vivre sur le mode de la rencontre. D’abord, ce genre est le lieu d’une rencontre presque charnelle avec le langage. Le style est pétri de phrasés

estropié qui le faisait boiter » ainsi que : « Il n’en garda que les cicatrices des gros anthrax noirs qu’il avait eus derrière les oreilles, dans le cou et sur les joues, qui le défigurèrent et le rendirent encore plus laid que jamais » . D’ailleurs, sa nature nuisible est dénoncée par le narrateur de manière répétitive, par exemple à l’aide de cette comparaison aux parasites ( « Il était aussi dur qu’une bactérie résistante et aussi résistant qu’une tique accrochée à un arbre et qui vit d’une minuscule

l'acception actuelle du terme de pompier. 3. Quel personnage vient troubler le cours de la vie monotone de Montag et de quelle manière ? (2 points) Clarisse McClellan lui révèle qu'on peut vivre autrement et lui fait redécouvrir les charmes de la nature, de la conversation, des sentiments, du rêve… Elle lui montre les qualités des livres et lui fait prendre conscience de la barbarie de son métier de pompier. Elle disparaît un beau jour. Mildred prétend qu'elle est morte, écrasée par une voiture.

autrement qu’en offrant le réel à l’œil. La sublimation du Mystère par la créativité peut susciter un bouleversement de l’être au travers de l’art. L’art devient alors la langue de l’inconnu qui porte la pensée nouvelle. Cette pensée est tout simplement salvatrice et porteuse d’espoir pour tous ceux qui ne se sentent pas à leur place dans un monde ou les conceptions théoriques remplacent l’expérimentation de l’être. Ensuite, l’art peut devenir exutoire du sens de l’irréel, c’est-à-dire le réel poussé

bois contre les spéculations des promoteurs immobiliers, elle luta contre le déboisement de cet espace. Pour cela, démarche de préservation et de conservation voire même de patrimonialisation auprès des élus locaux et nationaux. Sa démarche fut salvatrice pour le bois qui était déjà exploité par des propriétaires fonciers avec l'accord du Ministère de l'Agriculture et de l'Aménagement du Territoire. La ville d'Oshogbo, est devenue au fil des années un des centres les plus importants pour le culte :

MASTER 1 MENTION : Littérature Comparée SPECIALITE : Littérature et cinéma Année académique: 2013-2014 L’histoire de l’adaptation cinématographique des textes littéraires est avant tout l’histoire de la mise en relation de deux arts de nature bien différente. D’un côté, nous avons la littérature qui est un art dont l’histoire s’enracine dans le plus lointain passé de notre civilisation et de l’autre côté, le cinéma qui apparait comme une technique récente, un art qui reste encore assez

épanouissement. En effet, l’Homme, par le travail, peut s’accomplir en tant que tel, s’élever à la conscience de soi. Il faut, d’autre part, montrer que le travail est avant tout un droit dans le sens où il nous permet de survivre, autrefois à une nature hostile, aujourd’hui financièrement. Il est donc une prérogative que nous sommes en droit de réclamer. Cependant l’affirmation de ce droit pose problème dans notre société puisque si nous avons tous droit au travail nous n’avons pas pour autant le