La Neige En Deuil

un auteur a repris modifié le classique, avec illustrations de bas étage. Blanche Neige d'Angela Barrett, problème avec blanche neige le problème c'est Walt Disney, elle a relu Blanche Neige dans une perspective chrétienne et christique, elle dramatise à l'extrême la scène sacrificielle. Très loin des 7 sept nains de Walt Disney, reprise d'un tableau très célèbre l'adoration du berger de Delatour, Blanche Neige fait penser à l'enfant Jésus => scène de la nativité, renvoi à la cène avec le repas

comme la couleur du sacre et qui célèbre la gloire du christ. Aussi, chez les catholiques en occident, le noir a toujours été perçu comme la couleur de l’enfer, de la mort, des ténèbres puis du deuil au début de l’époque moderne. Cela provient du fait que les romains étaient vêtus de gris lors du deuil et que les catholiques associaient eux aussi leurs vêtements aux couleurs sombres lors des funérailles. Cette coutume est associée à la croyance suivante : le décédé redevient cendres lorsqu’il

âme de cristal. Hugo a une vision panthéiste de l'univers, un tout divin, dans laquelle la conscience universelle est souvent comparée à l'océan, qui sous des formes diverses, vagues, nuages, neige, ne forme qu'un tout et où tout retourne. Du haut de son promontoire, dominant la mer, le poète marqué par le deuil dans cette dernière partie des Contemplations tient à insérer ce très beau poème d'amour à Juliette. Dans les épreuves difficiles, l'amour sauve du désespoir en ce qu'il partage la tristesse

Bretagne de main d’homme est blanche, de tous ses pignons chaulés à cru, et presque autant que la Grèce ou que l’Andalousie; appliquée seulement, on dirait, au travers de ses pluies, à nous faire comprendre que le blanc puisse être la couleur parfaite du deuil. Peu importe ces surprises du tourisme trop bien informé; une certaine frontière intime d e l’âme s’éveillera toujours en Bretagne: celle où le sentiment nu de la solidité élémentaire est confronté à tous ses dissolvants.(…)      La mer, bien sûr

Ikken pour le laisser proie à la solitude comme cette lune orpheline qui n a pas de compagnon même si elle le souhaitait. Son enfance était bâtie sur la colline des troglodytes, où nichent les étoiles décolorées, par la nuit en deuil où se profile les hivers blanchis par la neige et le reflet des feuilles mortes sur la rétine p15, l âme de Ikken a sombré dans le malheur, elle n’est plus sensible aux jouissances de la vie, tout a perdu sa forme, sa couleur et même son odeur. L’ilot de l’enfance

ténèbres ; Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni, Sans voir la main d'où tombe à notre âme méchante L'amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d'extase et d'azur s'emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. Les contemplations, Victor Hugo Vanité de Pieter van Steenwyck Sommaire

fille et folie de l’autre fille)En 1851, se situant plus du côté des révolutionnaires, il dénonce le coup d’état et se voit exiler. Il reviendra en France qu’a la chute de l’empire en 1870 (malgré l’amnistie de l’empereur).La fin de sa vie est un deuil : mort de ses 2 fils ainsi que de sa maitresse. Sa popularité est extrême lorsqu’il meurt et il est enterré au Panthéon. Comme Chateaubriand, Hugo fait passer dans ses textes orgueil et générosité. Hernani donne même lieu à des émeutes. En poésie

ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu’un dans l’infini Qui chante, et par quelqu’un on sent qu’on est béni, Sans voir la main d’où tombe à notre âme méchante L’amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d’extase et d’azur s’emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. Au dolmen de la tour Blanche, jour des Morts, novembre 1854. p475-476

fote proximité entre Ronsard et Marie. Il s'adresse au delà de la mort comme si elle était toujours en vie. -Style élégiaque → Thème élégiaque : amour, malheur, disparition de l'être aimé nostalgie, deuil. Ronsard exprime sa tristesse V. 12 = « pleurs », « Aube ». Nature participe à son deuil. Ronsard donne à sa plainte une musicalité au lieu de s'exclamer, 3 rimes (ose), (eur), (té) mêmes sont reviennent constamment + une allitération en (r). Marie immortalisée par le poète → Ce sonnet

• Allongée dans la neige, regardant les flocons tomber, je repense à ce dont j'ai pu rêver. Allongée dans ce froid, le corps devenant bleu sous ce linceul blanc, je me suis mise à regretter. Avant, j'étais. Aujourd'hui, je n'ai l'impression d'être qu'un fantôme du passé, vivant dans une gloire définitivement perdue. Tout est vains, il n'y a plus ni rêve ni envie. Comment avancer quand on pense que les jambes qu'on a ne servent qu'à être écartées ? Peut-être que quelqu'un sera assez gentil ici